All Chapters of Le regret de mon ex mari milliardaire : Chapter 81 - Chapter 90

Pov carter J'ai tout entendu, du début à la fin... tout ce que je peux dire, c'est que je suis un homme mort. Avec sa mémoire qui revient lentement, lui dire la vérité serait la meilleure solution. Avant que la porte de la chambre de Beatrix ne s'ouvre et que quelqu'un découvre ce que je suis en train de faire, je suis rapidement retourné à ma chambre, traînant derrière moi mes esprits abattus . J'étais sur le point de lui parler, je me disais pour apaiser ma culpabilité, mais quand le sujet de ses souvenirs est apparu, l'espionnage était ma seule option pour obtenir des informations précieuses. Soulagé de revenir en toute sécurité dans l'intimité de ma chambre, j'ai soupiré profondément et fermé la porte derrière moi sans le moindre bruit. La solitude solitaire m'a accueilli dans mon domaine obscur. Seule la faible lueur de l'abat-jour aide à éclairer la pièce, projetant des ombres monstrueuses dans les coins inaccessibles. Je suis un homme mort. Les mots résonnaien

Je me suis approchée des étagères de livres du sol au plafond, en examinant la vaste sélection de romans. Un épais volume au dos bleu ciel a attiré mon attention errante. La surprise a élargi mes yeux quand le nom de l'auteur a attiré mon attention. Un bon livre de mon auteur préféré. Ouais, je le lirai plus tard. Puisqu'il est à ma portée, j'ai soigneusement sorti le livre et l'ai placé sur le dessus de la table de travail. "Je te lirai plus tard, bébé", ai-je pensé en me tapotant le livre avant de prêter toute mon attention à Papa qui expliquait que Mme Foster était une parente. "Mme Foster était plus qu'une amie de la famille, Beatrix. C'est ma cousine éloignée, ce qui fait d'elle ta tante. Le deuxième prénom de Mme Céline Foster est Crawford." Donc cela répond à ma question sur pourquoi Mme Foster possède une légère ressemblance avec grand-mère . Les traits aristocratiques fins de Crawford ressortent et il n'est pas difficile de repérer la ressemblance. "Elle est si

Quelques jours après l'examen d'entrée, l'Université Harvey a enfin publié les résultats. Le son du doux "tic-tac" de l'horloge me rappelait une bombe à retardement tandis que je fixais l'e-mail non ouvert sur l'écran de mon ordinateur portable. Dans la bibliothèque, je me suis déplacée sur le fauteuil pivotant de manière inconfortable tandis que mes yeux grands et sans clignotements scrutaient les mots écrits en majuscules grasses, disant "RÉSULTATS DE L'EXAMEN". Mes doigts se sont rassemblés dans une prière tandis que mes yeux commençaient à se fermer. "Seigneur, s'il te plaît, laisse-moi réussir l'examen, s'il te plaît", ai-je murmuré encore et encore. Lorsque mes yeux se sont ouverts, j'ai pris une profonde inspiration et utilisé ma force renouvelée pour cliquer sur l'e-mail. Il m'a fallu plusieurs tentatives pour appuyer sur le bouton "ouvrir", car mes doigts moites tremblaient d'anxiété. Le contenu s'est ouvert, une longue liste d'étudiants

La serveuse arriva peu de temps après, portant un plateau rempli de deux tasses de Café Mocha à déguster et de deux assiettes tentantes de gâteau à la glace. La vue me fit saliver. Je me mordis la lèvre inférieure en attendant impatiemment que la serveuse termine de tout mettre sur la table. Elle posa délicatement la tasse, puis l'autre. J'ai failli lever les yeux au ciel à cause de la lenteur du service. J'ai dû faire preuve d'une quantité considérable d'autodiscipline pour ne pas me lever et l'aider à servir le reste. J'ai faim. Qui pourrait me blâmer ? Soulagée de voir qu'elle avait enfin terminé son travail, je marmonnai un rapide merci avant qu'elle ne se dirige vers son prochain client. J'ai immédiatement saisi la cuillère à dessert et j'ai prélevé une bouchée de gâteau que j'ai directement portée à ma bouche. Un délice ! J'ai failli fermer les yeux alors que le gâteau à la glace fondait dans ma bouche. Peut-être que j'en ramènerai un peu pour qu'Elisa et Madam Stella pu

Le moteur a rugi avant de se mettre en mouvement. C'est à ce moment que j'ai réalisé que nous n'étions pas seuls. Un homme dans la quarantaine, portant un uniforme parfaitement repassé, était assis sur le siège du conducteur. Nouvelle voiture et nouveau conducteur ? C'est trop inhabituel pour Lucas. Il déteste que quelqu'un conduise sa précieuse voiture, surtout s'il s'agit d'une toute nouvelle Rolls Royce qui a dû lui coûter une fortune. Cela doit être de mauvais augure, pensais-je silencieusement. Je me demande si j'ai pris la bonne décision. Pour la énième fois, j'ai passé mes doigts dans mes cheveux par exaspération. "Je ne te fais pas confiance, Lucas", dis-je entre mes dents serrées, mais il ne m'a pas prêté attention. "La dernière fois que tu m'as traînée avec toi, nous avons fini en détention dans un commissariat pendant quinze jours", ai-je ajouté. Je me suis massé les tempes qui commençaient à battre. "Ouais, je m'en souviens", a-t-il dit plut