Après ma renaissance, j'ai laissé ma meilleure amie emporter le sperme

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« J'aimerais bien avoir un bébé métis ! Je veux bien ce sperme ! »

Chloé Dupont, ma meilleure amie qui se vantait de ne pas être mariée et affirmait qu'avoir des enfants était une perte de temps, m'a écartée d'un coup, me laissant complètement hors de portée de la tablette sur laquelle la sélection des informations sur le sperme avait été effectuée.

En voyant son air excité, j'ai compris qu'elle aussi avait renaît.

Voyant que je fixais la tablette dans sa main sans rien dire, elle m'a jeté un regard vide et impatient.

« Ce n'est que le sperme d'un homme métis, n'est-ce pas ? Il y en a d'autres, en tant que bonne amie, pourquoi es-tu si mesquine ? »

« Les informations sur ce donneur de sperme ne sont même pas claires, et j'essaie de t'éviter des ennuis ! »

Si Chloé avait pu cacher son sourire suffisant, ses propos auraient eu une certaine crédibilité.

Mais elle avait dans les yeux une détermination impérative, et le sourire en coin était assez évident.

J'ai secoué la tête, comme si j'avais soudainement compris : « Chloé, je pense que tu as raison, avoir un enfant est un gâchis de vie, donc je n'en aurai pas. »

Après avoir entendu mes paroles, Chloé m'a regardée avec méfiance : « Vraiment ? Mais tu voulais évidemment avoir un bébé avant, juste parce que tu savais... »

Elle pensait toujours que je voulais avoir un bébé parce que je connaissais les informations sur les donneurs, mais elle ne savait pas qu'en fait, j'essayais juste d'accomplir la tâche que ma mère m'avait confiée.

Je n'avais aucune idée que le sperme appartenait au prince de Dubaï.

Comme si elle avait découvert un secret, Chloé a écarquillé les yeux.

Ses joues ont rougi sous l'effet de la surexcitation.

Voyant que je disais non à la FIV, le personnel a été un peu choqué et m'a rappelé : « Mlle Roux, vous avez payé un acompte de 30 000 euros quand vous avez réservé votre place, si vous voulez réserver à nouveau ce sera 100 000, êtes-vous sûre que vous ne voulez pas... »

J'ai secoué la tête rapidement et interrompu le personnel : « Je suis sûre. »

En m'entendant dire cela, Chloé a immédiatement demandé au personnel d'apporter rapidement le contrat.

A l'origine, il y avait aussi une section sur les précautions de la FIV et la notification des risques , mais elle les a directement sautées.

« C'est juste donner naissance à un enfant, j'ai le pressentiment que le père de mon enfant doit être un gros bonnet, et que j'aurai toute une vie d'honneur et de fortune si je lui donne naissance ! »

Je n'ai pas pu m'empêcher de ricaner au fond de moi.

Bien sûr, je savais pourquoi elle était si confiante.

Car après avoir choisi ce sperme dans ma dernière vie, j'ai été trouvée par le prince de Dubaï la moitié d'un mois plus tard et il est venu me chercher pour un grand mariage.

Et sa vie est devenue de plus en plus difficile.

Chloé considérait que ce qui nous est arrivé à toutes les deux était dû à la chance.

Dans sa seconde vie, la première chose qu'elle voulait faire était de voler le sperme que j'allais choisir et de devenir elle-même la princesse de Dubaï.

Peu après, elle a signé le contrat.

Après avoir quitté le laboratoire, elle a envoyé sa démission à l'entreprise.

Je l'ai regardée avec surprise.

Chloé m'a regardée d'un air moqueur, un sourire aux lèvres : « J'ai l'impression que d'ici peu, je serai au sommet de ma vie. »

« Et toi, tu n'auras pas d'enfants, et tu n'as encore qu'un travail pénible, tu ne feras que trimer jusqu'à la fin de tes jours ! »

Après avoir dit cela, elle s'est détournée sans hésiter et a pris un taxi pour se rendre au centre commercial de luxe.

En regardant son dos suffisant, je ne pouvais m'empêcher de ricaner.

Chloé, tu veux être la princesse de Dubaï ?

Alors je te souhaite de pouvoir encore rire autant que tu le fais aujourd'hui après avoir connu la vérité !