NORAJe sens encore le feu qui circule dans mes veines, chaque parcelle de ma peau est un volcan en éruption, et pourtant, il ne me lâche pas, il me maintient contre lui, ses mains parcourent mes flancs, mon dos, mes cuisses, explorent chaque courbe comme si elles voulaient graver mon corps dans le sien, et moi je réponds, mes doigts s’accrochent à son torse, à son cou, je veux sentir sa chaleur, son urgence, je veux qu’il me dévore encore, qu’il me prenne encore, et chaque frôlement devient plus profond, plus cruel, plus brûlant, nos souffles se mêlent dans un rythme effréné, chaque vibration devient un cri silencieux qui nous échappe .— Nora… murmure-t-il, sa voix est rauque, un grondement qui me fait frissonner jusqu’au bout des doigts, je me cambre contre lui, je cherche son corps, je le serre, je le guide, et chaque contact devient une épreuve de désir, un défi que nous relevons ensemble, nos corps s’emboîtent, s’embrasent, s’emmêlent, et je sens que je ne peux plus respirer, qu
NORAJe ne sais plus où finit mon corps et où commence le sien, chaque contact est une décharge, chaque frôlement une brûlure qui m’enserre, et l’air saturé de nos respirations me coupe presque le souffle, ses mains parcourent mon corps avec une audace insatiable, pressent, caressent, s’aventurent là où je n’osais même pas penser, et je réponds avec la même urgence, mes ongles s’enfoncent dans son dos, mes cuisses s’enroulent autour de lui, mes mains agrippent ses épaules, tirent, attirent, rapprochent, nos corps fusionnent, chaque mouvement devient plus sauvage, plus nécessaire, plus brûlant, je halète, je gémis, je supplie sans voix, il répond à mes appels invisibles, ses lèvres dévorent, sa langue embrase, ses mains m’engloutissent, je bascule, je chavire, je me perds dans ce tourbillon où chaque centimètre de ma peau crie son nom et son désir, et je veux encore plus, encore plus près, encore plus fort, mes mains le retiennent, le tirent contre moi, mes jambes se referment sur lui,
NORALe cuir de la banquette colle à ma peau, chaque millimètre de mon corps réagit à la chaleur confinée, à l’odeur de son parfum qui m’enveloppe comme une fumée brûlante, mes mains cherchent ses bras, ses épaules, agrippent sa chemise, tirent, rapprochent, et déjà ses doigts ne se contentent plus de frôler, ils explorent, s’aventurent, remontent le long de mes cuisses, effleurent ma peau nue sous la soie de ma robe, caressent mes reins, mes hanches, chaque frôlement me fait frissonner, me cambre, gémir, mon souffle devient court, haletant, chaque inspiration une torture délicieuse, chaque vibration de son corps contre le mien un feu que je ne peux éteindre .Ses lèvres descendent sur ma nuque, mordillent doucement, sa langue trace des lignes brûlantes le long de ma peau, et je sens sa dureté contre moi, son corps qui se tend, prêt à m’engloutir, mes mains glissent sur son torse, remontent son cou, s’enroulent dans ses cheveux, je l’attire plus près, mes gémissements deviennent des a
NORALe parking est presque vide à cette heure, les néons grésillent au plafond, projetant une lumière blafarde qui étire les ombres sur le béton, chaque pas que je fais résonne trop fort, comme si tout l’espace m’écoutait, me jugeait, mes talons claquent, étouffés par l’écho du silence, mon sac me pèse à l’épaule, mes doigts s’y agrippent nerveusement, j’avance trop lentement, prête à faire demi-tour au moindre signe, et pourtant je continue, mon cœur cogne dans ma poitrine comme s’il voulait s’échapper, comme si déjà il savait ce qui m’attend derrière cette silhouette.Je le vois avant même d’arriver à sa voiture, appuyé contre la portière, les bras croisés, son regard posé sur moi avec cette intensité qui me brûle de loin déjà, sa chemise sombre se confond presque avec la carrosserie, mais son sourire se dessine nettement quand il me voit, ce sourire qui m’arrache tout courage, qui efface mes pensées, qui m’attire malgré moi comme une flamme dévore une ombre, mes jambes ralentissen
NORAIl ne me lâche pas tout de suite, ses yeux plantés dans les miens comme pour me retenir clouée à cette chaise, et je crois un instant qu’il va replonger sur moi, qu’il va m’arracher un autre baiser, mais au lieu de ça, sa voix s’abaisse, rauque, presque caressante— Attends-moi après les cours, dans le parking, ma voiture sera ouverte, je t’y attendsJe reste muette, ma gorge se serre, mon cœur s’emballe, je secoue imperceptiblement la tête, incapable de formuler un vrai refus, et il sourit en voyant mon trouble, comme s’il avait déjà gagné— Non… souffle-je enfin, trop faible, je dois rentrer, je ne peux pas…Sa main revient, son pouce glisse sur ma lèvre encore gonflée de notre baiser, et je frémis malgré moi, incapable de reculer, mon corps me trahit encore une fois— Tu peux, murmure-t-il, sa bouche frôlant la mienne, tu vas, parce que tu sais aussi bien que moi que tu en crèves d’envie, ne mens pas, Nora…Je voudrais protester, je voudrais hurler que ce n’est pas vrai, mais
NORASon sourire contre ma peau me glace et m’embrase à la fois, je détourne les yeux mais sa main revient aussitôt, sa paume chaude sous mon menton me force à relever la tête, à l’affronter, et je déteste à quel point mon corps obéit, à quel point je me laisse guider sans résister, comme si ses gestes avaient déjà écrit leur loi sur moi.Ses yeux plongent dans les miens, sombres, brûlants, il n’y a pas de douceur dans ce regard, seulement une faim, une jalousie brute qui me transperce, et plus il me fixe, plus je sens mes jambes trembler, mes cuisses se serrer d’un réflexe que je ne contrôle pas, comme si mon corps tout entier appelait ce qu’il m’interdit pourtant de vouloir.— Regarde-moi, souffle-t-il, sa voix rauque glissant dans mon oreille, je veux que tu saches que tu es à moi, que personne n’aura jamais le droit de poser les yeux sur toi comme je le fais maintenant.Sa main descend de ma gorge jusqu’à ma clavicule, ses doigts jouent avec la bretelle fine de ma robe, la frôlent