A peine sortie de la clinique, je suis éblouie par la vision qui s'offre devant moi. Incroyable.
Le batiment prinipal semble tout droit sorti d'un cahier de dessin. Une immense maison de bois qui semble être un enchevêtrement de plusieurs maisons et tourelles. C'est complètement irréel et burré de charme. Aucune des parties de la maison ne ressemble à un autre et les tourelles sont chacune d'un diamètre et d'une hauteur différents. Mais toutes arborent de petits balcons fleuris. Le tout forme l'endroit le plus charmant que j'ai vu. Autour du batiment central, se dressent différents chalets, eux aussi complètement dépareillés. Chaque maison a sa personnalité.
Nous nous trouvons sur un plateau de montagne, la vue est incroyable, elle aussi. Protégé d'un côté par le flanc de montagne et de l'autre par une vue imprenable sur la vallée, la position est stratégiquement bien étudiée.
Nous traversons un ruisseau pour rejoindre les appartements de Géna. l'endroit est si beau que je me pince pour être certaine d'être en vie et éveillée. Elle se tient maintenant sur le seuil d'une des rares maisons en pierre, ronde avec un toit de chaume. Elle m'invite d'un sourire à entrer et je m'exécute. Le salon est coloré, avec 2 grands fauteuils dépareillés et une table basse remplie de livres. Des bibliothèques en bois brun débordent elles aussi de livres et de bibelots, dès l'entrée de la maison. En contraste avec tout le rete, la cuisine ouverte, sur la gauche, est très moderne et bien équipée. Un bar fait aussi office de table à manger, dans des teintes de bois plus clair et doré. Au fond du salon en demi cercle, 3 portes. Elle ouvre celle de droite : "Je peux te proposer de t'installer dans cette chambre, elle n'est pas occupée. Moi je me trouve dans celle d'à côté" me dit-elle en ouvrant la porte au centre et me faisant signe de regarder.
Je m'apporoche de sa chambre, à son image, tout en gaité. Un bordel orgaisé où s'amoncèlent beaucoup trop d'affaires qui semblent pourtant chacune à leur place. J'ai l'impression que la maison elle-même m'accueille chaleureusement. Puis je jette un coup d'oeil à ce qui pourrait être ma chambre.
Les rideaux blancs adoucissent la rugosité des murs de pierres. Un grand lit surmonté d'une moustiquaire fait face à une immense commode surmontée d'un miroir d'au moins 2 mètres de largeur. Des vases fleuris l'encadrent. Le parfum qui s'en dégage est divin. Enfin, une grande armoire en bois sur la gauche me fait paraître toute petite.
"Je me suis permise de te sélectionner quelques tenues, nous parlerons shopping dès que tu auras mangé." me dit joyeusement Géna. "Tu peux te rafraichir dans la salle de bain, la dernière porte, bien sûr" précise-t-elle avec son si grand sourire.
Elle attache ses jolies boucle pour s'ateler à mettre le couvert et faire réchauffer des plats déjà cuisinés.
"Oh, Zora, si tu veux prendre une douche, tu trouveras une serviette sur ton lit. N'hésite pas à te servir dans l'armoire poir te changer." me lance-t-elle distraitement, comme si tout ce luxe était anodin pour elle.
Je suis arrivée sans rien, je n'avais déjà pas grand chose mais je n'ai pas pu prendre quoi que ce soit dans ma fuite. Les larmes recommencent à couler quand j'entre vraiment dans la chambre, cette fois. Je caresse les draps, la serviette rose foncée avec un liseret doré. Tout est tellement doux. Je m'empare de la serviette et y plonge mon visage, c'est un pur bonheur.
Je vais choisir une tenue dans l'armoire, un peu réticente à l'idée de ne plus porter cette tenue si confortable, mais j'y trouve au moins une trentaine de tenues différentes. Je choisis un jogging noir, tout simple, mais qui me semble d'une incroyable qualité. J'ai presque peur qu'il s'échappe en l'attrapant, je ne mérite pas tout ce luxe. Je ne suis personne.
J'entre dans la salle de bain, pose mes précieuses trouvailles sur le bord de la double vasque et commence à me déshabiller. J'ouvre l'eau chaude et ce qui pourrait ressembler à une pluie coule au-dessus de moi. La sensation est douce et la chaleur enveloppante. Si je ne prends pas garde, je pourrais me senitir trop en sécurité ici et baisser mes défenses, pourtant érigées depuis l'enfance. Sans m'en rendre compte, mes pensée m'amènent de la caresse de l'eau aux caressues de Volken. Je l'imagine sous la douche, nu avec moi. Son torse chaud contre mon dos. Les doigts de sa main droite qui parcourent ma nuque et mon flanc, ses baisers dans le cou. J'écarte légèrement les jambes dans l'espoir de le sentir s'aventurer à l'intérieur de mes cuisses. Une sensation de chaleur en bas de mon abdomen me fait saliver, j'ouvre la bouche. Je fais glisser mes doigts délicatements de mon sein droit à mon pubis. Je caresse d'abord mes poils, puis mes lèvres. Je laisse échapper un soupir imaginant son visage s'en approcher, le bout de sa langue remplacer le bout de mon majeur qui s'introduit un peu plus loin vers mon clitoris. Je gémis de bien être. je me penche vers la paroi, et sans même bouger un doigt, juste n l'imaginant me prendre, je jouis. Je prends le temps de savourer l'orgasme, toujours enveloppée de la chaleur bienfaisante de la douche.
Volken"Nous sommes donc mercredi. Dans 6 jours, je fêterai mon anniversaire;" déclare Zora. Je ne sais pas quoi penser de son attitude. Elle semble presque... joyeuse ? C'est la perspective de son anniversaire ? Etrange, quand on pense qu'une meute projette de la sacrifier et que Géna souhaite verser son sang. Sans parler de cette histoire de rester vierge jusqu'à son anniversaire. J'ai ma main posée sur son épaule et tout mon être réclame de la prendre toute entière. Vierge ! C'est un concept que mon loup ne peut entendre. Il pousse mon esprit à aller là où je ne dois pas m'aventurer, je ne peux pas penser à elle comme ça. Je ne pourrai jamais tenir. D'ailleurs, je n'y arrive pas, j'ai l'eau à la bouche en pensant à ma langue qui goûte sa peau. Je veux me frotter à elle, la serrer dans mes bras, l'embrasser et la caresser. Ma main qui remonte le long de sa hanche jusqu'à son sein que j'enpoigne pour le lécher doucement puis mordiller son téton. Mon autre main qui remonte à l'intér
GénaAh, ils redescnedent enfin de leur nuage. Le temps presse. Je me dirige vers la cuisine. J'ai déjà disposé 4 thés fumants sur la table lorsqu'ils nous y rejoignent. "Zora, je vais mettre les pieds dans le plat, même si nous ne nous connaissons que depuis 24 heures. A ma décharge, j'ai l'impression de t'avoir toujours connue."Zora semble buter sur mes paroles et fronce les sourcils. "C'est étrange, j'ai la même sensation, comme si j'étais enfin rentrée chez moi." me répond-elle. "Je sais que c'est un peu présomptueux de ma part, je viens d'arriver et je me proclame déjà des vôtres, mais j'ai vraiment cette impression, je ne sais pas l'expliquer"."Zora, écoute moi", je l'arrête pour recentrer la discussion."Entrer dans notre refuge est une sorte de test. Quiconque avec de mauvaises intentions ne peut pas entrer dans la maison.""Je n'ai pas de mauvaises intentions !" s'insurge-t-elle. "pourquoi m'évanouir alors ?"Elle semble s'affoler, aussi je la coupe à nouveau : "tu es entré
ZoraJe m'entends grogner. Je dois être en train de me réveiller. Je bouge légèrement, je me déploie, je m'étire, sans pour autant ouvrir les yeux. Je n'y suis pas prête. Je me bats pour me souvenir pourquoi je ne veux pas m'éveiller. Une image fugace, une impression de bien être. Oui, c'est ça. Je plisse fort les yeux pour rattraper cette sensation de bien-être. Mais rien. C'est parti. Je balance une jambe hors du lit, pour prendre un peu de fraicheur et tenter de me réveiller. J'ouvre un oeil. Je suis seule dans la pièce. La chambre chez Géna. Tout va bien, je suis en sécurité. J'ouvre le 2è oeil, je pose un pied par terre, et soudain c'est le choc. Je me souviens. Je l'aurais frappé si j'avais pu. Toujours à donner des ordres avec son air froid et supérieur. Et le plus exaspérant, c'est que sans même le voir, je sais que c'est Zolken qui m'a rattrapée quand je me suis écroulée. Je lui ai cette fois encore donné une piètre image de moi, loin de la femme forte que je désire devenir
Nous nous arrêtons devant une immense hutte en bois, surmontée de paille, qui ne détonne que par sa taille dans ce village. Des bruits sourds s'en échappent.Alors que nous nous y engageons, j'entends les bruits des chocs des corps qui s'entrechoquent les uns aux autres. 10 hommes et femmes en plein corps à corps, par groupes de 2. Ils ne nous remarquent qu'au bout de 10 mn. Je suis étonnée de trouver Lize parmis eux. Je l'imaginais plutôt aux fourneaux, petite femme replète avec un regard si bienveillant. Mais elle a l'air féroce et met son adversaire en difficulté. Je l'entends crier pour intimider et elle n'hésite pas à foncer sur lui, donnant l'impression d'une solidité ancrée dans le sol, bien qu'en mouvements permanent. Elle ne marche pas, elle danse, elle vole jusqu'à lui, se jette à son coup et d'une rotation qui semble si facile sate au dessus de son épaule, lui attrape la nuquue et le plaque au sol après l'avoir jeté par dessus son épaule. Tout être humain normal serait mort
VolkenQue s'est-il passé ? Qu'a-t-elle fait ? Un pouvoir. Elle doit avoir des compétences en magie. Réussir à éloigner et calmer un loup pourtant sur le point de céder à ses pulsions animales, c'est impossible. Alors d'une simple apposition des paumes... Elle ne veut pas de moi, elle vient de l'exprimer. Mais même là, au sol, ébettée, elle a quelque chose. Quelque chose qui m'attire. Et cette langue sur sa lèvre, comment aurais-je pu résister à ça ? J'étais à 2 doigts de la prendre.Je n'ose pas bouger, que puis-je lui dire ?Je décide de lui tendre la main pour l'aider à se relever, mais sans la regarder. J'ai trop peur de l réaction de mon loup. Même cette douche froide n'a pas complètement calmé l'attirance que nous avons pour elle. Je pourrais me perdre dans son regard, être tenté par ses lèvres pulpeuses ou la courbure de ses hanches.Elle n'accepte pas mon aide et se débrouille seule. Aucun de nous ne prononce un mot. Ai-je dépassé les limites. Souhaite-t-elle quitter la meute
ZoraJe le regarde du coin de l'oeil, faisant mine d'être toujours en méditation. Je vois bien qu'il hésite à me parler, dans sa posture et sur son visage. Il serre le point droit comme s'il s'obligeait violemment à faire ce qu'il ne souhaite pas, en l'occurrence, m'approcher. J'hésite en tre rire et dégoût.Je prends donc mon temps en m'étirant. Je lève doucement le bras gauche au-dessus de moi et je le tire doucement vers la droite à l'aide de mon bras droit. Le plaisir mêlé d'un corps soulagé et celui de le faire rager un peu pllus sont une vraie bénédiction pour mon moral. Et je répète l'opération du bras droit vers la gauche. Un délice.Je saute de ma souche pour me mettre à genoux et je vais cherccher le plus loin possible au sol avec mes mains. Je sens les noeuds au bas de mes reins se démêler. Je vais encore un peu plus loin pour en faire céder le plus possible. Je me relève lentement, de façon à ne pas perdre les biens faits de mes étirements. "En quoi puis-je t'aider ?", je