Chapitre 4

Chapitre 4

Catherine Rohan

- Père tu dois mettre la pression sur la grande reine de Calabre pour que le mariage entre son fils et moi se passe .

- Ne t'inquiètes pas ma puce elle acceptera ,fais moi confiance,elle t'aime déjà cette femme..

Après cette phrase de la part de mon père le duc ,je souris largement.

Je suis sa seule fille disons que je suis une princesse,une honorable ,j'ai trente cinq ans ,je suis ravissante,arrogante , machiavélique,quand quelqu'un me cherche il me trouve ,je piétine tout ceux qui veulent m'empêcher d'atteindre mes objectifs..

Je tien coûte que coûte à me marier avec Adrien pas parce que je l'aime mais parce que je veux à tout prix être la duchesse de l'Italie,j'aime le pouvoir et l'argent,j'ai toujours rêvé de diriger un grand pays comme l'Italie et maintenant que j'ai déjà trouvé le duc à mon goût,je ferai n'importe quoi pour l'avoir pour moi seule.

Et quiconque se mettra sur mon chemin me verra passé,je vais écraser quiconque qui essaiera de me le prendre..

Ce pays est déjà à moi je le sais.

- Merci beaucoup papa.

Mon père me caresse le visage avant de rétorquer..

- C'est de mon devoir de te rendre heureuse ma chérie,tu est tout ce qui me reste ,j'ai déjà perdu ta mère alors pour rien au monde je ne te perdrais dit t'il .

Je lui souris et pose ma tête sur ses genoux,mon père est tout ce que j'ai de meilleur et je l'aime énormément.

- Je t'aime mon papa d'amour dis je.

Pour toute réponse il me serre dans ses bras,je suis la plus heureuse du monde..

Quelques heures plus tard.

Assise dans ma voiture accompagnée de mes gardes ,je me rend au marché appelé Mercato Stabile.

J'ai envie de prendre des fruits,bien sûr mes servantes pourraient allé me les chercher mais j'ai envie de visiter un peu le marché et de voir un peu à quoi il ressemblait, après tout je serai bientôt la dirigeante de ce pays alors.

En plus j'adore me faire voir,je suis d'origine française précisément de Bordeaux,j'aime voyagé et tout.

La voiture était en train de se promener dans le marché quand mes yeux se posent sur une étalage de fruits.

- Arrêtez vous ici dis je.

Le chauffeur arrête la voiture et les gardes m'aident à descendre de celle ci .

Tout le monde me regardait et les hommes me dévorait du regard .

J'aime ça , j'aime savoir que j'étais belle et que tout le monde me voulais.

- Je voudrais prendre des fruits.

La vendeuse leva ses yeux vers moi , immédiatement un sentiment de haine prend le dessus sur moi,elle était à tomber ,mon dieu mais comment elle peux être belle plusque moi?non ce n'est pas possible.

Je suis l'unique femme magnifique de ce pays, j'espère qu'elle ne se présentera pas au bal masqué,mais qu'est ce que je dis?qu'est ce qu'une vendeuse de fruits ferait à une fête de cette envergure ?elle n'a aucune chance.

- Bonjour madame dit t'elle.

Cette phrase de sa part avait le dont de m'énerver,elle avait parlé ainsi dans le but de se moquer de moi,je ne laisse jamais passé une telle chose .

- Non mais saviez vous qui je suis?je suis la fille du duc français, comment osez vous me manqué de respect ?criais je.

Tout le monde se mettait à nous regarder dans le marché.

- Mais .

- Ferme ta sale bouche non mais regarde toi , comment ose tu parler à une princesse de cette manière ? questionnait je.

Suite à cette phrase de ma part elle me foudroyait du regard ,je l'a déteste sans l'a connaître.

- Assez maintenant ça suffit,être riche ou princesse ne vous permet pas de me parler ainsi,même si je suis pauvre,je mérite le respect dit t'elle en me regardant droit dans les yeux.

J'étais rouge de colère , personne auparavant ne m'avait tenir tête et encore moins m'humilier ainsi de toute ma vie.

- Comment osez vous je.

- Éloigné vous de ma marchandise,vous n'aviez pas le droit de me parler ainsi dit t'elle.

Je regarde mes gardes avec colère,cette pouffiasse mérite une bonne leçon.

- Gardes commencé par jeté ses pauvres fruits dans la poubelle ordonnait je avec mépris..

Iyana Ngo 

Je regarde mes fruits les larmes aux yeux,mais pourquoi les hommes sont t'ils méchant ?,ses fruits,je venait tout juste de les acheter avec le peu d'économie qu'il me restait ,et maintenant cette sorcière est en train de tout détruire..

Je déteste son père et maintenant elle ,ils sont les mêmes et je les déteste du plus profond de mon cœur..

Est ce parce que je suis pauvre qu'elle était en train de me traiter ainsi?me suis je demandé..

Ses gardes étaient en train de détruire mes différents fruits ce qui me déchirait le cœur..

- Espèce d'idiote ,pauvre fille et vendeuse à qui croit tu que tu es en train de parler ? bientôt je serai la duchesse de ce pays et là tu verras encore plus mieux à qui tu te frottes ,j'ai un oeil sur toi.

Suite à sa phrase je me rend compte qu'elle avait pour objectif d'épouser le duc ,hum donc comme ça elle voulait être la duchesse de ce pays.

Elle monte dans la voiture avec ses gardes ,mais avant elle affichait un visage triomphant.

J'étais impuissante face à cette situation,je n'ai jamais été si en colère comme aujourd'hui.

Dorénavant cette femme aigrie, horrible et machiavélique est mon ennemie ,la prochaine fois que je vais l'a rencontré je lui rendrai la monnaie de sa pièce.

J'étais tellement en colère que je tombe sur les genoux,j vais mal vraiment mal.

Où vais je trouvé de l'argent pour me prendre d'autres marchandises à présent ?où me suis je demandé avec amertume.

Une heure plus tard.

J'étais assise sur une chaise dans mon salon quand la porte s'ouvre sur Carine ,elle se précipite vers moi et me serre dans ses bras..

- Ma puce ,j'ai été t'absenter au marché et on m'a un peu raconter ce qui t'est arrivé dit t'elle..

Je l'a regarde toute en versant des larmes,je ne pouvais ne pas pleurer ,je n'en reviens toujours pas à croire que je n'ai pas vendu aujourd'hui..

- Je suis pauvre qu'est ce que je pouvais faire face à une honorable,la fille unique du duc dis je..

- Cette saleté,je l'a déteste comment a t'elle osé te faire une chose pareille alors que tu ne lui a rien fait,mais est t'elle une sorcière ?criait t'elle avec force.

Elle était tellement en colère qu'elle tremblait,je suis vraiment émue de voir qu'elle était prête à tout pour moi.

- Je n'ai plus d'économies Carine ,je n'ai plus rien pour prendre d'autres marchandises,je me sens tellement mal dis je avec amertume.

Elle me serre dans ses bras avant de dire.

- Calme toi mon amie,nous allons lui faire payer cette cruauté coûte que coûte dit t'elle.

Je réponds à son étreinte toute en fermant les yeux je suis vraiment heureuse de savoir qu'elle était là pour moi.