Mag-log in''Je n’aurais jamais dû croiser son chemin. Un seul regard, et ma vie a basculé dans un monde de passion interdite, de secrets dangereux et de choix impossibles. Maintenant, il ne me reste qu’une seule certitude : il m’embrassera… ou il me tuera. Je m'appelle Émilie Moretti. Je pensais mener une vie paisible, loin des affaires sombres de mon père. Mais tout bascule lorsque je suis enlevée par Vittorio Romano, un mafieux déterminé à venger la mort de sa famille… causée par le clan Moretti. Entre haine et désir, notre lien devient un mélange dangereux de passion et de trahison. Vittorio lutte entre son besoin de vengeance et l’amour naissant qu’il éprouve pour moi, la fille de son ennemi. Quant à moi, je vais devoir choisir : suivre mon cœur, ou renoncer à l’homme qui pourrait me sauver… ou me détruire. Quand la passion devient plus forte que la mort, l’amour devient une arme. 🔥
view more------ Émilie -----
Le campus universitaire baignait dans une lumière dorée, alors que les étudiants déambulaient entre les bâtiments, leurs rires et leurs conversations animées remplissant l’air. Je sortis de mon dernier cours de la journée, un sourire radieux illuminant mon visage. J’étais en troisième année de licence, une période que je chérissais pour ma liberté et mon insouciance. Accompagnée de mes amies, je discutais joyeusement des projets du week-end. Loin des préoccupations du monde extérieur, je savourais chaque moment de cette vie étudiante, ignorant les sombres affaires dans lesquelles mon père était impliqué. – Je pense qu’on devrait se rendre à cette nouvelle galerie d’art samedi, proposa Sarah, ma meilleure amie. Il paraît qu’il y a une exposition incroyable sur les impressionnistes. – Ça me semble une excellente idée, j’ai d’ailleurs reçu une invitation à l’occasion, répondis-je avec enthousiasme. – Quoi ? Et tu ne m’as rien dit ? Il faut absolument qu’on aille à ce gala. C’est le plus grand évènement de l’année et il n’y aura que des beaux gosses friqués, affirma-t-elle avec excitation. – Après la soirée, on pourrait ensuite aller prendre un café au petit bistrot d’à côté. – On va bien s’amuser, renchérit Sarah. – Sans doute, oui. Si seulement mon père pouvait me laisser sortir sans garde du corps, ne serait-ce que pour une fois, me plaignis-je, l’air frustré. – Quand je pense que plusieurs autres filles rêvent d’être à ta place en ce moment. – Crois-moi, en moins d’un an, elles détesteront la vie que je mène. – N’exagère pas non plus Émilie. Ton père t’adore et vue votre statut social, il est primordial que tu sois constamment sous surveillance. – Mais c’est saoulant tu sais ? Ces deux gorilles ne me quittent pas d’une semelle, dis-je tandis que nous atteignîmes le portail. Comme d’habitude, une Mercedes Benz était garée à quelques mètres du portail, espérant impatiemment la sortie de la fille unique de Paul MORETTI un homme redouté dans le monde des affaires clandestines. Je ne savais rien des affaires illégales que menait secrètement mon père. Aux yeux de la société, Paul MORETTI était un richissime homme d’affaires possédant une entreprise d’import-export prospère, ‘‘ Moretti Import-Export ’’. Il était un homme d’affaires respecté, connu pour ses transactions internationales et son réseau étendu de partenaires commerciaux. Mais en réalité, les conteneurs marqués de son logo transportaient bien plus que des marchandises légitimes. Derrière cette façade impeccable se cachait un empire de trafic de drogue, soigneusement dissimulé dans les méandres des transactions commerciales internationales. – Bon Sarah, on se dit à demain ? Je passerai chez toi pour qu’on aille à ce gala d’exposition ensemble, dis-je en m’introduisant dans la voiture. – Parfait. À demain, bisous, lança Sarah, en agitant les doigts en signe d’au revoir avant de se diriger également vers son chauffeur. Les vitres blindées de la Mercedes furent automatiquement fermées et le véhicule se mit en route. Une trentaine de minutes plus tard, le véhicule stationna devant un grand immeuble qui laisserait perplexe tout passager de la route. L’entreprise MORETTI était un chef d’œuvre architectural avec un décor radieux et magnifique. – Mademoiselle, nous sommes arrivés, lança Nil, le garde du corps assis au volant. M’arrachant du monde virtuel se trouvant derrière l’écran de mon téléphone, je jetai un œil à travers la vitre et une lueur de surprise se dessina sur mon visage. – N’étais-je pas censée rentrer à la maison ? Pourquoi sommes-nous ici ? questionnai-je. – Nous sommes ici, sous la demande de votre père, répondit Brad, le second garde en m’ouvrant la portière. Je lui jetai un regard impassible avant de descendre du véhicule. Je me dirigeai automatiquement vers l’entrée de l’immeuble, accompagné derrière moi par Brad tandis que Nil s’occupait de garer la voiture dans le parking. Une fois à l’intérieur, je pénétrai dans l’ascenseur se trouvant juste à côté du bureau de la secrétaire d’accueil, j’indique le numéro d’étage et en un temps record, je me retrouvai dans les locaux de la direction.Vittorio tout comme Sarah, ne pense qu’à eux-mêmes, à leurs sentiments et à leur peur de me perdre. Mais… Et moi dans tout ça ? Qu’en est-il de ma peur, à moi ? La peur de ne plus pouvoir être heureuse. La peur de ne plus pouvoir vivre une histoire d’amour aussi passionnante et brûlante. La peur de me perdre. Et oui. En acceptant la vie que m’impose Vittorio, loin de lui, je perdrai, non seulement lui, mais je me perdrai également. – Je te comprends, Sarah. Mais toi, me comprends-tu ? demandai-je en remuant les doigts. Je l’aime. J’aime Vittorio. – Tant que ça, Émilie ? tu n’as passé que quelques mois avec lui. C’est peut-être une simple passade, l’adrénaline de la situation. Ça va te passer comme avec tous les autres, dit-elle. – Vittorio n’est pas, tous les autres. Tu penses que je me serais offerte à lui, si ce n’était pas du sérieux ? demandai-je en la scrutant. – Oui j’avais oublié ce détail. Tu as raison. Mais bon, a
Je fermai les paupières un instant, essayant de contenir mes larmes mais c’en était trop. Je fondis dans les bras de Sarah.– Je me sens si seul sans lui, Sarah. Comment a-t-il pu me faire ça ? – Je suis sûr qu’il regrette tout ce qu’il a fait. Malgré toutes ses ignominies, il t’a toujours aimé, ma chérie.– Il était la seule chose de concret, de vrai qui me sois arrivée durant ces derniers mois, dis-je en pleurs.– Euh, là je suis flou. Je pensais que tu faisais allusion à ton père, répliqua Sarah en me regardant.D’un revers de main, j’essuyai mes larmes et l’invitai à s’asseoir près de moi, sur le lit.– Je faisais allusion à Vittorio, l’homme qui m’avait kidnappé, dis-je.– Quoi ? Comment ça ? je ne comprends rien du tout là.Je pris une profonde respiration avant de commencer à conter mon histoire de ces six derniers mois. Au fur et à mesure que je narrais les faits, je pouvais décrypter les différentes expressions qui s’affichaient sur le visag
Comment je me sens ? J’avais tout simplement envie d’hurler, de pleurer comme je ne l’avais jamais fait. Pas parce que je n’ai plus d’argent mais parce que ma vie est devenue une triste chanson. – Sarah, dis à ton chauffeur de me conduire chez moi, dis-je. – Mais, il n’y aucun moyen pour que tu puisses y entrer. C’est… – Sarah… l’interrompis-je d’un ton sec. – Ok. Nick, nous allons faire un saut à cette adresse avant de rentrer, annonça-t-elle à son chauffeur en lui montrant l’adresse sur son téléphone. Il acquiesça et nous prîmes la direction de mon ancienne demeure. Après un quart d’heure, le véhicule stationna devant la résidence Moretti. Enfin, ancienne résidence. Je sortis de la voiture, les mains dans les poches de mon pull-over et je m’arrêtai devant le portail. Je levai les yeux pour contempler la vue de cette maison qui m’a abrité durant toutes ces années. Les moments où je sautais sur mon lit, quand je pleurais l’absence de ma mère, les rires et les disputes
La réceptionniste me communiqua le nom de l’hôtel que je partageai aussitôt avec Sarah. Je raccrochai quelques minutes après et me dirigeai à nouveau dans la chambre. Je vis ma valise, posée dans un coin de la chambre. Je la récupérai et déguerpit de l’hôtel sans me faire prier. La voiture de Sarah ne tarda pas longtemps avant de stationner devant l’entrée de l’hôtel où je l’attendais patiemment. Lorsque son regard croisa le mien, en sortant de la voiture, elle se jeta dans mes bras, le visage en larmes.– Émilie, tu m’as tellement manqué, murmura-t-elle en me serrant.À cette allure, je sens qu’elle va m’étouffer.– Tu m’as manqué aussi, sœurette, répondis-je en câlinant son dos.Enfin, elle me libéra de son étreinte, quelques instants après.– Putain, où est-ce que t’étais ? Est-ce qu’ils t’ont fait du mal ? Comment es-tu revenue, tu t’es échappée ?Je comprends que Sarah soit si inquiète et attentionnée envers moi mais ne pourrait-elle pas m’épargner de son interrogatoire en ce
----- Émilie -----Quand mes paupières se sont ouvertes, le plafond blanc et immaculé au-dessus de moi m’a tout de suite frappée par sa froideur. Pas de murs familiers, pas d’odeur rassurante. Seulement un silence glacial, interrompu par le bruit du climatiseur. Mon cœur se mit à battre à tout rompre. Où étais-je ? Je me redressai lentement, chaque mouvement réveillant une douleur sourde dans mon corps. Ma tête tournait encore, comme si j’émergeais d’un long sommeil forcé, ce qui en réalité, était le cas. Mon regard balaya la pièce. Les murs neutres, les meubles minimalistes, et la grande baie vitrée qui laissait entrer la lumière d’un soleil étranger. Une chambre d’hôtel. Je sus immédiatement que je n’étais plus au Brésil. La vue sur les collines verdoyantes me le confirmait : j’étais en Colombie. La réalité me heurta comme une gifle. Il m’a renvoyée. Vittorio. Le souffle me manqua à cette pensée. Mes mains tremblèrent en me souvenant de son regar
---------------------------------------------- Hey, salut toi 😅. La forme ? Alors.... Je te remercie d'être là et de voyager dans mon monde. La première partie de l'aventure entre Émilie et Vittorio vient de prendre fin. Es-tu prêt(e) pour la suite ? Je parie que oui. Alors... attache bien ta ceinture car ça va péter. Gros bisous 😘..... Aah, j'ai failli oublier 😅. Si vraiment tu aimes ma plume, alors je te prie de me soutenir. Un magnifique commentaire, vote ou tout ce que tu voudras, remplira mon cœur d'écrivaine. Merci beaucoup. À bientôt ----------------------------------------------
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