บททั้งหมดของ Elle en hémorragie, mais son mari dilapide pour sa maîtresse: บทที่ 71 - บทที่ 80

Violette était maligne ; elle savait que plus elle pousserait Norman maintenant, plus il serait réticent. Mieux valait d'abord le calmer et le maintenir dans un état d'esprit favorable.Quant à Sophie… elle trouverait bien un moyen de la faire céder plus tard.Norman est resté silencieux un instant, puis a pris la parole lentement : « Quand le procès du Groupe Ravot sera terminé, je te donnerai un statut officiel. » De l'autre côté, chez Clairtech Biotech SARL.Arthur devait se rendre à l'étranger pour un déplacement professionnel d'une semaine, et il avait donc confié à Diane la responsabilité de gérer, temporairement, toutes les affaires liées à la coopération commerciale pendant son absence.Cet après-midi, Ethan est revenu rendre visite à Clairtech Biotech SARL afin de discuter des questions liées à leur collaboration.Diane l'a accueilli dans le salon de réception : « Monsieur Laurent, veuillez vous asseoir. » Ethan a poussé devant elle un dossier épais contenant le proje

Ethan avait initialement prévu un dîner d'affaires important ce week-end, mais en voyant le regard clair de Diane, les mots qu'il s'apprêtait à prononcer se sont transformés en un simple : « Je suis disponible. » « Parfait ! » Diane a parlé d'un ton net et efficace, teinté d'une légère touche professionnelle. « Xavier devrait être de retour ce week-end. Si ça ne te dérange pas, je viendrai te chercher avec lui pour t'inviter à dîner, ce sera aussi l'occasion de discuter un peu de la collaboration. » Ses paroles étaient tout à fait logiques, elles répondaient à la proposition de « lui offrir un dîner la prochaine fois » tout en transformant naturellement la rencontre en réunion de travail.Ethan a observé la légère distance dans ses yeux et a immédiatement compris : elle traçait discrètement une limite, ne souhaitant pas avoir d'occasion de contact privé avec lui, voulant simplement maintenir une relation purement professionnelle.Ethan a dit : « D'accord. J'ai justement quelques

Dimanche soir, Diane a réservé une table dans un restaurant.Arthur est arrivé dès la sortie de l'avion, et ils ont échangé quelques mots sur la situation récente de l'entreprise.À ce moment, Ethan a poussé la porte et est entré. « Désolé, il y avait des embouteillages, je vous ai fait attendre. » Arthur s'est levé et lui a serré la main. « Monsieur Laurent, ne vous inquiétez pas, nous venons tout juste d'arriver aussi. » Ethan s'est assis et, presque sans y penser, ses yeux ont parcouru Diane du regard.Aujourd'hui, elle portait une chemise couleur crème, dont les manches étaient retroussées jusqu'au milieu de l'avant-bras, laissant apparaître ses poignets fins et d'une blancheur délicate.« Monsieur Laurent, Didi m'a déjà présenté la nouvelle proposition de collaboration. » Arthur a ouvert le dossier et, posant ses doigts sur les pages, a ajouté : « Elle est effectivement beaucoup plus aboutie que la première version, notamment sur la partie concernant le partage des risques

Norman a légèrement froncé les sourcils.Dans ses paroles, il y avait clairement une insinuation de « mettre fin à la visite », le message était trop évident.Norman s'est dirigé vers la porte, la main posée sur la poignée. « Souviens-toi de boire la soupe chaude, elle ne sera plus aussi bonne une fois refroidie. » « Je sais. » Diane a hoché la tête.Lorsqu'elle a vu sa silhouette disparaître au bout du couloir, elle a doucement refermé la porte.Trois jours plus tard, Ethan a reçu la réponse de Clairtech Biotech SARL, indiquant que la collaboration était possible.Dans la salle de réunion, Diane était assise à côté d'Arthur, tandis que les avocats des deux parties s'affairaient à signer le contrat, et le bruit de la plume glissant sur les pages se faisait entendre avec une clarté particulière.« Bonne collaboration. » Ethan s'est levé le premier et a serré la main d'Arthur.« Bonne collaboration. » Après avoir serré la main en retour, Arthur s'est retourné pour sortir et répo

Il a regardé dans la direction où Diane était partie et a soudain compris pourquoi elle avait été si obstinée tout à l'heure.Après tout, ils avaient été mariés, et même si leur destin s'était séparé, il n'aurait pas dû briser ainsi ses souvenirs de sa mère défunte.En repensant à son impulsion lorsqu'il avait levé la pancarte, il s'est maintenant senti profondément ridicule.Sur le chemin du retour, Violette jouait distraitement avec la broche entre ses doigts, son humeur légère et satisfaite. Il s'était avéré que, quoi qu'elle désire, Norman était prêt à lui offrir tout, même lorsque cela concernait des objets que Diane considérait comme des trésors inestimables.Le regard de Norman s'est posé sur le feu tricolore devant lui.Au moment où le feu est passé au vert, il a soudain pris la parole. « Vivi, donne-moi la broche. » Le geste de Violette s'est interrompu brusquement, et une lueur de surprise a traversé ses yeux. « Norman… tu as fait l'acquisition de cette broche spécia