All Chapters of Le regret de mon ex mari milliardaire : Chapter 11 - Chapter 20

Après un moment, ma voix était enrouée et j'en ai eu assez de chanter. Finalement, je suis sortie de la baignoire comme une déesse ivre. J'ai failli glisser lorsque mes pieds ont touché le sol mouillé, mais heureusement, j'ai pu me rattraper à la baignoire pour garder l'équilibre. J'ai rincé les bulles collées sur mon corps sous la douche. Le doux parfum de lait, de roses et de miel persistait encore sur ma peau. Le parfum était si relaxant qu'il me donnait envie de dormir, et j'étais tellement prête à me coucher. Je suis sortie de la salle de bain, enveloppant négligemment une serviette de bain autour de mon corps nu. Peu importe si quelqu'un me voit. J'étais seule dans ma chambre. J'étais tellement ivre que je n'avais même pas la force de m'habiller, alors je me suis affalée paresseusement sur la chaise devant la commode, regrettant légèrement d'avoir trop bu de vin, au point de ne même pas pouvoir enfiler mon pyjama préféré. Soupirant, j'ai attrapé une brosse à cheveux et j

Sans autre choix que de partir, j'ai pris ma valise et l'ai traînée derrière moi. Ace était toujours dans la salle de bains lorsque j'ai claqué la porte et ai foncé dans le couloir, les larmes coulant sur mes joues sans que je puisse les retenir. Les gens dans le couloir me fixaient en marchant devant eux. Intrigués de voir une femme submergée par les larmes, leurs yeux jugent m'ont scrutée de la tête aux pieds, mais pour la première fois de ma vie, je me fichais de ce qu'ils pensaient de moi. Tout ce que je voulais, c'était quitter cet endroit aussi vite que possible. Les paroles d'Angela résonnaient toujours dans mes oreilles. Jusqu'à présent, je n'arrivais toujours pas à croire qu'Ace l'avait mise enceinte. Peut-être qu'Ace voudra maintenant l'épouser, le fait qu'elle porte son enfant rendait l'idée du mariage possible. J'ai réussi à sortir de l'hôtel sans que personne ne me suive et j'ai immédiatement héler un taxi. J'ai donné au chauffeur une adresse et il a obéi en é

La salle de bain était petite, mais elle avait un sol carrelé confortable et l'intérieur était étonnamment propre. Je m'attendais honnêtement à des toiles d'araignée ou de la poussière, car la salle de bain n'avait pas été utilisée depuis des jours, voire des semaines ! Ce n'était pas le type de salle de bain auquel j'étais habituée. Elle était trop petite pour moi. Cependant, cela n'a pas d'importance. Tant que je suis en sécurité et à l'aise ici, c'est tout ce qui compte. Heureusement, Amélie était une propriétaire responsable ; elle avait maintenu la propreté de la chambre et de la salle de bain attenante pour ses futurs locataires. Jusqu'à présent, Amélie était gentille, responsable et facile à parler. Je me sentais déjà mieux vis-à-vis de ma décision de rester. J'ai accroché la serviette sur le porte-serviettes et j'ai enlevé mes vêtements, les plaçant sur le dessus du lavabo. L'air froid me fit frissonner et j'ai rapidement ouvert la douche, espérant avoir de l'eau chaude. Heur

Je me suis réveillée au son de voix frénétiques et de pas précipités. À ma grande surprise , j'ai découvert que j'étais allongé sur une civière. J'ai essayé de me lever, mais tout mon corps me faisait horriblement mal. Je ne pouvais que rester allongée sur la civière, paniquée. "Vien’s ! Où est Vien’s! Mon bébé !" Je hurlais hystériquement, essayant de pencher la tête pour la chercher malgré la terrible douleur causée par mes blessures. "Une enfant est toujours sur la banquette arrière de la voiture, coincée dans sa ceinture de sécurité. S'il vous plaît, sauvez-la !" Une passante a crié et j'ai compris qu'elle parlait de Vien’s À l'idée que Vien soit encore coincée dans ma voiture, j'ai trouvé la force de me lever de la civière. Je devais rejoindre ma fille ! Mais mes jambes tremblantes n'ont pas tenu le coup et je suis tombée sur mon genou cassé. Je me suis effondrée en criant désespérément pour ma fille. "Vien ! Vien ! Sauvez-la ! S'il vous plaît !" Quelqu'u

Le bruit des voix dans le couloir m'a réveillée. Je me suis forcée à me rendormir, mais l'agitation qui régnait devant ma porte m'a empêchée de le faire. La plupart des locataires sont des employés qui travaillent dur, il n'est donc pas surprenant que tout le monde soit debout à cette heure-ci. J'ai poussé un profond soupir. Mon corps avait envie de s'allonger sur le lit, les yeux fermés, mais avec le bruit qui régnait dehors, il serait impossible de se rendormir. Je ferais mieux de me lever maintenant. Rester allongé sur le lit ne servirait à rien. Les paupières entrouvertes, je jetai un coup d'œil à l'horloge murale et constatai qu'il était déjà plus de sept heures du matin. Le dernier signe de somnolence s'est échappé de mon corps et je me suis levé d'un coup sec du lit. On est lundi aujourd'hui ! Je devais encore aller à la morgue et préparer l'enterrement de ma mère. Ensuite, je devais me rendre au bureau. La journée d'aujourd'hui sera longue. Je me suis levée et j'ai fai