LOGIN— Utilise ta putain de bouche, ordonna-t-il, déjà ses mains ont attrapé ma tête et m’ont tirée vers sa bite épaisse. J’ai ressenti une démangeaison presque incontrôlable dans ma chatte. J’étais terriblement excitée à l’idée de savoir que je prendrai cette énorme bite dans ma chatte. — Ta bouche est trop petite pour ma bite n’est-ce pas ? Alors petite salope, lèche-moi cette bite . — Tu adores quand je te traite de salope n’est-ce pas ? — Réponds à ma question, tu aimes quand je te traite de salope n’est-ce pas ? demanda-t-il en me donnant un coup sur les fesses. — Oui j’adore ça bébé, je suis ta grande salope. Vas-y, donne-moi encore des fessées, vas-y, vas-y. Trois ravissantes femmes… Toutes, je les ai rendues accro à ma bite. Rien que des patates, dévorées par le désir. D’abord Miranda, puis Cynthia, sa fidèle amie d’enfance… et bientôt d’autres. Ceci n’est pas une simple histoire de passion. Non. C’est le récit du sexe infernal. Un sexe qui consume, qui dévore et qui laisse une marque brûlante sur chaque corps qu’il traverse. Le sexe infernal, c’est cette union sauvage où plaisir et douleur se confondent, où chaque gémissement devient une prière et chaque pénétration, une damnation délicieuse. Alors, suivez-moi. Vous allez goûter, ligne après ligne, paragraphe après paragraphe, à ce vertige où la luxure règne en maîtresse. Et je vous le promets : vous allez adorer.
View MoreCHAPITRE 1
LE POINT DE VUE DE MIRANDA
Je sors du bain et je reste un long moment immobile devant ce grand miroir dressé comme un juge silencieux dans ma chambre.
L’eau a laissé sur ma peau des perles qui glissent lentement le long de mes courbes, comme pour rappeler la sensualité dont je suis prisonnière. Je me regarde, nue, entière. Mon reflet me renvoie l’image d’une femme encore jeune, pulpeuse, pleine de vie, mais vidée à l’intérieur. Mon corps crie, mon corps réclame, et je le sais trop bien : il réclame une bite.
Mes doigts effleurent mes contours, mes hanches, mes seins lourds, mes fesses généreuses qui forment cette ligne en "S" que mon mari adorait caresser. Lui. Mon chef de guerre. Mon roc. Mon amant insatiable. Il est mort… et cela fera bientôt deux mois. Deux mois seulement, et pourtant chaque nuit sans lui est une éternité. Quand il était encore de ce monde, il m’avait élevée au rang de reine, pas seulement par son amour, mais par son corps, par cette fougue qu’il déchaînait sur moi. Au lit, c’était un dieu. J’avais trouvé en lui mon univers tout entier. Et voilà que je me retrouve seule, orpheline de ses bras, orpheline de sa virilité.
Je ne compte plus les soirs où, dans ce lit devenu trop grand, j’ai dû sortir mes jouets, ces appareils froids qui remplacent mal la chaleur d’un homme. Chaque fois que je les prends, la honte me serre la gorge. Je jouis, oui, mais toujours avec ce goût amer, ce vide insatiable qui me rappelle qu’aucun plastique, aucune mécanique, ne remplacera jamais ce qu’il me donnait.
Et puis il y a ce poids invisible : les regards, les jugements. Je pourrais, bien sûr, chercher un homme, un gentleman qui viendrait apaiser mes tourments charnels. Mais ma belle-famille… que diraient-ils ? À peine deux mois après l’enterrement, ils me cloueraient au pilori : cette femme est une pétasse, elle a remplacé son mari comme on change de chemise. Et cette voix résonne en moi, me condamne avant même que je n’ose un pas vers la liberté.
Pétasse ? Peut-être. Mais je suis aussi une femme qu’on avait habituée à la passion, à la possession, à l’extase, au sexe . Mon mari a gravé dans ma chair l’empreinte du désir, et aujourd’hui ce désir me dévore vivante. Je me déteste d’avoir faim, je me déteste de ne pas réussir à éteindre ce feu. Pourtant, chaque nuit, chaque matin, je me surprends à rêver de lui, de sa force, de son corps, et je m’endors avec ce manque qui me déchire.
Je me laisse tomber sur le lit, la tête encore pleine de l’image de mon mari disparu. Le drap frais contre ma peau nue me donne un frisson qui n’a rien d’innocent. Tout en moi réclame, brûle, exige. Alors ma main glisse machinalement vers le tiroir de la table de chevet. Mon vibromasseur est là, silencieux, patient, comme un secret que je déteste mais dont je ne peux plus me passer.
Je ferme un instant les yeux, je le prends entre mes doigts, et mon souffle se fait plus lourd, plus rapide. Rien qu’à l’idée, mon corps réagit déjà, comme si l’ombre de mon mari rôdait encore, comme si ses mains allaient surgir de nulle part pour me dompter à nouveau. Mais il n’y a que moi. Moi et ce vide immense que j’essaie de combler.
Mes doigts effleurent ma chatte , et chaque contact fait jaillir une vague de chaleur. Je sens mes hanches se cambrer d’elles-mêmes, comme si mon corps avait gardé en mémoire la danse qu’il connaissait si bien. Je mords ma lèvre, incapable d’arrêter ce besoin. Le silence de la chambre devient assourdissant, troublé seulement par mon souffle qui se hache.
Lorsque j'allume mon vibro en marche, une vibration sourde se propage à travers moi, remonte dans mon ventre, envahit ma poitrine, et je sens cette tension grandir, enfler, m’envahir toute entière. C’est à la fois un soulagement et une torture, car dans ce plaisir artificiel, il y a surtout l’absence de l’homme que j’aimais.
Je me débats avec cette dualité : la honte d’avoir besoin de cela, et la jouissance inévitable qui me traverse quand même. Chaque seconde est un rappel cruel : je suis vivante, je suis encore femme, mais je suis seule.
Et Merde. Tout s’arrête d’un coup. Le silence brutal me gifle. Je reste là, haletante, les jambes encore tremblantes, et je regarde le vibromasseur inerte entre mes doigts. Une colère sourde monte en moi, mais c’est surtout le dégoût qui m’envahit. Je n’avais même pas atteint mon premier orgasme , ce sommet que je cherchais, et déjà… le vide.
Je soupire, lasse. Bien sûr, je me rappelle aussitôt : la dernière fois, je n’avais pas pris la peine de le recharger. Quelle idiote. J’ai honte de moi, honte d’être là à dépendre de ces machines comme une adolescente en manque, honte d’en vouloir autant. Je le balance sur le lit avec amertume, comme s’il m’avait trahie.
Mais mon corps, lui, ne s’apaise pas. Mon ventre est encore noué, mes reins en feu, ma poitrine lourde de tension et ma chatte toujours humide . Alors je me lève, fébrile, presque agacée par ce désir insatiable qui me pousse à fouiller dans l’armoire. Mes mains trouvent un autre sextoye , plus imposant, presque menaçant dans sa présence muette. Noir et veineux. Je le sors, je l’examine un instant, et un sourire amer me traverse.
Immobile. Silencieux. Droit. Parfait.
Je le pose là, comme si je cherchais à me convaincre que ce morceau de silicone pouvait remplacer l’homme qui me manque. Quelle ironie. Quelle absurdité. Et pourtant, je sens déjà mon cœur battre plus vite, partagé entre l’excitation et le mépris de moi-même.
Je chuchote, presque pour me rassurer :
— Parfait…
Mais je sais que rien ne l’est. Ni ces jouets, ni ce vide que je tente de remplir.
Je prend du lubrifiant que je passe sur la circonférence de mon sextoye et un peu sur ma féminité. Je m'abaisse, écartant mes fesse pour laisser entre mon jouer. Je laisse entrer seulement le gland, juste le bout de la bitte. Et un crie m'échappe.
"" "" Ahhhh"""
Et ensuite j'enfonce un peu un peu jusqu'à ce que j'aie toute la bitte en moi.
Je commence par déhanché, à faire des tours. Je les vas et viens étaient rapide. J'entendais mes fesses claqués contre le carrelage. Et des gémissements s'échappait de ma gorge.
Je me suce le bout de mes seins. Et
Je ferme les yeux et je me laisse aller. Chaque geste est dicté par ce besoin qui me brûle, par ce manque insoutenable qui m’habite depuis des semaines. Mon souffle s’accélère, mon corps ondule presque malgré moi. La tension grimpe, monte comme une vague, et soudain elle me submerge.
C’est violent, c’est total. Une déferlante de chaleur m’envahit, me fait trembler, m’arrache des sons incontrôlés. Je me sens à la fois délivrée et écrasée, comme si chaque fibre de mon corps se vidait dans cet instant. Mes jambes fléchissent, mon corps se laisse tomber contre le sol froid, incapable de tenir debout.
Je reste là, haletante, le cœur battant, les yeux perdus dans le vide. La sueur perle sur ma peau, mes muscles sont faibles, presque douloureux. Oui, c’était bon, terriblement bon… mais en même temps si amer.
Car au milieu de cette ivresse, une vérité me revient en pleine figure : ce plaisir n’a rien d’humain. Ce n’est qu’un leurre, une illusion, une ombre de ce que mon mari me donnait autrefois. Et plus la vague de jouissance se retire, plus le silence de la chambre devient insoutenable.
Je sens mes yeux chse mouiller. Pas de désir, cette fois. Mais de solitude.
LE POINT DE VUE DE KELLY D'un mouvement fluide, j'ai tiré mon pantalon vers le bas. Ma bite pendait entre mes jambes, tous les huit pouces. Elle a dit: "Tu ferais mieux de ne jamais souffler un mot de ça, tu comprends?"J'ai hoché la tête comme un idiot, puis elle a retiré son chemisier et son pyjama . Elle s'est mise à genoux pour atteindre mon sexe, le prenant entre ses lèvres. J'ai gémi bruyamment et j'ai mis ma bite dans sa bouche. Elle a travaillé ma bite, léchant le dessous et mordillant la tête. Il n’a pas fallu trop de temps pour que je sois dur. Elle m'a dit de m'allonger sur son lit . J'ai obéi alors qu'elle grimpait par-dessus ma bite et abaissait ses fesses directement au-dessus de ma tête. Elle semblait planer là pour toujours, mais ensuite elle s'est effondrée, inhalant ma bite avec son cul ! Elle était serrée comme une vierge et a commencé à glisser de haut en bas sur moi. J'avais ses fesses dans mes mains, je les massais, les écartais. "Baise-moi, KELLY ." C'étai
Elle se leva rapidement, se regardant dans le miroir avant de s’exclamer : « Mon Dieu, désolée je n’avais pas réalisé que j’étais si… exposée. » Elle se remit rapidement dans le tissu étriqué et redressa le string trempé autant que possible. "Maintenant, donne-moi cette jupe."Consciencieusement, j'ai obéi et Victoria a enfilé la jupe et l'a remontée jusqu'à sa taille. Elle sourit alors que les crochets de la ceinture s'enclenchaient confortablement. "Jusqu'ici, tout va bien." Elle a enlevé sa camisole par-dessus sa tête, me regardant dans le miroir. "Maintenant, la chemise s'il te plaît."En un rien de temps, elle avait rentré et boutonné la simple chemise blanche. Et même si cela allait bien, il était clair que Victoria avait effectivement rempli une zone… ses seins. Ses seins sombres vêtus de dentelle se pressèrent avec urgence contre la fine chemise en coton blanc. Elle dégrafa les trois boutons du haut. « Ah, c'est mieux – laissez mes filles respirer ! »Ensuite, Victoria se re
LE POINT DE VUE DE kelly Écoute, je suis là", a-t-elle tapé sur une photo de groupe, "The Debate Club!". Mes yeux ont scanné la photo et se sont fixés sur le visage Victoria , alors âgée de 18 ans. Elle était là, assise parmi une poignée de jeunes femmes vêtues de la même manière. C'était une photo sympa – parce qu'ils riaient tous. Puis ça m'a frappé… Oh mon Dieu. Elle était si jolie ! Pas seulement joli… incroyablement beau. Ils étaient tous assis ou appuyés contre une table Victoria à l'extrême droite portait un pull à col roulé marron, sa jupe tartan, de longues chaussettes sombres et des mocassins. Ses cheveux bruns en cascade étaient tirés en arrière de sa tempe par un étroit bandeau. Ses yeux brillants et rieurs regardaient directement la caméra. Ses lèvres charnues, sa bouche généreuse… Je voyais Victoria comme je ne l'avais jamais vu auparavant. En tant que pair. Elle avait 18 ans sur cette photo. J'ai 20 ans maintenant. C’est une fille qui me plairait absolument si j’alla
Voir le visage de Victoria comme ça - si près de ma bite désormais dure comme le roc - dans une position dans laquelle je l'avais si souvent imaginée - cela a actionné un interrupteur dans mon cerveau et j'ai jeté toute prudence au vent. Victoria a peut-être eu du mal à jouir avec son moi à cause de nos différences d'âge – mais je n'avais certainement pas de tels scrupules. Je voulais la bouche de Victoria autour de ma bite, et je voulais souffler une énorme charge sur ce magnifique visage. D'une main, j'ai retiré ma ceinture élastique et de l'autre, j'ai saisi mon membre et l'ai fait ressortir. Mais Victoria , devinant rapidement mon intention, s'est levée brusquement et m'a donné un léger bisou sur la joue. "Désolé, bébé, ne nous emballons pas trop. C’était très amusant, mais il est temps de se remettre au travail ! » Me sentant déprimé, j'ai replacé mon johnson sur le devant de mon short, la pointe pointée vers le sol, reflétant mon humeur déprimée. Victoria , voyant cela, a fa
"D'accord, d'accord, d'accord bébé ! Refroidis tes jets". Elle s'arrêta comme pour reprendre son souffle. Il était clair pour moi que Victoria était sur le point de vivre quelque chose d'intensement agréable simplement en se faisant souffler les seins. Oh quelle femme incroyable ! "Il semble que je ne sois pas la seule perverse dans la maison, n'est-ce pas, victoria ."Faisant écho à mes paroles d'il y a quelques instants, Victoria a répondu : "Bébé… tu n'en as aucune idée. Maintenant, fais mon ventre."Obéissant à sa directive, je me suis agenouillé et j'ai replié sa camisole, exposant son abdomen maigre. Soufflant dans une spirale en expansion, je me suis frayé un chemin depuis son nombril jusqu'à ses côtes, ses hanches, à travers son bassin, le long d'une cuisse et vers le haut. Alors que je me dirigeais vers son autre cuisse, j'ai ralenti et j'ai soufflé directement sur sa chatte. "Mmmmm", répondit-elle en poussant son bassin vers l'avant et en écartant légèrement ses jambes. J
Mais pour ses propres raisons, Victoria n’a pas exprimé ce sentiment. Au lieu de cela, elle se redressa complètement et tourna son attention vers les boîtes et les étagères. "Je vais te dire de quoi j'ai besoin de me soulager... de cette misérable humidité ! Est-ce qu'il faisait vraiment très chaud ici ou quoi !?"C’est vrai, l’air était devenu très calme, très lourd. C'était comme si un orage approchait. Nous étions tous les deux couverts d’une couche glissante de sueur. "N'est-ce pas!" dis-je. "On va faire une autre pause climatisation ?""J'ai peur que si nous faisons une pause maintenant, nous perdions complètement notre élan."« Victoria , au cas où tu ne l'aurais pas remarqué, nous avons perdu notre élan il y a au moins une heure ! »"Je sais – mais écoute, nous sommes si près de terminer continuons.""Très bien Victoria ." Une petite dose de frustration était sans aucun doute évidente dans ma voix. J'espérais une autre extravagance climatisée. Mais Victoria avait d'autres id






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