Le prêtre, satisfait de leur engagement et de leur dévotion mutuelle, adressa quelques mots d'encouragement aux jeunes époux.Prêtre : Juliette et John, vivez dans la joie, en vous aimant comme vous vous l'êtes promis. Je vous déclare mari et femme. Vous pouvez vous embrasser.Un sourire éclatant illumina les visages de John et Juliette alors qu'ils s'approchaient l'un de l'autre, le cœur rempli de bonheur et d'amour. Dans un geste doux et tendre, leurs lèvres se rencontrèrent dans un baiser passionné, scellant ainsi leur union devant Dieu et les témoins présents.L'église résonna alors d'applaudissements joyeux et d'un murmure de félicitations. La beauté et la solennité de la cérémonie capturaient l'attention de tous, tandis que le prêtre prononçait une bénédiction finale sur les nouveaux époux.Le mariage de Juliette James et John Lewis resterait gravé dans les mémoires comme un moment d'amour, d'engagement et de promesses éternelles, une étape marquante dans leur voyage commun à tr
C'était le week-end et Clarita était partie chez Martino. Les deux étaient très engagés et tout allait bien entre eux.John était à la maison avec Juliette et Sophia. Il discutait avec Sophia lorsque Juliette vint leur dire que la table était prête pour qu'ils puissent passer à table. Elle voulait retourner à la cuisine, mais John l'arrêta.Juliette : Oui ?John : As-tu encore quelque chose sur le feu ?Juliette : Non.John : Alors viens t'asseoir. Je veux qu'on discute de quelque chose.Sophia se leva et les laissa seuls. Juliette s'assit en face de John et avait l'air honteuse. John se leva pour s'asseoir à côté d'elle. Elle commença à s'écarter de lui, mais John prit la parole.John : N'as-tu toujours pas envie de me sentir ?Juliette : Si.En même temps, Juliette se rapprocha de lui pour lui éviter tout autre souci.John : Juliette, quand me laisseras-tu te faire ce que tu m'as fait quand je me suis réveillé à l'hôpital ?Juliette : De quoi parles-tu ?John sortit une bague de fia
Juliette embrassa John jusqu'à ce qu'elle reprenne le contrôle d'elle-même et se détacha de John. Elle commença à présenter ses excuses à John, qui ne faisait que l'observer. On aurait dit la première fois qu'ils s'étaient rencontrés, lorsque John l'avait éclaboussée avec sa voiture sans le savoir.Juliette : Je suis vraiment désolée pour ce qui vient de se passer. Je ne voulais pas te mettre mal à l'aise et je sais que tu ne veux pas de moi. Je suis sincèrement désolée. Je me suis laissé emporter par mes émotions...Juliette n'eut pas le temps de finir sa phrase avant de sortir précipitamment de la chambre. Une fois dehors, elle se retrouva face à face avec Estella qui s'apprêtait à entrer dans la chambre. Dès que Estella posa les yeux sur Juliette, elle se rendit compte que quelque chose avait changé en elle et lui demanda si tout allait bien.Juliette : Oui, tout va bien. John s'est réveillé et il m'a même parlé. J'étais sur le point de venir vous le dire.Estella : Mon frère s'est
Ce que Alec ignorait était qu'il était sous surveillance et qu'il suffisait qu'on remarque sa présence pour que les membres des Cercles Rouges interviennent. Ce détail avait attiré l'attention des membres des Cercles Rouges, qui étaient déjà présents dans le pays avant que ses délires ne commencent.Sans perdre de temps, Georges avait appelé Nikita, et celle-ci lui avait dit qu'ils étaient prêts à partir. Ils avaient fixé un point de rendez-vous pour se retrouver avant de se rendre chez John, afin de ne pas manquer leur cible et de tout faire pour que John s'en sorte indemne.À Brooklyn...Ils étaient tous prêts à prendre la route. Nikita était déjà montée dans la voiture et Martino chargeait les armes lorsque Clarita vint le rejoindre.Martino : Ne t'inquiète pas, je reviendrai sain et sauf avec John.Clarita : Je le sais, j'ai confiance en vous tous, mais soyez prudents. Je ne veux pas te perdre, car je sais que tu aimes prendre des risques.Martino : Prendre des risques fait partie
John : Alec, tu paieras pour tout ce que tu es en train de faire. J'espère que tu connais parfaitement la personne à qui tu t'en prends, n'est-ce pas ?Alec : En effet, le célèbre John Lewis, le fils de l'un des plus grands hommes d'affaires et milliardaires de ce pays. Celui qui est prêt à tout à cause d'une femme qui s'est compromis avec plusieurs hommes. Tu me fais sincèrement pitié, mon frère.John : Après tout, il semblerait que nous ayons les mêmes penchants. Aurais-tu oublié que toi aussi, tu as partagé celle que tu aimais et que tu aimes encore avec d'autres hommes, uniquement pour de l'argent ? Mais la différence entre nous est que je ne suis pas à l'origine de ce que vous avez fait subir à Juliette. Et tu sais quoi ? Elle n'est pas réduite à cela. Elle est une femme ordinaire qui mérite tout l'amour d'un homme. C'est pour cette raison qu'elle mérite que je me sacrifie pour elle. Tu peux faire tout ce que tu veux, mais tu n'obtiendras jamais ce que tu désires. Si quelqu'un do
John était confronté à un blocage depuis qu'il avait reçu l'appel de Juliette. Il se posait des questions auxquelles seule Juliette pouvait répondre. L'appel l'avait tellement surpris qu'il se leva précipitamment et décida de se préparer pour se rendre dans la résidence où elle se trouve. Alors qu'il s'apprêtait à se lever, son téléphone sonna. Il décrocha et fut incrédule en découvrant que c'était Alec à l'autre bout du fil. Ce dernier refait surface après des mois passés dans l'ombre.John : Qu'est-ce qui me vaut l'honneur de cet appel, ou est-ce encore pour me menacer une fois de plus ?Alec : Non, mon ami, je t'appelle pour te dire que j'apprécie ce que tu fais et comme tu m'empêches d'accomplir ce que je veux, il est temps que tu comprennes que c'est toi ma cible désormais. J'ai pris mon temps pour me préparer convenablement, mais tu restes un obstacle sur ma route.John : Alec, pourquoi ne peux-tu pas laisser cette affaire derrière toi ? Pourquoi est-il si difficile pour toi de