บททั้งหมดของ Elle en hémorragie, mais son mari dilapide pour sa maîtresse: บทที่ 61 - บทที่ 70

« Notre entreprise souhaite collaborer avec Clairtech Biotech SARL, donc je fais juste un peu de recherche de fond à l'avance. » « Une collaboration ? » Gabriel a haussé un sourcil, puis a tapé sur sa cuisse comme s'il venait de se rappeler quelque chose : « Je me souviens, la dernière fois j'ai entendu dire que Clairtech Biotech SARL avait refusé de collaborer avec vous, ce n'est pas à cause de cette Madame Ravot ? » Il a fait deux claquements de langue, l'air un peu taquin : « C'est vrai, tout le monde sait combien Norman gâte Vivi, peu importe qui serait à la place de Diane, il y aurait forcément un peu de rancune. Peut-être que Diane veut profiter de ça pour embêter Norman, et par la même occasion te compliquer un peu la vie, à toi son ami. » « Tu imagines trop de choses. » Ethan a rangé les documents dans sa mallette, sa voix restait calme.« Clairtech Biotech SARL a refusé de collaborer avec moi parce que notre Groupe Laurent n'était pas compatible avec leurs besoins, ce

Il a ouvert la portière pour Violette avec un geste galant.Violette était vêtue d'une robe crème élégante et parfaitement adaptée, le maquillage soigné, et elle avait délicatement pris le bras de Norman, ce qui la rendait élégante et gracieuse.À peine avaient-ils franchi l'entrée de la salle que de nombreux regards se tournèrent immédiatement vers eux.Norman occupait une position d'une importance capitale dans le monde des affaires, si bien que de nombreuses personnes se sont précipitées vers lui pour le saluer et échanger quelques paroles.Un homme influent dans le secteur, d'une quarantaine d'années, lui a adressé un large sourire tout en lui tendant la main avec cordialité : « Monsieur Ravot, ça fait longtemps. » « Monsieur Moreau. » a répondu Norman poliment.Violette se tenait à l'écart, souriant légèrement et hochant la tête avec grâce. Les personnalités influentes présentes, par égard pour Norman, se montraient également très courtoises envers elle. Elle discutait av

« Regarde un peu ce que t'as choisi à l'époque ! C'est ce mec-là que t'as préféré au lieu de continuer tes études et de construire un bel avenir ? » Il s'en souvenait encore parfaitement. À l'époque, Diane avait obtenu une bourse complète pour l'une des universités les plus prestigieuses à l'étranger, et il avait lui-même pris la peine de rédiger une lettre de recommandation en sa faveur. Son avenir s'annonçait donc radieux et prometteur. Mais, contre toute attente, elle avait choisi de tout abandonner pour Norman, décidant avec détermination de renoncer à toutes ces opportunités et de se marier. À l'époque, il avait été tellement furieux qu'il avait presque refusé de reconnaître cette étudiante comme la sienne.Aujourd'hui, en voyant Norman si proche d'une autre femme, il a éprouvé encore plus de peine pour Diane.Le sourire de Diane s'est estompé.Elle a baissé les yeux, ses longs cils projetant une ombre légère sous ses paupières.Après un moment de silence, elle a pris la p

« Clément, tu es où ? Il pleut des cordes ici, tu peux venir me chercher ? » À l'autre bout du fil, la voix désinvolte de Clément s'est fait entendre. « Je suis au cabinet avec un client, je ne peux pas me libérer, tu te débrouilles pour prendre un taxi. » « Il pleut trop, je n'en trouve pas ! » Julie a aperçu Diane à côté d'elle et a eu soudain une idée. Elle a ajouté rapidement : « Didi est aussi là, elle n'a pas pris de parapluie non plus, on ne va quand même pas la laisser se mouiller pour rentrer ! » Il y a eu un silence de deux secondes, puis la voix nette et décidée de Clément a résonné. « Attends, j'arrive tout de suite. » Moins de vingt minutes plus tard, une berline noire s'était arrêtée avec assurance devant le café.Clément a poussé la porte et est entré, tenant deux parapluies noirs à la main.« Clément, tu es enfin là ! » Julie s'est précipitée vers lui. « Je te jure, tu as vraiment deux poids deux mesures. Quand je te demande de venir me chercher, tu dis que tu

Melissa a été bouleversée par le regard de Sophie, sentant un frisson parcourir tout son corps, et ne pouvait que répondre avec difficulté, en essayant de garder la contenance : « Nous ne l'avons pas calomniée ! Tout ce que nous avons dit est la vérité ! Nous sommes bien les oncle et tante de Diane, Diane est toujours… » « Tais-toi ! » Sophie a frappé brusquement sur la table. « Je sais très bien quel genre de fille est Didi ! Ça fait quatre ans qu'elle est mariée à Norman, elle a toujours été sage et respectueuse, et depuis quand est-ce que des gens comme vous ont le droit de colporter des ragots ? » Melissa avait pâli, et voulait encore se défendre. « Madame Ravot, c'est parce qu'elle sait bien se cacher… » « Je crois que vous êtes devenues folles ! » Sophie l'a interrompue d'une voix sévère, sa poitrine se soulevant avec force. « Votre propre fille devient la maîtresse, s'immisce dans le mariage des autres, et vous ne rentrez pas chez vous pour la réprimander correctement, mai