Semua Bab Elle en hémorragie, mais son mari dilapide pour sa maîtresse: Bab 51 - Bab 60

Diane venait d'enfiler son pyjama et se préparait à dormir.Son téléphone a vibré.Elle a allumé l'écran et a découvert une photo pleine d'ambiguïté et de tendresse.Sur la photo, la main de Norman reposait sur le bas-ventre de Violette ; ses paupières baissées semblaient particulièrement tendres sous la lumière chaude.Ses doigts se sont figés en l'air.L'homme qu'elle n'avait pas réussi à réchauffer après quatre années de mariage se montrait pourtant si attentionné envers Violette.Un deuxième message est arrivé aussitôt : « Oups, je me suis trompée de destinataire :p ».Le petit signe « :p » à la fin trahissait une provocation déguisée.Diane a pris une grande inspiration et a reposé son téléphone.Son regard est tombé sur le tube de pommade posé sur la table de chevet ; sans hésiter, elle l'a jeté dans la poubelle.Les coups de couteau avaient été trop nombreux. Un peu de douceur, de temps en temps, ne faisait que renforcer son sentiment de fausseté et de dégoût.Elle a

« À quoi tu penses comme ça ? » a soudain retenti la voix de Gabriel derrière lui.Ethan s'est retourné et a vu Norman et les autres sortir de l'ascenseur.« Rien », a-t-il détourné le regard.« Puisque tout le monde est là, pourquoi ne pas faire une course de jet-ski ? » Gabriel regardait tout le monde et a proposé avec enthousiasme : « Le perdant devra verser cent mille euros à une association caritative au nom du gagnant. » Norman a répondu d'un ton désinvolte : « D'accord. »Ethan a pris le café que le serveur venait d'apporter. « Ça me va aussi. »Les yeux de Violette se sont éclairés, mais une hésitation a traversé son visage. « J'aimerais bien essayer, mais… je ne sais pas très bien… »« Je t'emmène. » C'était Norman qui parlait.Violette se réjouissait intérieurement. « Tu es sûr ? »Gabriel a sifflé. « Norman a été le premier à avoir son permis de jet-ski parmi nous. Il est le meilleur, alors avec lui, tu as toutes tes chances. »Ethan a hésité un instant avant de d

« Toi… ! » Violette a été piquée au vif. « Tais-toi ! » Diane l'a coupée froidement, et ses mots résonnaient avec force. « À l'époque, tu ne serais même pas considérée comme une concubine ! Même faire la révérence à l’épouse légitime serait normal. Moi, je ne fais que rappeler les règles de la famille Ravot et éduquer ceux qui ne les respectent pas ! »Le corps de Violette tremblait de colère. « Toi ! Attends ! Je vais chercher Norman tout de suite ! Qu'il te donne une bonne leçon ! »« Vas-y donc. » Diane est restée impassible.À ce stade, craignait-elle encore que Norman lui cherche des ennuis ?Sans même lui jeter un regard, elle est entrée dans l'ascenseur.Cette gifle, c'était aussi une manière de venger la brûlure qu'elle avait subie la veille.Violette, folle de rage, s'est tournée vers la chambre de Norman, prête à frapper à la porte.Mais, au dernier moment, sa main s'est figée.Non.Elle ne pouvait pas laisser Norman apprendre qu'elle avait été giflée par Diane.C

Le soleil filtrait à travers les feuilles et se posait sur eux deux, chaleureux comme une peinture.Il s'est arrêté un instant, trouvant la scène étrangement éblouissante.Après le déjeuner, Sophie n'avait plus d'énergie et Henriette l'a aidée à regagner sa chambre pour se reposer.Dans le salon, il ne restait que Norman et Diane.Diane a effacé le sourire de son visage et a repris un ton calme : « Grand-mère est déjà sortie de l'hôpital, sa santé n'est pas en danger, nous pouvons entamer la procédure de divorce. »Norman faisait tourner un fermoir de jade entre ses doigts ; ses doigts se sont brusquement figés, et il a levé les yeux vers elle : « Quoi ? Tu es si pressée ? Tu veux divorcer vite pour laisser la place à ton Arthur ? »Son regard brillait d'une ironie sans détour.Diane a légèrement froncé les sourcils, et sa voix est devenue plus froide : « Entre Arthur et moi, il n'y a rien de louche. »Elle l'a fixé, mot à mot : « En revanche, ta Violette n'attend sûrement que

Ethan a haussé les sourcils, curieux de voir quels tours de mots elle allait sortir.Diane a pris la parole avec une clarté impeccable, chaque mot résonnait avec fermeté.« Nous choisissons toujours nos partenaires selon trois critères.Premièrement, la compatibilité des objectifs stratégiques. Le groupe Laurent a récemment concentré ses efforts sur le secteur de l'esthétique médicale, ce qui ne correspond pas à notre plan de déploiement à long terme pour le médicament anticancéreux.Deuxièmement, la réciprocité du modèle de coopération. L'exclusivité de distribution que votre groupe a réclamée limiterait l'application future du médicament, ce qui va à l'encontre de l'intention initiale de notre recherche.Troisièmement, la solidité du système de confidentialité technique. Votre entreprise a subi une fuite de données de recherche l'année dernière, et son niveau actuel de gestion des risques ne répond pas à nos standards de coopération. »Elle a ajouté ensuite : « De plus, le prix