Lahat ng Kabanata ng Endetté envers le roi de la mafia : Kabanata 11 - Kabanata 20

Lily. Le soleil matinal inonde la ville de lumière tandis que je suis assise sur la terrasse, une douce brise caressant ma peau. Je suis perchée à une petite table en marbre près de la piscine, dont la surface est calme et lisse dans la lumière matinale. Le monde en contrebas semble lointain, presque paisible vu d'ici.Jane m'a préparé une délicate salade de fruits : des tranches de mangue mûre, de kiwi, de fraises et de papaye arrosées de miel et parsemées de graines de chia. Une tasse de thé fumante fume doucement à côté, son arôme subtil m'ancrant dans le présent.J'essaie de savourer le calme, mais mes pensées reviennent sans cesse à la nuit dernière : comment Sebastian est parti si précipitamment après cet appel mystérieux. Le silence qu'il a laissé derrière lui plane encore .Soudain, j'entends le doux « ding » de l'ascenseur. Je jette un coup d'œil vers l'entrée du penthouse tandis que les portes s'ouvrent.Sebastian entre.Il a l'air épuisé. De profondes cernes marquent son re

Je me lève du lit moelleux, la lumière du matin filtrant à travers les rideaux tandis que j'enfile ma tenue du jour. Je choisis un short taille haute bleu marine et une chemise bleu marine impeccable, le tissu frais contre ma peau. Mes baskets blanches sont confortables, parfaites pour voyager, et mes cheveux tombent naturellement, lâchés et flottant autour de mes épaules comme toujours.En bas, Sebastian attend, vêtu de noir de la tête aux pieds – une tenue élégante qui sied parfaitement à son allure imposante.Ses lunettes de soleil noires dissimulent son regard, ajoutant une touche de mystère à son attitude.Il se tient là, silencieux, dégageant cette même puissance tranquille qui le caractérise.Mon téléphone vibre dans ma main – c'est Bella. Son message est radieux et joyeux : « Passez une merveilleuse lune de miel ! » J'hésite un instant avant de répondre par un petit sourire, les doigts tapotant l' écran : « Ce n'est pas vraiment une lune de miel… » Les mots résonnent comme un

Paris la nuit – Une marche vers la vérité.« Bon, d’accord, je te dirai tout après le dîner », finit par dire Sebastian, d’une voix basse mais assurée.« Parfait », je réponds avec un léger sourire, bien que mon cœur batte la chamade, partagé entre curiosité et doute. Je finis mon verre de vin, l’observant attentivement.Le reste du dîner se déroule en silence. Je sens qu’il est perdu dans ses pensées – son regard est absent, pas vraiment. Je commande une part de gâteau au chocolat noir pour le dessert, essayant de sauver un peu de cette tension palpable. Il ne commande rien, il se contente de me regarder.« Tu ne manges pas ? » je demande nonchalamment, espérant détendre l' atmosphère.Il secoue la tête. « Pas d'appétit. » Je n'insiste pas.Une fois l'addition réglée, nous quittons le restaurant. La fraîcheur nocturne parisienne nous enveloppe comme de la soie teintée d' ombres. La Tour Eiffel brille faiblement au loin. Je prends une profonde inspiration, puis dis : « J'ai envie de m

Lily Je me réveille dans les bras de Sebastian, la douce lumière du matin filtrant à travers les voilages de notre suite d'hôtel parisienne.Sa poitrine se soulève et s'abaisse régulièrement sous ma joue, et pendant un bref instant, je me laisse aller à savourer la chaleur de ses bras. Puis ses yeux s'ouvrent en papillonnant, et nos regards se portent tous deux sur la tache de sang sur les draps blancs. Elle persiste entre nous comme un souvenir silencieux – preuve de la nuit dernière, de ce que je lui ai donné. De ce que je ne pourrai jamais reprendre.Il ne dit rien. Il me regarde simplement, son expression indéchiffrable, mais ses bras restent autour de moi. Je me détourne, incertaine de ce que je ressens – de la vulnérabilité, de la confusion, peut-être même un étrange réconfort. Je n'ai jamais laissé personne me toucher ainsi . Je me suis protégée si longtemps, et pourtant… je me suis laissée prendre par Sebastian.Plus tard, je m'habille d'un short blanc impeccable et d'une chem

Lily Le soleil se couche derrière les toits de Paris lorsque Sebastian pose sa main sur la mienne dans la voiture. Ses doigts s'entrelacent doucement aux miens, son pouce caressant le dos de ma main tandis que la voiture se faufile entre les pavés.« Elle a envoyé l'adresse à ce restaurant d'hôtel », dit-il doucement.J'acquiesce, le cœur encore battant au souvenir de la photo qu'elle m'avait envoyée.Le chauffeur s'arrête devant un grand hôtel aux balcons dorés et aux lanternes scintillantes. Dehors, l'air embaume les roses d'été et une légère odeur de fumée s'échappe des cuisines. Sebastian m'aide à descendre de voiture, sa main ferme et chaude posée sur le bas de mon dos.En entrant, je marque une pause pour reprendre mon souffle. Le restaurant se trouve juste à côté d'une terrasse ouverte qui surplombe une piscine aux reflets bleutés. Le sol en marbre brille sous nos pieds et une douce musique flotte en fond sonore – un mélange élégant de jazz français et d'une ambiance plus sensu