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After working overtime for half a month straight, I finally secured a contract worth more than ten million, saving the company from the brink of collapse. My boss, Richard Gray, was overjoyed. At the celebration party, he called me the pillar of the company and announced that he would reward me with a bonus. However, when the end of the month came, and I opened my payslip, I froze. Negative 250 dollars. A negative commission? I actually owed the company 250 dollars? I immediately called the finance department, asking if there was a mistake on my payslip. They replied, "No mistake. This is the cost calculation formula that Mr. Gray personally instructed us to use. He said you'd understand once you saw it." I went straight to Richard for an explanation. He laughed. "The contract that you signed, after factoring in the concessions, upfront resources, and hidden expenses, left the company with a net loss of 150 thousand. Since the loss was due to your personal decisions, you're responsible for five percent. That totals to 7500. "Considering how hard you worked, we deducted it from your base salary first. But your salary wasn't enough, so you still owe the company 250. Don't worry. The company treats its employees well. We'll write that off." Soon after, he awarded 100 thousand dollars to the newly arrived intern. I watched the newcomer, probably connected to Richard, cheerfully treat the entire company to dinner with her bonus, and something inside me just snapped. From that day onward, I did the bare minimum. I clocked in. I clocked out. Nothing more. Later, when a critical project went catastrophically wrong and the company faced a colossal compensation demand, Richard came begging me to fix it. I just smiled and said, "Sorry, Mr. Gray. I've already resigned. If there are any problems, you can ask the intern who got the 100 thousand dollar bonus to handle it."

I, Calista Summers, have been in a secret relationship with Vernon Grayson, the boss of the biggest mafia organization in Merdico for five years. To others, Vernon is the epitome of a perfect gentleman, cold yet aloof, attractive yet abstaining from women. With a net worth in the tens of billions, he holds a lot of power. He has also kept himself scandal-free since the start of time. However, not many know that I am his only exception. I am the team captain of the cheerleading squad at Duke City College. I am known to be brave, straightforward, and passionate about everything. Vernon is a whole decade older than I am. He is mature and dangerous, but those are the exact qualities that draw me to him every time. He always lets me rest my head in his lap while in the back of his limited-edition Rolls-Royce, kisses every inch of my body before the floor-to-ceiling windows of his office, and takes my breath away in hidden toilet cubicles at major public charity galas. And every time, he's so gentle with me that I keep mistaking his doting on me as his love for me. Yet, he can also get cruel and merciless with me, making me beg and whine at his mercy. As for me, I was really falling for him because Vernon never lets any other woman get close to him. He chooses me every single time, and I believe that's what true love is. However, things change when his first love, Samara Horton, returns from Urop. Vernon starts showing me his cold, aloof side that leaves no room for argument. He stops being gentle with me, his mask falls away to reveal his true colors, and he no longer treats me as his equal who shares his world. At that moment, I finally realize that I am nothing more than a dirty secret he needs to keep hidden from the rest of the world. I am but a pawn that he can easily cast away at his convenience. I choose to put an end to our secret relationship altogether. I leave, taking nothing of his with me except for the baby in my womb. The baby is his heir, but he doesn't even know that he exists.

Mon ami d'enfance m'avait promis de m'épouser dès que nous serions en âge, mais le jour de mon mariage, c'était à ma demi-sœur Sabrina Hugh qu'il avait passé la bague au doigt. Ce jour-là, Victor Lozé, l'héritier redouté de la mafia, était intervenu comme un chevalier blanc. Devant toute l'assistance, il avait déclaré m'aimer en secret depuis des années. Durant nos cinq années de mariage, il exauçait chacun de mes souhaits, même les plus futiles. J'étais persuadée d'être le centre de son univers... Cette certitude s'est brisée net le jour où, en époussetant sa bibliothèque, j'ai découvert un dossier ultra-confidentiel. La première page portait le nom de Sabrina, surmonté de l'inscription en gros caractères rouges : « PRIORITÉ ABSOLUE ». Il était suivi d'un rapport de mission que je connaissais trop bien : il détaillait la nuit où l'on avait tenté de m'assassiner. Je l'avais échappé belle après une hémorragie qui avait failli m'emporter. À mon réveil à l'hôpital, on m'avait appris que j'avais perdu un enfant, un être dont j'avais ignoré jusqu'à l'existence. J'avais sangloté dans les bras de Victor, sans lui révéler cette perte. Je ne voulais pas l'inquiéter davantage. Aujourd'hui, je comprenais tout : Sabrina avait aussi été attaquée cette nuit-là, et mon mari avait donné cet ordre : « Sauvez Sabrina d'abord. » Mes larmes maculaient l'encre jusqu'à la rendre illisible. « Très bien », ai-je murmuré dans le silence, la voix tremblante mais résolue, « si ce mariage n'est qu'un mensonge, alors je disparaîtrai de ta vie. Pour toujours. »

À la veille de mon mariage, la nouvelle selon laquelle la maîtresse de mon fiancé avait accouché s'est répandue partout. Alex Thomas n'a pas attendu que je l'interroge, il a parlé d'un ton désinvolte. « Ce n'est qu'un accident, occupe-toi d'abord de l'organisation de nos fiançailles. » « Et puis, ton père est atteint d'un cancer de l'estomac à un stade avancé, rompre l'alliance maintenant ne servirait ni ta famille ni la mienne. » Le soir même, il a brillé par son absence à la réception, mais il a publié sur Instagram une photo d'un nouveau-né emmailloté. Quand je l'ai appelé en visioconférence, il donnait le biberon à l'enfant. « Je m'occupe du bébé ces jours-ci, je n'ai pas le temps de t'accompagner. Tu le sais, je suis fils unique, l'enfant compte davantage. » En essuyant le lait au coin de la bouche du nourrisson, il a ajouté : « Mais rassure-toi, dès qu'il aura un mois, je l'enverrai à Solméra. » « Aux fêtes, il suffira que tu fasses semblant d'être sa mère devant les autres, et la place de jeune madame Thomas restera toujours la tienne. » J'ai fixé la bague assortie à la mienne qui brillait à son annulaire, puis j'ai éclaté de rire. « Alex, annulons nos fiançailles. » Il a soufflé avec mépris : « Pour si peu tu fais un caprice, ne sois pas si enfantine. » J'ai coupé net la communication, puis j'ai composé le numéro privé de son père. « J'ai entendu dire que vous cherchiez une nouvelle épouse, pourquoi ne pas songer à moi ? » En caressant mon ventre, j'ai souri doucement : « Après tout, la vie m'accorde une nature féconde, je pourrai vous donner autant de fils que vous voudrez. » La maison des Thomas, avec Alex comme unique héritier, paraissait bien vide. Moi, j'allais lui offrir quelques frères pour égayer le tout.