Liaisons mystérieuses

Dans les frontières du Sud-Ouest, la Guerre des Neuf Métropoles avait déjà fini. Les villes étaient dans la floraison, cela a forcé la panique des ennemis. Dans un immeuble, un noble a froncé les sourcils devant un jeune : « Veux-tu vraiment rentrer dans la Ville du Centre ? Veux-tu encore garder ton identité d'Arès en secret ? » Le vieux noble était un Maréchal, mais ses regards restaient respectueux envers le jeune derrière qui il y avait les Neuf Dieux. Ils avaient vaincu d'innombrables ennemis et étaient tous les héros. Toutefois, à ce moment-là, ils tenaient debout avec l'air modeste derrière le jeune. Le jeune s'appelait Vincent Delaunay, Arès du Pays de Trésor, supérieur à Dieux, ayant des statues les plus privilégiées. Toutefois, tout le monde était stupéfait car les médias avaient voulu dénoncer l'identité des Neuf Dieux et de l'Arès, mais à la fin, seulement les Neuf Dieux avaient été annoncé, l'Arès restait mystérieux. « Oui. Je ne sais pas si Anastasia e

« Vincent, es-tu fou ? Tu es seulement un bon à rien, n'est-ce pas ? peux-tu m'offenser avec tes forces ? » Frank a serré les dents et voulait se lever, mais Vincent a piétiné sur lui. « Je ne veux plus répéter. » Vincent a donné un coup de pied sur son bras, Frank a crié car son bras était cassé. « Putain ! » Frank a levé la tête et a vu le regard froid de Vincent, il n'osait plus pousser un mot. « Mange-en, sinon, tu seras mort. » Vincent a demandé. « Oui. » Frank était paniqué, et a mangé les deux crêpes à contre-cœur. « Fiona, je te remercie de tes soins vers Aurora. Anastasia est-elle ici ? » Vincent s'est approché de Fiona, qui était la domestique et l'amie d'Anastasia. « Anastasia a été exilée, parce que les Chevalier ne lui permettaient pas de donner la naissance à Aurora... » Fiona avait les larmes dans les yeux. « Allons-y pour la voir. » Vincent a pris Aurora dans les bras, « Aurora, personne ne peut vous humilier. » « Fiona, qui est ce monsie

Fiona et Vincent sont allés devant une cour vétuste dans les périphéries. Devant la cour, il y avait un grand banian, la cour était tranquille mais antique. « Ma mère, Anastasia et mes beaux-parents habitent-ils ici ? » Vincent était un peu triste car Anastasia était la fille la plus brillante de la famille des Chevalier, auparavant, elle avait été froide et belle, les autres l'avaient appelée "la belle directrice" et beaucoup de monde l'avait courtisée. Toutefois, pour nourrir sa fille, elle habitait dans une maison si vétuste. Fiona a souri avec amertume : « Et son frère aussi, il a dix-neuf ans. Toutefois, il devrait y rester. » « C'est une grande famille. » Vincent avait les larmes dans les yeux, « Anastasia a une vie trop pénible. » Ensuite, il a aperçu une Bentley près de la cour. « Pourquoi y a-t-il une Bentley ? » Vincent a froncé les sourcils avec curiosité. « Je ne sais pas car je n'habite pas ici... Il est arrivé trop de choses à Anastasia, mais elle

« Je vais sûrement mourir ? Je ne pense pas ! » 　　Vincent ne s'est pas inquiété et a regardé dehors, où Fiona était allée jouer avec Aurore sous le grand banian.　　« Je verrai comment tu peux encore être dur avec moi plus tard ! » 　　Lorin n'a pas pris la peine de parler à Vincent, qui, il en était sûr, le regretterait bientôt.　　Bientôt, plusieurs voitures se sont arrêtées juste à l'extérieur et Jimmy, le frappeur numéro un de la famille Moreau, est entré à grands pas avec plusieurs hommes costauds.　　Dès qu’il est entré dans la cour, Jimmy a juré, « Quel type ? Comment ose-t-il intimider notre jeune maître, cherche-t-il la mort ? » 　　Jimmy, à ce moment-là, était furieux parce qu'il avait rencontré un type qu'il ne pouvait pas du tout se permettre d'offenser et lui avait fait couper un doigt.　　Celui-ci venait d'arriver à l'hôpital pour être pansé lorsque le chef de famille l’a appelé pour lui dire que Lorin avait été battu et qu'il devait venir s'en occuper immédiatement.　　«

« C'est vrai, juste quelques perdants, et les voilà qui parlent de faire la guerre et de faire honneur à la patrie, quelle rigolade ! » 　　L'autre, aux cheveux jaunes, a également ri froidement.　　« Bang Bang ! » 　　Cependant, la seconde suivante, ils n'ont senti qu'un flou devant leurs yeux, et les deux se sont envolés directement, faisant s'effondrer la barrière derrière eux.　　« Pouf ! » 　　Le sang a jailli des bouches des deux hommes. Et leurs jambes ont piétiné, et ils ont arrêté de bouger.　　« Ah, le meurtre ! » 　　Les deux femmes, hurlant de terreur, se sont enfuies aussitôt comme si elles avaient vu un fantôme.　　« C'est fini Vincent, tu, tu as tué quelqu'un. Et si c'étaient des personnes avec lesquelles on ne peut pas jouer, ou s'ils appartenaient à quelque organisation ? » 　　En voyant les deux hommes allongés là sans bouger, le visage de Carina est devenu blanc de peur , « Toi, tu es trop impulsif, n'est-ce pas ? Ce n'est pas un champ de bataille, il y a des gens qu