 Masuk
MasukL’atmosphère semblait chaude d’un coup malgré la fraîcheur de l’eau dégoulinant sur nos corps. Essoufflée, je gesticulais sous l’effet de ses caresses tandis que mon bas était déjà tout mouillé, espérant désespérément qu’il me pénètre enfin. Mais Vittorio n’était pas encore prêt à m’offrir ce plaisir. Il retira son doigt et commença maintenant à frotter sa bite contre mon clitoris gonflé sans abandonner mes tétons qu’il prenait plaisir à mordre comme un chien sauvage. Quelle tuerie, mon Dieu !
– Prends-moi maintenant s’il te plaît, implorai-je en tirant ses cheveux, gémissant comme une folle.Je n’attendais qu’une seule chose : qu’il me pénètre. Mais il me faisait languir, multipliant mes cris de supplices en se frottant contre ma chatte sans jamais me prendre. Il se retourna soudainement pour coller mon dos contre la vitrine et me pénétra d’un coup sec. Je lâchai un hurlement de plaisir mêlée de satisfaction en enfonçant mes ongles dans son dos. Il grogna en s’enfonçant à n
Vittorio tout comme Sarah, ne pense qu’à eux-mêmes, à leurs sentiments et à leur peur de me perdre. Mais… Et moi dans tout ça ? Qu’en est-il de ma peur, à moi ? La peur de ne plus pouvoir être heureuse. La peur de ne plus pouvoir vivre une histoire d’amour aussi passionnante et brûlante. La peur de me perdre. Et oui. En acceptant la vie que m’impose Vittorio, loin de lui, je perdrai, non seulement lui, mais je me perdrai également. – Je te comprends, Sarah. Mais toi, me comprends-tu ? demandai-je en remuant les doigts. Je l’aime. J’aime Vittorio. – Tant que ça, Émilie ? tu n’as passé que quelques mois avec lui. C’est peut-être une simple passade, l’adrénaline de la situation. Ça va te passer comme avec tous les autres, dit-elle. – Vittorio n’est pas, tous les autres. Tu penses que je me serais offerte à lui, si ce n’était pas du sérieux ? demandai-je en la scrutant. – Oui j’avais oublié ce détail. Tu as raison. Mais bon, a
Je fermai les paupières un instant, essayant de contenir mes larmes mais c’en était trop. Je fondis dans les bras de Sarah.– Je me sens si seul sans lui, Sarah. Comment a-t-il pu me faire ça ? – Je suis sûr qu’il regrette tout ce qu’il a fait. Malgré toutes ses ignominies, il t’a toujours aimé, ma chérie.– Il était la seule chose de concret, de vrai qui me sois arrivée durant ces derniers mois, dis-je en pleurs.– Euh, là je suis flou. Je pensais que tu faisais allusion à ton père, répliqua Sarah en me regardant.D’un revers de main, j’essuyai mes larmes et l’invitai à s’asseoir près de moi, sur le lit.– Je faisais allusion à Vittorio, l’homme qui m’avait kidnappé, dis-je.– Quoi ? Comment ça ? je ne comprends rien du tout là.Je pris une profonde respiration avant de commencer à conter mon histoire de ces six derniers mois. Au fur et à mesure que je narrais les faits, je pouvais décrypter les différentes expressions qui s’affichaient sur le visag
Comment je me sens ? J’avais tout simplement envie d’hurler, de pleurer comme je ne l’avais jamais fait. Pas parce que je n’ai plus d’argent mais parce que ma vie est devenue une triste chanson. – Sarah, dis à ton chauffeur de me conduire chez moi, dis-je. – Mais, il n’y aucun moyen pour que tu puisses y entrer. C’est… – Sarah… l’interrompis-je d’un ton sec. – Ok. Nick, nous allons faire un saut à cette adresse avant de rentrer, annonça-t-elle à son chauffeur en lui montrant l’adresse sur son téléphone. Il acquiesça et nous prîmes la direction de mon ancienne demeure. Après un quart d’heure, le véhicule stationna devant la résidence Moretti. Enfin, ancienne résidence. Je sortis de la voiture, les mains dans les poches de mon pull-over et je m’arrêtai devant le portail. Je levai les yeux pour contempler la vue de cette maison qui m’a abrité durant toutes ces années. Les moments où je sautais sur mon lit, quand je pleurais l’absence de ma mère, les rires et les disputes
La réceptionniste me communiqua le nom de l’hôtel que je partageai aussitôt avec Sarah. Je raccrochai quelques minutes après et me dirigeai à nouveau dans la chambre. Je vis ma valise, posée dans un coin de la chambre. Je la récupérai et déguerpit de l’hôtel sans me faire prier. La voiture de Sarah ne tarda pas longtemps avant de stationner devant l’entrée de l’hôtel où je l’attendais patiemment. Lorsque son regard croisa le mien, en sortant de la voiture, elle se jeta dans mes bras, le visage en larmes.– Émilie, tu m’as tellement manqué, murmura-t-elle en me serrant.À cette allure, je sens qu’elle va m’étouffer.– Tu m’as manqué aussi, sœurette, répondis-je en câlinant son dos.Enfin, elle me libéra de son étreinte, quelques instants après.– Putain, où est-ce que t’étais ? Est-ce qu’ils t’ont fait du mal ? Comment es-tu revenue, tu t’es échappée ?Je comprends que Sarah soit si inquiète et attentionnée envers moi mais ne pourrait-elle pas m’épargner de son interrogatoire en ce
----- Émilie -----Quand mes paupières se sont ouvertes, le plafond blanc et immaculé au-dessus de moi m’a tout de suite frappée par sa froideur. Pas de murs familiers, pas d’odeur rassurante. Seulement un silence glacial, interrompu par le bruit du climatiseur. Mon cœur se mit à battre à tout rompre. Où étais-je ? Je me redressai lentement, chaque mouvement réveillant une douleur sourde dans mon corps. Ma tête tournait encore, comme si j’émergeais d’un long sommeil forcé, ce qui en réalité, était le cas. Mon regard balaya la pièce. Les murs neutres, les meubles minimalistes, et la grande baie vitrée qui laissait entrer la lumière d’un soleil étranger. Une chambre d’hôtel. Je sus immédiatement que je n’étais plus au Brésil. La vue sur les collines verdoyantes me le confirmait : j’étais en Colombie. La réalité me heurta comme une gifle. Il m’a renvoyée. Vittorio. Le souffle me manqua à cette pensée. Mes mains tremblèrent en me souvenant de son regar
---------------------------------------------- Hey, salut toi 😅. La forme ? Alors.... Je te remercie d'être là et de voyager dans mon monde. La première partie de l'aventure entre Émilie et Vittorio vient de prendre fin. Es-tu prêt(e) pour la suite ? Je parie que oui. Alors... attache bien ta ceinture car ça va péter. Gros bisous 😘..... Aah, j'ai failli oublier 😅. Si vraiment tu aimes ma plume, alors je te prie de me soutenir. Un magnifique commentaire, vote ou tout ce que tu voudras, remplira mon cœur d'écrivaine. Merci beaucoup. À bientôt ----------------------------------------------








