Djena Quand je franchis le seuil de la porte, mon regard se posa immédiatement sur Jack. Il était là, debout devant ma porte, l’air grave, les bras croisés, comme s’il m’attendait depuis des heures. Je sentis une pression dans ma poitrine. Ce moment allait arriver, celui où tout ce que j’avais ignoré et repoussé pendant tout le weekend allait éclater.Je m’arrêtai un instant, hésitant à avancer. Il me fixa sans un mot, ses yeux brillants d’une inquiétude et d’une colère contenues. Je ne savais pas ce qu’il pensait exactement, mais je pouvais deviner la tension dans son regard. Et je savais que, tôt ou tard, il fallait que j’y fasse face.Alors que je faisais quelques pas vers lui, la voiture de Romain ralentit et s’arrêta derrière moi. Je n’avais pas eu le temps de le remercier ou de lui adresser un mot de plus avant qu’il ne parte, mais je n’avais pas le courage de le retenir, de prolonger encore ce moment. Je tournai la tête pour le regarder s’éloigner, avant de poser de nouveau le
Djena Le lundi matin, je me réveillai lentement, comme si la réalité m'avait rattrapée en douceur, mais avec une certaine insistance. Le weekend que j’avais passé avec Romain m’avait offert une parenthèse de tranquillité, loin des préoccupations et des tensions de ma vie quotidienne. Mais maintenant, il était temps de revenir à la réalité. Le week-end s’était écoulé trop vite, et je n’avais pas vraiment eu l’occasion de réfléchir à tout ce qui m’attendait à mon retour. Les appels manqués de Jack, les messages sans réponse, tout cela m’attendait comme une épée de Damoclès. Et chaque minute de silence me pesait un peu plus.Je me lève et prends une douche .J’étais en train de me préparer lentement, le cœur lourd, quand , Romain entre dans la chambre :- Bonjour ma chérie , as-tu bien dormi ?- Oui , bonjour à toi , n'a très bien dormi - Es-tu prête à partir ?- Oui , - D'accord , tu n'oublies pas de manger avant de descendre , tu dois avoir faim !- C'est vrai , j'ai très faim .Je
Jack Le lundi matin, je me réveillai avec un malaise que je ne pouvais expliquer. Il avait suffi d’un weekend sans nouvelles pour que l’angoisse se fraye un chemin en moi. Je savais que ça n’avait pas de sens. Elle était indépendante, elle avait ses occupations. Mais cette sensation de vide, de silence, m’envahissait d'une manière insupportable. Je n’avais cessé d’essayer de la joindre tout le weekend, entre appels et messages. Mais chaque fois, son téléphone était éteint, sans réponse. À chaque tentative, une petite frustration s'était accumulée, se transformant peu à peu en une anxiété grandissante. Et ce matin, je m'étais réveillé avec ce poids, ce vide lourd dans la poitrine.Je n’étais pas du genre à être dépendant, à m'inquiéter sans raison. Mais il y avait quelque chose dans cette situation qui me déstabilisait. Je pris mon téléphone, espérant qu'il y aurait enfin une notification, un message. Mais non, rien. Pas de message, pas d’appel. Il n’y avait que le silence. Je posai m
Djena Le weekend semblait se déployer comme une mer calme, chaque instant flottant doucement entre les heures, chaque moment partagé étant une douce découverte. Dès le samedi matin, alors que le soleil peinait encore à traverser les rideaux épais, nous nous étions réveillés tard, un peu engourdis de sommeil, mais heureux de n’avoir nulle part où aller. Le parfum du café frais envahissait la pièce, tandis que je me levais en baillant et que Romain, déjà en train de préparer des œufs brouillés, me lançait un regard complice."Je pensais que tu allais dormir encore un peu", dit-il en souriant, sa voix encore chargée de la douceur du matin.Je lui répondis en haussant les épaules, un sourire paresseux sur les lèvres. "Je crois qu’on a toute la journée devant nous. Je ne vois pas pourquoi je serais pressée."Il me tendit une tasse de café, et je m’assis à la table, observant le soleil qui faisait éclater de petites touches dorées à travers la fenêtre. La matinée se déroulait dans une lent
Djena Le frisson de son contact me traversa, réveillant en moi une nouvelle vague de désir. Je lui rendis son sourire, mes joues s’empourprant légèrement tandis que j'éprouvais l’excitation tranquille d’un nouveau matin à ses côtés.Il m’attira doucement vers lui, m’enveloppant dans ses bras musclés. Je sentis la chaleur de son corps contre le mien, une promesse silencieuse de ce qui allait suivre. Dans un élan de désir, il déposa des baisers sur mon front, ma joue, puis sur mes lèvres, chaque baiser une invitation à descendre un peu plus dans l’abîme du plaisir.Romain me saisit délicatement par la taille et, avec une fluidité presque magique, me fit rouler sur le dos, perdant la notion du temps alors que nous nous installions l’un contre l’autre dans un cocon de douceur. Sa présence était électrique, et je pouvais sentir la chaleur se répandre en moi à l'idée de ce qu'il souhaitait accomplir.« Je crois que je ne peux pas me passer de toi, » souffla-t-il à mon oreille, ses mots enf
Djena Il m'embrasse avec fougue , sa langue se glisse à l'intérieur de ma bouche , il trouve la mienne et il l'a capture , il la titille , l'a mord tendrement .Avec une lenteur exquise, il reprit le contrôle, s’immisçant entre mes cuisses avec une détermination à la fois douce et impérieuse. Il s'enfonce en moi avec une lenteur délibérée , je sens chaque parcelle de sa queue qui m'envahit peu à peu : il est si énorme ! Plus que Jack ! Ho mon Dieu , il va me déchirer . Il me remplit complètement . Je pouvais sentir la chaleur de son corps contre ma peau, une fusion sensuelle qui ne faisait qu'intensifier le désir qui s'épanouissait en nous. Chaque mouvement était une danse, un ballet minutieusement chorégraphié, où nous explorions les limites de notre passion.Ses bras se nouèrent autour de moi, m’attirant plus près alors qu’il s’approchait lentement, ses lèvres effleurant la courbe délicate de mon cou. Je fermai les yeux, m’abandonnant à la sensation de ses baisers, chaque caresse
Djena Je tenais mon verre de vin à la main, observant la nuit qui était tombée sur la ville. Les lumières scintillantes brillaient, enveloppées dans un voile de mystère. Je me tenais sur le balcon de mon appartement, perdue dans la mélodie urbaine qui formée une sorte de chant hypnotique. Les étoiles brillaient au-dessus de moi, mais c’était la silhouette qui se dessinait dans l’ombre de la pièce qui captait toute mon attention.Romain s’approcha lentement, l’air détendu mais avec une intensité palpable. Ses yeux sombres brillaient à la lumière tamisée, et son regard profond semblait percer mon âme. Un frisson parcourut mon dos en le voyant, et sans même réfléchir, je laissai la distance qui nous séparait se réduire. Lorsque nos souffles se mêlèrent, je fus complètement enveloppée par son parfum boisé et musqué. Mon cœur s’emballa sous l’effet de son approche.« Tu es magnifique, » murmura-t-il, sa voix rauque effleurant mon oreille comme une caresse douce. Ses mots glissèrent sur ma
Le dilemme de JackJack La soirée a été étrange, presque irréelle. Josiane et moi avons partagé un moment de bonheur pur après l’annonce de la grossesse, et pourtant, une partie de moi reste figée, coincée dans une autre réalité, une autre passion. La chaleur de son corps contre le mien, les promesses d’une vie à trois avec notre futur enfant… tout cela me réchauffe le cœur, m’apporte un calme que je n’avais pas imaginé. Mais ce calme, il est fragile, et tout à coup, je me retrouve seul dans le salon, seul avec mes pensées.Je m'assois sur le canapé, le regard perdu dans la lueur tamisée des lampes. Tout est calme autour de moi, presque trop calme. Le silence me pèse, me force à affronter une vérité que j'avais soigneusement ignorée ces dernières semaines : Djena. Elle me hante encore, sa silhouette, son sourire, la chaleur de ses lèvres. Chaque regard qu'elle m’a lancé, chaque caresse échangée, reste ancré en moi, comme une brume difficile à dissiper.Je me passe une main sur le vis
Josiane La lumière du soir entre doucement dans la pièce à travers les rideaux tirés, créant une atmosphère chaleureuse, presque intime. Le bruit des passants dehors se mêle à celui de la télé qui tourne en fond, mais tout semble lointain, presque irréel. Le moment est enfin arrivé. Je suis là, assise sur le canapé, les mains légèrement tremblantes. Jack est dans la cuisine, en train de se servir un verre d’eau après sa journée de travail. J’observe ses gestes familiers, cette manière qu’il a de se déplacer, comme un ancrage dans ma vie, un point de stabilité.Ce soir-là, quelque chose dans l’air me dit que c’est le bon moment. Ce matin, le test a confirmé mes soupçons : je suis enceinte. Le médecin a confirmé la nouvelle. Un frisson d’émotions traverse mon corps à cette pensée. Mais l’angoisse aussi. Comment va-t-il réagir ? Vont-ils nous prendre au sérieux, ce bébé et moi ? Je suis prête à tout, mais le cœur tambourine fort dans ma poitrine.Je le vois s’avancer vers moi, un sourir