Novels by Brenda Linkeu

CHAPITRE 4Couché sur son lit, Lylah ne cesse de se remémorer la scène de la nuit dernière encore et encore, elle aurait voulu tout oublier mais élasse Elle avait la gueule de bois et se sentait affreusement mal, elle se sentait coupable, et salit, elle n’aurait pas dû céder à ses pulsions, le comble c’est qu’elle frémissait au simple souvenir du baiser de Brandon elle repensait encore à l’agréable sensation qu’elle a eu quand il a posé ses lèvres sur les siennes Elle revivait la scène comme s’il elle y était encore “ Après avoir posé ses lèvres sur celle de Brandon, Lylah resta figée. Elle réalisa qu’il n’avait pas répondu à son baiser, qu’il n’avait même pas réagi du tout. Elle se rétracta toute honteuse et se mis à bafouer _ Je suis vraiment désolé, je ne sais pas ce qui m’a pris…je…je n’aurais jamais dû le faire…je…Elle était si embarrassée qu' elle s’empressa de quitter de leur table et sortit du cabaret, espérant oublier ce qu’elle venait de faire. Elle ne savait vraiment

CHAPITRE 3Lylah se sentait perdue et confuse, comme si elle était à un carrefour de sa vie qu’elle n’avait jamais parcouru. Elle avait toujours pensé que son mariage avec Robin était parfait, mais maintenant elle commençait à se demander si elle avait fait une erreur. Les doutes qui l'avaient assaillie depuis quelques jours lui faisaient peur, et elle ne savait pas comment les chasser. Mais en regardant Brandon chanter, elle se sentait comme si elle était transportée dans un autre monde, un monde où elle pouvait oublier ses soucis et ses doutesLorsque Brandon descendit de la scène, il regarda Lylah droit dans les yeux, et elle se sentit comme si elle était la seule personne dans la salle. Il lui sourit, et elle sentit son cœur battre plus vite. Elle ne savait pas ce qui se passait, mais elle se sentait attirée par lui de manière irrésistible. Et lorsque Brandon s'approcha d'elle, elle se sentit comme si elle était sur le point de découvrir un secret qui allait changer sa vie pour to

CHAPITRE 2Lylah était encore sur le choc suite à sa conversation avec Robin, les doutes ne faisait que s’installer de plus en plus Elle n’avait pas cessé de réfléchir de toute la journée, de se poser des questions à propos de son mariage, de l’amour qu’elle éprouvait pour Robin, est-ce que cela était-il suffisant ? Avait-elle bien fait d’écouter son cœur ? Robin l’aimait t’il réellement ? Si oui alors était-ce ça l'amour ? Autant de question auquel elle ne trouvait pas de réponse Affalée sur son canapé, elle regardait la télévision quand elle a suivi sonner à la porte, Suzanne sa femme de ménage s’est empressé d’aller ouvrir Elle fut surprise de voir Marie, Irina et Chloé entrée en trompe toute souriante et surexcitées_ Non mais je n’arrive pas à croire que… Tu es encore en pyjama ?Fit remarquer Chloé ce qui les amusa, Lylah était tellement préoccupé qu’elle n’a pas songer à aller s’échanger, elle n’avait même pas l’intention, elle comptait bien se morfondre devant son films tou

CHAPITRE 1L'air empli du ramage, des oiseaux dans les bois berçait les frondaisons d'une brise encore fraîche Soudain, les rayons d'or, fusant comme des flèches, scintillent à travers les feuillages qui flamboient, Lylah était assise au balcon regardant toute cette beauté, c'était son moment favoris de la journée regardé le levé du soleil de son balcon, elle avait une très belle vu sur le paysageElle se leva et entra dans la chambre tirant les rideaux pour laisser entrer les rayons du soleil, la pièce était grande, luxueuse et silencieuseAu milieu de la pièce on pouvait voir un grand lit où se trouvaitune silhouette endormieLylah s’approcha de Robin, il était si détendu, les yeux fermés, la respiration lente, la lumière du soleil qui entrais par la fenêtre illuminait son visage mettant en valeur ses trait régulier; Lylah sourit en le regardant, sentant une vague de tendresse l’envahît Elle s’assit sur le bord du lit près de lui, et lui caressa délicatement les cheveux, Robin re

3. LE CONTRAT« Rêver est magique.Réaliser est puissant.Aimer est divin. »Notre jeune protagoniste vivait à Deido, l’un des quartiers les plus animés de Douala. Plus précisément au Grand Moulin, un endroit que les habitants surnommaient "le terrain de basket", même si aucun terrain n’y existait réellement. Seuls les anciens du quartier connaissaient l’origine de ce nom, gardée presque comme un secret d’initiés.Ce matin-là, elle sortit de leur modeste appartement, niché dans une mini-cité qu’elle partageait avec sa mère. Le soleil n’était pas encore haut, mais la vie, elle, avait déjà repris son cours. En refermant doucement la porte derrière elle, elle salua les voisins avec un sourire discret, puis franchit la grande barrière noire à l’entrée de la résidence.Dehors, la rue était déjà bien animée. Le goudron encore frais de rosée brillait sous les premiers rayons du jour. Des élèves en uniforme se bousculaient sur le trottoir, des femmes allaient s’approvisionner dans les boutiqu

2. MIRAGEL’illusion passe,L’amour reste,L’espérance se transmet.Je sentais une main dessiner lentement les courbes de mon corps, effleurant ma peau avec une tendresse électrique. Un frisson me parcourut, mais je restai encore prisonnière du sommeil. Les caresses s’intensifièrent, brûlantes, osées, jusqu’à ce que je sente mon soutien-gorge se dégrafer. Je sursauta légèrement. J’étais pourtant certaine de ne pas avoir ramené d’homme chez moi.En ouvrant les yeux, qui vois-je ? Monsieur Alexandre.Je n’eus même pas le temps de formuler une question. Il s’empara de mes lèvres avec une ardeur brutale, m’embrassant comme s’il avait attendu ce moment toute sa vie. Et moi… j’adorais ça.Je me laissais totalement aller. Ses mains devenaient de plus en plus aventureuses, parcourant mon corps avec une précision troublante. Lorsqu’elles atteignirent ma féminité déjà trempée, un gémissement m’échappa, étouffé par ses baisers. Il me caressait avec expertise, me faisait vibrer… Mes ongles s’enfo

1. PLAN À TROIS« Il y a des vides qu’on ne comble jamais,des souvenirs qu’aucun sourire n’efface,des personnes qu’on ne remplace pas.Les sourires reviennent, bien sûr… mais uniquement pour masquer la peine. »Je vivais avec ce vide chaque jour. C'était devenu ma routine, une habitude presque rassurante dans sa douleur. Je m’étais forgé dans cette souffrance, endurci dans le rejet, façonné par elle. Ce n’était pas ma faute. C’était la sienne. Elle avait noirci mon cœur, déformé ma vision de l’amour, m’avait fait devenir cet homme froid, distant, sans pudeur. Mais aujourd’hui, j’étais plus qu’un homme blessé. J’étais devenu rusé. Un joueur. Un stratège. Je mentais avec le sourire, j’embrassais avec détachement. Heureux encore que je ne sois pas devenu un bandit. Je me félicitais chaque jour de n’avoir pas totalement sombré. J’étais resté droit. Froid, mais droit.Elle m’avait élevé comme un renard… Alors elle verrait les résultats de son œuvre.——Les projecteurs m’aveuglaient presq