Double-h Phantom Rider Boots

My company had arranged a wilderness survival retreat deep in the heart of Moonshadow Forest—a place where even seasoned wolves tread cautiously. That night, a sudden downpour ripped through the campsite, drenching the earth and filling the air with the thick scent of damp moss and shifting soil. I woke abruptly, the cold seeping into my bones. Instinctively, I reached out to the space beside me, seeking the warmth of my mate. Empty. A sharp pang of unease clawed at my chest. My wolf, dulled by the suppressant herbs I had taken to blend into human society, stirred restlessly. Fumbling in the darkness, I grabbed my phone and dialed Nigel. The line barely had time to connect before he emerged from the undergrowth—disheveled, breathless. His grip was iron-tight as he seized my wrist, pulling me downhill. His scent was sharp with adrenaline, but beneath it—something foreign, something wrong. We ran, my boots sinking into the mud. My keen vision caught glimpses of his rumpled clothing, the way his collar was misaligned—and the faint imprint of lips on his jaw. My pulse pounded in my ears. Betrayal. I wrenched my arm from his grasp, my claws itching to unsheathe despite the human form I forced myself to maintain. "Where were you?" My voice came out low, edged with the danger of a wolf barely leashed. The suppressants in my bloodstream faltered under the weight of my fury. The storm had driven everyone into their tents, leaving the clearing eerily silent as we reached the base of the mountain. But she was there. A woman stood beneath the flickering glow of the emergency lanterns, her hair tousled, her fingers gripping Nigel’s jacket as if it belonged to her. I knew her. The new intern. Her face held an unsettling resemblance to mine, as if the Moon Goddess herself had carved her from the shadows of my reflection. The realization struck like a silver dagger to my chest. Even the mate who had once sworn to fight the world for me had given in to betr

La septième année où j'étais amoureuse de Léo, il a hérité du poste d'Alpha de son frère défunt. Et aussi de la femme de son frère, l'ancienne Luna, sa belle-sœur selon la morale, Jasmin. Chaque fois qu'il couchait avec sa belle-sœur, Léo me disait doucement : « Mia, tu es ma seule et unique compagne. Quand Jasmin sera enceinte et qu'elle aura donné naissance à l'héritier de la meute de Blazetooth, je célébrerai la cérémonie du Marquage avec toi. » Il disait que c'était la seule condition imposée par sa famille pour qu'il hérite de la meute de Blazetooth. Pendant les six mois après son retour à la meute de Blazetooth, il avait couché cent fois avec Jasmin. Au début, c'était une fois par mois, puis, il passait ses nuits là-bas tous les jours. Après ma centième nuit blanche à l'attendre, Jasmin est enfin tombée enceinte. En même temps, la nouvelle de la cérémonie du Marquage entre lui et Jasmin est arrivée. En entendant la nouvelle, mon fils m'a demandé avec innocence : « Maman, ils ont dit que papa allait faire la cérémonie avec la Luna qu'il aime, alors, pourquoi ne vient-il pas nous chercher à la maison ? » « Parce que la Luna qu'il aime, ce n'est pas maman. » J'ai caressé la tête de mon fils, « Mais ce n'est pas grave, maman va te ramener dans notre vraie maison. » Ce que Léo ne savait pas, c'était qu'en tant que fille unique d'Alpha de Merville, je ne me suis jamais souciée du titre de Luna de la meute de Blazetooth.

L'année de mes dix-huit ans, le Haut-Roi a convoqué les héritiers des quatre grands clans, vampires, loups-garous, dragons et sirènes, et a étalé leurs portraits devant moi, m'ordonnant d'en choisir un pour une alliance matrimoniale. Sans hésitation, j'ai pointé du doigt le plus obscur d'entre eux : Mathéo Dimont, un loup-garou des terres frontalières. La cour a retenu son souffle, car tous savaient que mon cœur avait longtemps appartenu à Iris, l'Alpha au sang royal le plus pur. Pendant sept ans, je l'avais suivi comme un chien fidèle, supportant son indifférence, déclarant publiquement mon amour, allant jusqu'à sceller un pacte avec mon propre sang pour l'épouser. Dans ma vie précédente, j'avais obtenu ce mariage. Et grâce à moi, il avait hérité des ressources du Haut-Roi, devenant le souverain des quatre clans. Mais il m'avait trahie en marquant secrètement Ruby, la fille adoptive de mes parents. Furieux, ceux-ci l'ont envoyée étudier dans une meute lointaine. À partir de ce jour, Iris me haïssait viscéralement. Ses maîtresses s'étaient multipliées, chacune ressemblant étrangement à ma sœur adoptive. Il les laissait m'humilier en public, transformant peu à peu ma position de reine en sinistre farce. La dépression m'avait rongée. Je ne maintenais ma forme de louve qu'à coup d'inhibiteurs. Jusqu'au jour où il avait remplacé lui-même mes médicaments par un poison lent. J'étais morte dans une grotte glacée, portant en moi notre enfant jamais né. Revenue à la vie, j'avais perdu mes illusions. Quand le Haut-Roi m'a fait à nouveau choisir, mon doigt s'est posé sur Mathéo. J'ai cru échapper au cauchemar... jusqu'à ce qu'Iris perde la raison en apprenant nos fiançailles...

Ich war im achten Monat schwanger, und die Wehen setzten ein, doch mein Alpha-Gefährte Damien sperrte mich in einen Silberkäfig im Keller, um die Geburt hinauszuzögern. Als ich um Hilfe schrie, sagte er nur, ich solle warten. Denn die Gefährtin seines verstorbenen Bruders, Victoria, brachte am selben Tag ihren Welpe zur Welt. Der Seher des Rudels hatte vorhergesagt, dass nur der erstgeborene Welpe von Mondgöttin gesegnet und zum zukünftigen Alpha werden würde. „Der Titel gehört Victorias Welpe“, sagte er. „Sie hat Marcus verloren. Sie hat nichts. Du hast bereits all meine Liebe, Elena. Der Silberkäfig wird dafür sorgen, dass du nach ihr entbindest.“ Die Wehen waren eine Folter. Ich flehte ihn an, mich in die Klinik zu bringen. Er packte mein Kinn und zwang mich, ihn anzusehen. „Hör auf, so zu tun. Ich hätte wissen müssen, dass du mich nie geliebt hast. Alles, was dir je wichtig war, sind Reichtum und Status!“ „Nur um deine Wehen zu erzwingen und zu stehlen, was meinem Neffen zusteht … Du bist wirklich böse.“ Blass und zitternd flüsterte ich: „Der Welpe kommt, ich kann es nicht aufhalten. Bitte, ich leiste einen Bluteid. Die Erbschaft ist mir egal. Ich liebe nur dich!“ Er spottete. „Wenn du mich lieben würdest, hättest du Victoria nie in diesen Vertrag gedrängt, um das Geburtsrecht ihres Welpen aufzugeben. Ich hole dich ab, wenn sie entbunden hat. Schließlich ist das in dir auch mein Welpe.“ Er bewachte Victorias Kreißsaal. Erst als er das Neugeborene in ihren Armen sah, erinnerte er sich an mich. Er befahl seinem Beta, mich freizulassen. Doch die Stimme des Beta bebte. „Luna… und der Welpe… sie sind tot.“ Und in diesem Moment verfiel Damien der Wildheit.

Après huit ans de mariage, j'ai hérité une centaine de millions d'actifs de biens que mon grand-père nous avait légués, à moi et à mon mari mafieux. Mais au moment où l'avocat procédait aux formalités de transfert, il s'est rendu compte que mon certificat de mariage était faux et que la centaine de millions d'actifs ne pouvait être hérité que par moi seule. « Mlle Aubry, le système indique que vous avez divorcé il y a un an et que l'épouse légale de votre mari Adrien Lebrun est... Zoéline Chabert. » « Vous êtes maintenant célibataire, cela signifie que M. Lebrun n'a pas droit à l'héritage. » Zoéline était le premier amour d'Adrien qui avait quitté le pays il y a longtemps. Quand j'ai vu le message de l'avocat, je n'ai pas pu me calmer pendant longtemps. Il s'est avéré que toute la tendresse et la sollicitude dont Adrien avait fait preuve à mon égard au fil des ans n'étaient que des mensonges. A l'origine, j'avais prévu de lui annoncer ma grossesse le jour de notre anniversaire de mariage, ce qui était le résultat que nous attendions tous les deux depuis huit ans de mariage. Mais maintenant, il semblait qu'il ne l'attendait probablement pas avec impatience. J'ai frotté mon ventre et je me suis dit silencieusement que ce n'était pas grave si mes jumeaux n'avaient pas de père. Tout ce que je devais faire, c'était de m'enfuir de ce lieu de tromperie.

I’m trapped, trapped in a mate bond I hate. Will I ever escape its hold on me? “I, Than Sable, Alpha of the Amber Desert Pack, reject you Kaia Glace as my Luna.” I remember his cruel cutting words as if they were only yesterday. Our mate bond is non-existent. That’s a lie, it exists but Than doesn’t allow himself to get close to me…to be alone in a room with me. It’s as if I disgust him. He has reduced me to nothing. A shadow of a mate and I hate him for it. I can’t keep living like this, waiting… I am Kaia Glace, the rightful Luna of the Amber Desert pack. Yet my mate, Alpha Than, refuses to let me rule by his side. I feel cheated by the mate bond, unwanted by my own mate. Years I’ve spent trying to get him to love me…to see me…but how can I? When he has another…. I can’t stay, it isn’t safe for me anymore or my unborn child. A child created by force. I have to leave…to runaway and find my Father. He is the only lifeline I have. However, he was last seen at the enemy pack, the Dark Phantom pack. A notorious pack with a cold and scheming Alpha, who doesn’t take kindly to outsiders. It is said, those who enter the pack are never seen again. But I have no choice…into the enemy pack I must go to rid myself of my mate bond. Only, I myself find another. Another that dooms me to the same trickery of the mate bond.

Ma sœur jumelle Elaine et moi avons été accouplées aux jumeaux Alpha. Seul le premier bébé né de ma sœur ou de moi deviendrait l'héritier Alpha de la meute. Ma sœur est tombée enceinte un mois avant moi et elle était censée donner naissance à l'héritier en premier, mais j'ai accouché prématurément avec un mois d'avance. Quand j'étais sur le point d'accoucher, j'ai choisi de m'asseoir dans une chambre remplie de potions spéciales qui supprimaient les contractions. En effet, dans ma vie précédente, mon compagnon Alpha Marcus m'avait entraînée dans de l'eau contenant de l'aconit pour retarder mon accouchement. Au bout du compte, mon petit et moi étions morts dans l'eau. L'agonie était insupportable. J'avais sangloté et supplié, l'implorant de m'expliquer pourquoi il me faisait ça. Mais il avait complètement ignoré mes pleurs. Tout ce qui l'intéressait, c'était de précipiter Elaine dans la tanière d'accouchement de la meute. « Mon frère Maël est mort en me sauvant la vie. » m'avait-il alors hurlé. « La seule façon d'honorer cette dette de sang est de faire en sorte que son enfant devienne l'héritier de la meute. Tu peux en vouloir à Elaine autant que tu veux un autre jour, mais pas aujourd'hui, attends encore un peu. » « C'est une potion spéciale, tu seras saine et sauve, fais-moi confiance ! » Saine et sauve ? J'avais souffert dans cette chambre souterraine pendant un jour et une nuit entiers. Mon enfant étouffait dans mon ventre tandis que l'empoisonnement à l'aconit me consumait. Lorsque j'ai rouvert les yeux, j'étais revenue au jour de mon accouchement. Cette fois, je devrais me sauver.

Crimson Bloomed: Ascend Post - Apocalyptic Horror | Action | Yuri Harem | Coming - of - Age | Rated R | Mature Content | Slow Burn The city looked like it had been devoured — chewed up by fire, time, and whatever came after — then spit back out in jagged pieces. Dead drones dangled from power lines like rusted ornaments. Neon signs flickered above fractured pavement, their broken scripts glitching into gibberish. Down the block, a half - melted smartcar burned slow, casting warped shadows across the skeletal remains of a coffee bar. Behind a crumpled tram car, someone crouched low, breath tight in her lungs. The shrieking hadn’t stopped. It came again — sharp, bone-deep, the kind of sound that latched onto your spine and refused to let go. She checked the signal jammer at her hip. Still blinking. Still active. Not for long. They were tracking her. She moved fast — boots silent over broken glass, slipping through the breach in an old laundromat’s wall. Her body moved from muscle memory now: slide through, duck left, over the washer, don’t look at the corpse slumped by the dryer. Out the back. Up the fire escape. On the rooftop, she halted. Not alone. Someone was already there — silhouetted against the bleeding sunset. Combat jacket. Short - cropped hair. Pulse rifle slung casually over one shoulder like it weighed nothing. Like this was just another rooftop, just another war. “Don’t move,” the voice snapped. She lifted her hands slowly. “I’m clean.” “Everyone says that.” “Scan me.” beat. Then the girl stepped forward, rifle still raised but gaze locked in. Dark eyes, sharp, searching — not just for weapons, but tells. Fear. Lies. She lowered the rifle half an inch. “You’re lucky you’re cute.” That wasn’t the line she expected.

I stepped closer. Close enough to smell his cologne—cedarwood, leather, and power. My hand moved. Smooth, practiced. The pistol slide from under the apron into my palm. I raised it fast. But before I could pull the trigger— BANG. Not my shot. A scream tore through the restaurant as another man launched himself toward Romano’s table, blade flashing. Another assassin. What the hell— Romano didn’t flinch. He shoved the table forward, knocking the attacker off balance. The blade scraped across wood, not skin. I ducked instinctively as the room erupted into chaos. Gunfire cracked. Glass exploded. People screamed and dove for cover. “Get him out—NOW!” one of the guards barked. I aimed for the second attacker. Didn’t even hesitate. One shot—head. Gone. The guard saw me. Confusion flashed in his eyes. Then rage. I ran. I weaved between overturned chairs, plates, and screaming bodies. The smell of blood was real now, thick in the air. One of the guards grabbed me. I slammed my elbow into his ribs, twisted, and brought the butt of my gun down on his skull. He dropped like a sack of bricks. Out. I had to get out. My boots pounded the floor as I tore through the narrow hallway. But then— “Elisa.” His voice stopped me cold. I turned. Antonio Romano stood in the middle of the carnage, suit untouched, blood spattered behind him like art. His eyes were on me. And he was smiling. It was darker. Slower. Like a hunter seeing something worth chasing. Somehow, he knew who I was. “Interesting,” he said softly, tilting his head. “They sent you.” I didn’t answer. I ran. But that voice followed me. He knew my name. And he let me go. This wasn’t over. It had just begun.

It was a bad idea. She knew it but she had no choice. After finding herself penniless after the death of her parents who nevertheless had a good fortune, Rose had no other idea than to loot the trunk of her old house to pay for her little sister's treatment. Anyway, it wasn't a theft because nobody knows about this safe... The house was empty because it was for sale, she was going to sneak in and she would never set foot there again. It was a perfect idea... When she entered the house, she suspected that there was someone but she persisted and continued... -Who are you? What are you doing at my house? She was so relieved that no one had touched her money so she hadn't even heard the footsteps... She turned to see a man...a man with a mask covering half his face. .. Frightened, she did not expect that this night could change her life... -I'll let you take your trunk and I'll offer you double more so that you serve as my escort, for one night... Rose could not understand such a proposal. However, she had no choice...