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Chapitre 6 Une richesse incoryable et des hélicoptères pour le déplacement.

Théo a hoché la tête.

Il a demandé : « La famille Leroy a été si méchante avec vous, pourquoi vous continuez à rester en contact avec eux ? »

« C’est ma famille malgré tout. »

« De toutes les façons, maintenant, mes parents n’ont plus d’emploi et Marine va à l’école maternelle. Je travaille pour la famille Leroy, et ils me donnent de l’argent. »

Théo n’a plus rien demandé.

Avec des cadeaux, ils sont arrivés à la villa de la Famille Leroy.

Tous les membres de famille étaient assis dans le salon.

De plus, un banquet a été préparé.

Seulement, le banquet n’était pas pour Théo.

C’était pour une autre demoiselle, Léa Leroy, et son petit ami, Hubert Durant.

« Vous êtes venus! »

Lorsqu’ils sont entrés dans la villa, ils ont entendu la voix d’un vieux.

C’était la voix d’Arthur Leroy, le grand-père d’Ivy, le chef de la famille Leroy.

« Grand-père. »

Elle s’est précipitée pour donner les cadeaux à Arthur.

« Ce sont des cadeaux pour vous. »

Il n’y a même pas jeté un coup d’œil, ni à Ivy et Théo.

« Théo, j’ai entendu dire que tu as battu ma femme de ménage ? »

Ivy était un peu embarrassée, Théo aussi.

« Elle a donné du pain dans les poubelles à Marine. »

La femme de ménage à côté a dit : « Ne l’écoutez pas, il a vu Marine mal nourrie, et il a eu des griefs envers la famille Leroy. »

Il a froncé ses sourcils.

« Marine est mal nourrie parce qu’elle n’aime pas manger les choses que nous lui donnons. »

« Elle est très douillette. »

« Théo, c’est toi qui devais bien écouter ta fille, au lieu de battre sur ma femme de ménage. »

Théo était furieux.

De toutes les façons, Marine était sa petite-fille.

Ivy l’a immédiatement tapoté : « Grand-père, Théo a déjà reconnu sa faute. »

« Ha, je ne veux plus revoir une chose pareille. »

Benjamin, le premier fils d’Arthur, a dit à côté : « Il y a six ans, tu n’étais qu’un mendiant, sans toi, elle serait déjà la femme d’un riche. »

« J’ai entendu dire que tu es allé à l’étranger, qu’est-ce que tu as fait ces dernières années ? »

Il a posé une telle question pour le mettre dans l’embarras.

Il a répondu : « Je dispose d’une île, et j’ai des millions d’euros dans mon compte. »

« Pour les voitures, je n’aime pas trop conduire, donc j’aime l’hélicoptère pour les déplacements. »

« Et ma compagnie s’appelle le Temple d’Uranus. »

« Moi, je suis le patron de ma compagnie. »

En un instant, toute la salle était silencieuse, tout le monde l’a regardé avec air étonné.

5 secondes plus tard, toute la salle a éclaté de rire.

« Ivy, c’est lui l’homme que tu as attendu depuis six ans ? »

« Des millions d’euros, ha ? »

« Le Temple d’Uranus, c’est une compagnie de mendiant ? »

Personne ne croyait aux paroles de Théo.

Tout le monde le considérait comme un fou, un fou qui aimait se vanter.

Surtout, ça semblait tellement faux.

Ivy a aussi eu l’air déçue.

Elle attendait Théo depuis six ans, elle ne voulait rien d’autres qu’une petite famille.

Même c’était une famille pauvre.

« Ivy, tout ce que j’ai dit est vrai. »

Il voulait expliquer, mais elle l’a arrêté.

« C’est assez, Théo, tais-toi. »

« Nous pouvons être pauvre, mais nous devons avoir l’intégrité. Ne dis pas des bêtises. »

Il n’a plus rien dit. En effet, personne n’allait croire en lui.

« Pourquoi vous riez ? »

À ce moment-là, un homme et une femme sont entrés.

Ils étaient de même âge de Théo, mais l’homme avait l’air plus riche.

La femme était très belle.

« Ah, c’est Léa et Hubert. »

Léa était la sœur d’Ivy. Hubert était le fils du patron de la pharmacie Centmédi, la plus grande pharmacie de la ville de Roy.

Subitement, tous les membres de familles se sont levés.

« Léa, Hubert, venez vous asseoir ici. »

La petite fille d’Arthur s’est approchée d’eux et a dit : « Léa, regarde, c’est Théo, le mendiant qu’Ivy attendait depuis six ans. »

« Il vient de dire qu’il a des millions d’euros et qu’il a une compagnie, qui s’appelle le Temple d’Uranus. »

Léa a ri : « Le Temple! C’est pour le bouddhisme ? »

« Ivy, l’homme que tu attendais n’est pas non seulement un mendiant, mais aussi un fou ? »

« Hahaha. »

La salle a éclaté de rire une fois de plus.

Ivy était très embarrassée, mais Théo était calme.

Hubert s’est approché d’Arthur, avec une boîte dans la main.

« Grand-père, j’ai préparé un petit cadeau, j’espère que vous l’aimeriez. »

Hubert a ensuite ouvert la boîte, il y avait du ginseng.

Même de loin nous avons pu sentir le parfum du ginseng.

« C’est… »

Arthur était excité.

Léa a dit : « C’est le trésor de la pharmacie Centmédi, cela coûte cent mille euros. »

Tout le monde s’est exclamé. Arthur avait aussi l’air content.

« Merci beaucoup, Hubert. »

« Je suis content que ça vous plaise. »

Puis, Léa a dit à Théo : « Ce que tu as préparé comme cadeaux doit aussi être très cher, n’est-ce pas, le millionnaire ? »

« Voilà. » a dit la femme de ménage.

Léa a regardé avec dédain les reconstituants que Théo et Ivy avaient achetés du supermarché.

« Voilà ? Comment osez-vous apporter des déchets pour Grand-père ? »

« Mme Julien, jette ces déchets dans la poubelle s’il te plaît. »

« Oui. » a répondu la grosse femme, puis elle a jeté ces cadeaux dans la poubelle.

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