6

La nuit s'est avérée longue et tortueuse. 

Sally a pris une persona que Elizabeth à peine reconnu. Elle a grandi de plus en plus abrasive et gras avec chaque retour de la ravissante de leurs ravisseurs détestables. 

Lorsqu'ils ont été placés dans la petite chambre, malodorant, il va sans dire qu'Elizabeth serait l'occupant de l'unique lit bébé grumeleuse dans son minuscule fort-comme l'environnement. Autre qu'un porté à la table en bois et deux chaises bancales dangereusement, c'est tout le mobilier fourni. Sally a fait un lit sur le tas de chiffons et de foin jeté sur le plancher dans le coin. Depuis que Sally n'a jamais connu l'organisation du sommeil même à distance comme à l'aise alors que dans le service de la Jameson estate, elle était content avec l'arrangement. 

Cette nuit Sally revendiqué le berceau, suggérant Elizabeth commencer à s'habituer à vivre dans le style d'un esclave et d'être reconnaissants qu'il y avait au moins une certaine douceur sous elle. Elizabeth reconnu la vérité dans Sally' mots. Ses pensées allaient à la jeune fille recroquevillée dans le placard sous l'escalier lorsqu'elle est arrivée à l'estate Jameson le matin que l'altération de son sort pour toujours. 

Depuis que Sally était beaucoup plus grand et plus fort que Elizabeth, il n'y avait rien d'Elizabeth à faire que de se soumettre à la dégradation de l'être jeté de lit à étage. 

C'était en fait le moins de ses soucis. Les news du Capitaine Kline's vile mensonge et plans pour la vente de sa personne lors d'une vente aux enchères d'esclaves pesait lourd sur son esprit. 

Elle ne pouvait pas comprendre comment le Docteur Jameson pourrait abandonner comme ça. Il n'avait aucun sens pour elle. N'était-ce pas elle qui a financé son voyage dans les colonies ? N'était-ce pas elle qui a signé une grande partie de sa confiance en lui pour leur voyage d'urgence et de s'installer ? Comment pourrait-il rembourser ses pour sa gentillesse et sa générosité d'une telle manière ? Où était-il maintenant ? Il était au large de profiter de son argent comme un homme libre, alors qu'elle était vendu en esclavage ? Elle ne pouvait tout simplement pas croire l'ami de son père d'être un lâche et un voleur, mais il semblait qu'il était. 

Elizabeth essuya une larme qui coulait lentement sur sa joue. Quelle folie elle était d'avoir sauvé de Stephen. Comment idiot de son à fantasmer sur le mariage d'amour. Plus d'une fois Stephen a proclamé son amour pour elle alors que dans son lit, mais elle a refusé d'écouter. Elle a choisi de croire ses paroles un produit de l'alcool qu'il aimé plus de réflexions avec son esprit au lieu de la vérité de son cœur. Elle était tellement convaincu que son amour était à sens unique, elle ne lui a donné une chance de prouver son amour à l'extérieur de la chambre. Elle a quitté beaucoup trop tôt pour donner une chance à leur mariage. Peut-être qu'il n'aimez vraiment comme elle l'aimait. Si oui, elle ne saurait jamais. Il a été perdu par ses propres actions insensées. 

Elle frissonna alors qu'elle se souvenait des morceaux de l'horreur du Capitaine Kline en sueur, l'écrasement du corps qui puent le sien alors qu'il violait ses. Le parfum propre de Stephen et son offre, suscitant une écrasante majorité ministères étaient stark en comparaison. 

Bien que son mari a été zélés dans son désir de la posséder entièrement, il n'a jamais été vile ou cruels, même pas sur leur nuit de noces. Son point de vue initial de leurs nuits ensemble était le point de vue d'une vierge naïve qui n'avait pas le permis d'orientation féminine la plupart des dames de sa station. Si elle avait su alors ce qu'elle savait maintenant, elle se serait rendu compte que son nouveau mari a dit la vérité au sujet de faire de son mieux pour ne pas lui faire mal pendant qu'il luttait pour maintenir bridled son désir pour la belle jeune femme qui l'a fait avec désir sauvage. Après tout, les nuits suivantes ont été certainement agréable. ou l'aurait été si elle n'avait pas été torturée par son devoir d'être silencieux et immobile. 

Elizabeth était furieux avec elle-même. Un mari qui veut sa femme était une rareté parmi l'élite sociale. Quelle folie elle était d'avoir traitée à la légère. Si elle pouvait faire plus de choses, elle aurait séjourné et appris à la connaître et viril beau mari. À partir de ses conversations avec Sally, elle a découvert les sentiments qu'elle ressentait pour lui étaient vraiment ceux de l'amour. Elle ne s'était pas trompé en cela. Elle n'a jamais parlé de ses sentiments avec une autre femme avant. Elle n'avait pas de validation que ce qu'elle pensait être vrai jusqu'à maintenant. Si elle avait à le faire encore une fois elle aurait séjourné et nourri sa relation avec Stephen dans l'espoir qu'il allait augmenter l'aimer comme elle l'aimait. Elle n'aurait jamais fugué. 

Elle glissa sa main sur son ventre. Leur voyage les gardaient en mer depuis deux mois et demi, la majorité de la tête qui pendait sur le côté de l'équipage ou des rails sur un pot de chambre en déchirant le contenu de son estomac. Elle et Sally ont été emprisonnés dans ce verrouillé, fort-comme prix pour plusieurs semaines, et pourtant, elle a continué de misérable et de vomi, particulièrement sur la hausse. Sally était worldlier dans les voies du corps féminin. Elle a examiné les seins d'Elizabeth et ventre plat encore étroitement avant de proclamer que sa maîtresse était à l'enfant. 

Puisque le commandant's violation de sa personne n'est qu'il y a quelques semaines et Sally poignardé avant qu'il satisfait son désir, il n'y avait pas de deviner qui était le père. Elle portait l'héritier que son beau-père, le duc d'Eastwick, si mal désiré. Elle portait l'enfant de Stephen. 

Les lignes de son jamais trouvé leur chemin vers elle. Inutile de dire qu'elle a pris ses biens ont été vendus ou donnés à certaines des femmes dont les sordides hawking leurs marchandises flottait dans la nuit comme un bibelot de reconnaissance pour certains faveur sexuelle ou autre. Elle était sans vêtements propres ou d'articles de toilette gratuits et il n'y a pas de miroir pour être trouvés. C'était probablement pour le mieux. Elle était certaine qu'elle a fait un spectacle effroyable. Même ainsi, elle aurait voulu inspecter elle-même. Elle a montrer des signes d'usure et de la fatigue de tout ce qu'elle a enduré ? Elle était à la porté et hagards ? Ses yeux n'ont encore cette brillante lueur que toujours conquis les coeurs de tant de creux ou étaient-ils comme terne et ses compagnons ? Ils disent qu'une femme avec enfant irradiait d'une lueur spéciale. Elle était rayonnant ? Elle ne voulait pas savoir. 

Elizabeth aspirait pour l'occasion de nettoyer. Ses dents étaient recouverts d'un film et dégustation fétide odeur son corps offensé son parfois au point de nausée. La démangeaison qu'elle était tourmentée d'une forte indication qu'elle était peu dormir dans le lit bébé. grumeleux Bientôt elle serait couvert de plaies et d'un certain type de maladie ne serait plus que probablement consommer sa. Elle poussa un énorme soupir. C'était probablement le moindre des maux qui était sur le point de se produire. 

Les femmes ont passé leurs jours portant seulement leur quart et la lumière , jupes dans une tentative pour éviter d'être vaincu par la chaleur. Elizabeth se tenait dans la lumière qui jaillissait à travers la petite fenêtre en complément de la pleine lune. Elle baissa les yeux et soupira à la saleté et les taches qu'elle une fois couché tenue immaculée. Ses dentelles tombèrent en plusieurs endroits et sera bientôt complètement. 

La fraîcheur de la nuit se remplace peu à peu la chaleur étouffante de l'impact de l'après-midi soleil, rendant un peu plus facile pour Elizabeth pour se détendre et s'endormir. Elle a volé un coup d'œil à la silhouette de son compagnon de cellule son corps comme elle s'étend confortablement sur le lit d'Elizabeth une fois réclamé et émis un humph. Après avoir arpenté au foin dans une tentative de le rendre juste un peu, très moelleux Elizabeth organisé les chiffons du mieux qu'elle pouvait et coulé vers le bas sur eux. Sally avait raison. Elle était reconnaissante d'avoir au moins un certain type de rembourrage sous elle. La vérité soit connue, le foin était réellement plus confortable que le lit bébé et probablement installé moins d'insectes. 

Elle ferma les yeux et s'autorisa à se souvenir de ses jeunes années à leur country estate. Sa mère et son père leur avait pris sur une aire de pique-nique. Son scamp d'un jeune frère, Herald, essayait d'amadouer son dans les eaux glacées de Cold Lake, sachant très bien qu'elle allait geler, mais il était trop jeune pour se rendre compte des répercussions possibles de cette congélation. C'était dans un climat de bonne humeur et il y avait beaucoup de rires. 

Elizabeth's bond avec son frère était si forte qu'elle n'a même jamais envisagé d'être jaloux de la façon dont il a commandé et reçu l'amour de son oncle qu'elle a tant aimé. Elle a raté Herald. Elle a raté sa riche sens de l'humour et de joie de vivre. Elle n'a jamais considéré le fait que son s'échapper de sa servitude imaginaire avec Stephen serait aussi la séparer de Herald. Ce fait même jamais entré dans sa tête. Le fait qu'elle n'a pas eu la chance de lui dire qu'elle quittait et dire au revoir avec son remords douloureux. 

Il semblait que Elizabeth tout juste de s'endormir quand le bruit sourd de la porte s'ouvrit et des claquements dans l'épaisse, sel-weathered wooden wall a réveillé son. 

"Service, moi," gloussa un vieux marin comme il a tiré le bac d'étain qui a vu des jours meilleurs dans la pièce. "'Tis temps ta laver !" 

Elizabeth était devenu si habitué à l'apparence de ses ravisseurs motley à qu'elle à peine remarqué le vieux marin est en décadence et sourire édenté partiellement et moustaches hérissés emmêlée. Même l'odeur de son accentué corps non lavés, comme une brise soudaine a trouvé son chemin à travers la porte, n'a pas attaqué sa comme avant. Elle se concentre sur quelque chose qui a représenté un sursis de l'horrible existence qu'elle a été forcée d'endurer ces dernières semaines. Ce vieux marin grizzly portées dans une baignoire ! Il n'importait pas ce qu'il attend ou senti comme maintenant. Pour elle, il était la plus merveilleuse personne au monde. 

Le vieux marin fini de placer la sévèrement amochée et légèrement déformés à remous dans le centre de la pièce et jeta un regard vers le lit où Sally sam, indignée, l'observant. Ses yeux trouvé Elizabeth à genoux dans un coin de la pièce sur le tas de foin. 

"Ya sont ta 'pel la dame se laver. D'ya ici ?" il grogna à Sally. "Vous allez faire bien, jeune fille, si tu sais que ce qu'être bon fer ya". 

Deux maigres, hommes, qui scraggly Elizabeth noté pourraient certainement bénéficier d'une baignoire eux-mêmes, suivi le bourru marin dans la salle. Leurs mains étaient chargés de seaux d'eau de cuisson. Peu de temps après un troisième marin est arrivé avec un petit coffre contenant des articles de toilette gratuits. d'Elizabeth C'était juste trop beau pour être vrai. 

Sally a attendu pour les hommes pour fermer la porte derrière eux avant de faire le saut sur le lit bébé. 

"Wow. Une baignoire ! Je n'ai jamais..." elle poussa comme elle dépouillé son quart de nuit off et assoupli son corps nu vers le bas dans le bain de vapeur. 

Elizabeth, qui n'était pas habitués à voir une autre personne totalement nu -moins de tous un serviteur- rougi et tourna la tête. Malheureusement, il n'a pas avant d'avoir vu a l'eau claire nuage de la croûte du sol et du sang qui s'est rapidement lavé Sally' marqués et corps meurtri. 

"C'était prévu pour moi. Il vous a dit que," grommela Elizabeth. 

"Je ne l'ai pas entendu me dire que'," répondit Sally saucily. "Je l'ai entendu me dire que j'avais besoin de vous aider à nettoyer. Et je vais dès que j'aurai fini avec moi-même se laver," elle gloussa de profondément dans sa gorge. 

Elizabeth était livide. L'eau était un brun clair à partir de la saleté de son ex-femme de corps. Même si elle était parfaitement consciente de la situation qui a causé leur sale actuel conditions, elle était certaine de la femme n'avait pas connu un vrai bain dans au moins un an ; si jamais. 

 Un souffle d'horreur échappé aux lèvres pincées, l'aristocrate désespéré à la vue de petits insectes morts flottant dans l'écume. Il n'y avait absolument pas moyen qu'elle permettrait à une goutte d'eau que de toucher son corps. Si ses ravisseurs voulait que ses propres, alors ils devaient fournir une nouvelle baignoire. 

Sally n'avait pas pris une telle musaraigne belligérant, Elizabeth auraient pu se sentir de la compassion pour l'état actuel de la femme et l'état. Comme il était, elle se sentait seule répulsion et mépris. 

Bien que le faible frapper à la porte d'Elizabeth alerté de nouveau dans le coin, il est passé inaperçu par sa baignoire grossoyée compagnon. Sally's surprise d'être pris dans l'acte de voler son ancienne maîtresse, à la vapeur douce de l'eau du bain était évident lorsqu'elle se retrouva à la Capitaine en Kline est en colère, les yeux en vrille. 

"Qu' le 'sanglante ell se passe ici ?" Le capitaine rugissait. "Qui le 'ell vous a dit de filthy jusqu la baignoire avec vos bogues un' écume, vénom ?" 

Le capitaine avait le visage presque mauve avec rage alors qu'il faisaient planer à Sally alors qu'elle tentait de réduire du mieux qu'elle pouvait à sa vue. Il se tenait dans une position indigne ouvertement avec ses mains placées fermement sur ses hanches alors qu'il attendait le jeune femme peur de sa réponse. Lorsqu'elle n'a rien fait de plus que de gémir, il émit un grondement qui ressemblait à celle d'un animal sauvage et des coups de son lourd sabot contre la baignoire avec une telle force qu'il a causée la baignoire pour faire tomber sur le côté. Ainsi, l'ajout d'une autre dent à ses cratères bien murs. 

Le bruit sourd de Sally' corps comme elle a frappé les roughhewn revêtus de parquet mélangé avec de l'eau jaillissant de la sale qui s'est rapidement répandue à travers la pièce. Sally' cri d'indignation mélangé avec Elizabeth's screech de consternation alors qu'elle regardait les crasseux, bug de l'eau infestée de fortune son inondation de la literie. Son rêve d'une nouvelle vie aux États-Unis est devenu un cauchemar. 

"Je 'ave un droit de me nettoyer propre corps plus que celui d'un darky" Sally pleuré. 

"Ya 'ave seulement le droit ta répandez vos jambes jusqu'à ce nous ar' à travers avec ya, Vénom. Nothin' plus !" Le capitaine de bec avec dégoût. Ses yeux lentement fouillé les prix jusqu'à ce qu'ils se sont installés sur la petite Elizabeth. Elle ratatinée sous sa bave lubrique, qui souhaite elle-même invisible. "Un"," il rit, "nous savons tous les deux qu'elle ain't no darky." 

"Elle n'est pas ?" Sally vissé vers le haut en surprise, la négligence du fait qu'elle était debout, nu en présence d'un homme. 

Le commandant de sa tête en arrière dans Sally' direction comme s'il a oublié qu'elle était dans la chambre. Impassible, apparemment par la vue de sa nudité, rugit-il, "Je vais être l'eau douce des orderin fer la dame un 'je' annonce mieux de ne pas l'oreille 'tha' ya n'a pas pris soin de votre maîtresse proprement dit. N'ya moi, jeune fille ?" 

"Oui, monsieur," gémit Sally depuis la sécurité de l'angle de la pièce où elle se retira pour se sentir presque immédiatement après la colère de son pied. 

Elle n'est pas passée inaperçue par les deux femmes que le capitaine réorienté leurs stations dans la vie. 

Comme le commandant de bord a commencé hors de la porte, Elizabeth a trouvé le courage et la force d'avancer et de parler, même si ce n'est qu'au-dessus d'un chuchotement. 

"Capitaine Kline, veuillez patienter", dit-elle. 

Surpris par sa demande, le chien de mer grizzly s'arrêta dans ses traces et attendit qu'elle trouver sa voix à nouveau. Aux prises avec ses émotions, Elizabeth a pris un peu plus de temps qu'elle aurait voulu manipuler la question passé ses lèvres. Le capitaine semblait seulement trop heureux d'attendre, car il lui a donné le temps de dévorer son lentement avec ses yeux. 

"Si vous savez que je ne suis pas un, alors prie darky pourquoi êtes-vous en train de dire aux gens que je suis ?" Elizabeth a finalement pu se poser. 

"'Tis, Milady, d'affaires, juste" le capitaine a répondu dans une lumière hearted façon qu'il a flashé un méchant sourire et a continué par la porte. 

"Alors c'est vrai," marmonna Elizabeth, plus pour elle-même que n'importe qui d'autre, "je suis à vendre aux enchères comme darky" 

"Aye milady," la voix feutrée du capitaine flottait dans la porte fermée, " c'est vrai." 

Le choc de la réalité de ce qui était sur le point de se produire était si intense, le corps d'Elizabeth secoua jusqu'à ce que ses jambes n'étaient plus assez solides pour la tenir et elle s'est effondré sur le sol.