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Chapitre 48

Quand elle a quitté la maison pour aller au parc, elle a rencontré quelques vieilles sœurs et a échangé des civilités ave elles.

Lorsqu'il s'agit du gendre ou de la belle-fille de chaque famille, tout le monde était très bavard, car le gendre n'était pas mauvais et la belle-fille était consciencieuse.

Gisèle était la seule à ne pas pouvoir ouvrir la bouche et ne pouvait que sourire avec embarras.

«Hé, Soeur Gisèle, comment va ton gendre Pascal ces jours-ci ? J'ai entendu dire qu'il est maintenant un livreur de nourriture à emporter.» Une femme d'âge moyen, vêtue d'une tenue flamboyante, révélait impitoyablement le vieux secret à ce moment-là.

A chaque fois qu'elles se rencontraient, elles devaient parler du gendre de Gisèle.

C'était déjà une conversation courante.

«Ah, Soeur Gisèle, ton gendre est si faible, alors pourquoi ne pas demander à ta fille de divorcer plus tôt.»

«Ce n'est pas bon, après le divorce, elle serait une femme du second mariage, on ne veut pas l’épouser. En plus, el
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