Chapitre 11

 « Chérie, les trois ensembles te vont bien, tu les aimes ? Achète-les si tu veux ! »

Les deux vendeuses, n'osant plus mépriser Vincent, ne pouvaient que rester à l'écart, embarrassées.

En entendant les mots de Vincent, Anastasia a rougi, le mot chérie rendant son cœur légèrement mal à l'aise.

« Je pense toujours que c'est trop cher ! »

À ce moment, Anastasia, qui s'était déjà changée, après avoir regardé les trois ensembles de vêtements, a souri : « En fait, c’est l’intention qui compte. Tu peux en acheter un, tu n'as pas besoin d'en acheter autant ! »

« Oh, si tu n’as pas d’argent, pourquoi tu fais semblant d’être riche ? Si tu ne payes pas l'argent aujourd'hui, tu ne pourras pas sortir ! », cette noble qui s’appelait Debbie a ri froidement.

Lorsque les deux vendeuses ont entendu cela, elles étaient heureuses dans leur cœur : « Ces trois pauvres bâtards, ils n'avaient pas d'argent et osaient encore agir grossièrement, maintenant qu’ils ils avaient rencontré un personnage plus puissant, voyons ce qu'ils vont faire ! »

Cependant, à sa grande surprise, Vincent a tendu les trois ensembles de vêtements à la vendeuse qu'il avait giflée : « Ce sont les trois pièces, emballe-les pour moi ! »

« Vraiment ? La somme total est presque deux cent mille d’euro… »

La femme était un peu confuse et lui a demandé avant de montrer le chemin : « Monsieur, par ici s'il vous plaît ! »

Vincent l’a suivie et a sorti une carte bancaire dorée avec un numéro de carte 888888888888888888. « Ce genre de carte, il peut fonctionner ? », la vendeuse a froncé les sourcils et ne pouvait s'empêcher de marmonner. Après tout, c’était la première fois qu'elle voit une telle carte bancaire.

« Pourquoi dis-tu tant de bêtises ? Dans les dix milliards, pas de code secret ! », Vincent a jeté un regard impatient à son interlocuteur et a fait un petit signe de la main à sa femme qui l'attendait toujours de l'autre côté.

La vendeuse a aspiré une bouffée d'air froid, mais elle pensait toujours que l'homme en face d'elle devait mentir. Elle savait que la carte noire la plus puissante, qui pouvait être glissée sans effort dans les dix millions, sans entrer de mot de passe. Mais cet homme, il avait dit que la somme maximale était dix milliards d’euro, qu'est-ce que ce n'était pas de la vantardise ?

Néanmoins, elle a épuisé un sourire et a posé la carte sur le lecteur. À sa grande surprise, la transaction a été instantanément réussie !

« Mon Dieu, ce qu'il a dit, ça peut être vrai, non ? »

La belle responsable a avalé sa salive, même si ce n'était pas vrai, cette carte étant capable de payer facilement autant d'argent sans mot de passe, alors l'identité de cette personne, ne devait pas être simple. Le client, qui s'est rendu à la banque, était définitivement un VIP parmi les VIP.

« Prenez soin de vous, monsieur, revenez souvent quand vous aurez le temps ! »

C’était rare de rencontrer un client aussi riche, la vendeuse a en fait remis respectueusement sa carte bancaire à Vincent et s'est légèrement inclinée avec un visage agréable.

« Comment ? N'as-tu pas dit que nous étions pauvres ? Vous nous invitez toujours à venir ici souvent ? », Vincent a souri froidement et a repris sa carte.

« Un malentendu, c'est un malentendu, je ne m'attendais pas à ce que monsieur soit si modeste ! », La belle vendeuse a ri, puis a ajouté : « Tant que vous venez acheter autant tous les jours, monsieur, vous pouvez simplement me gifler à nouveau ! »

Après tout, leur commission pour ces trois pièces de vêtement était assez élevée, surtout celle qui dépassait les 100 000, qu'une personne moyenne ne pouvait vraiment pas se permettre d'acheter.

Vincent n'a pas pris la peine de prêter attention à l'autre partie, puis s'est approché d’Anastasia et de Carine : « Allons-y, maman, allons dans un autre magasin pour voir s'il y a quelque chose que tu aimes ! »

« Tu as vraiment acheté ces choses ? »

Cette, qui attendait Debbie, à la porte pour attendre Vincent, a été stupéfaite de voir cette vendeuse sourire en escortant Vincent vers la sortie.

Bien qu'elle ne soit pas à court d'argent, mais en dépensant près de deux cent mille d'un coup, elle aurait le cœur brisé. En plus, elle venait de dire quelque chose de dur.

Vincent est arrivé à la porte et a regardé les gardes du corps qui se tenaient ici et a dit d'une voix froide : « Les bons chiens ne bloquent pas les chemins d’autrui ! Dégage du chemin ! »

« Fils de pute, tu es vraiment très sauvage ! », le garde du corps qui menait le groupe était tellement furieux qu'il s'est avancé et voulait frapper cet homme en face de lui en plein visage.

« Bang ! », cependant, la seconde suivante, il s'est envolé et est tombé lourdement sur le sol.

« Ce… », les quelques gardes du corps restants, se sont tous figés, ce gamin, semblaient avoir habileté parfaite.

« Pourquoi vous ne bougez pas ? Avancez ! Merde ! Comment il ose frapper ma personne, il ne me donne simplement pas le visage ! », Debbie a jeté un coup d'œil et était tellement en colère qu'elle a immédiatement pointé du doigt d'une main et crié.

« Bang, Bang, Bang ! »

Malheureusement, la seconde suivante, elle était complètement sans voix, ses gardes du corps qui étaient habituellement assez puissants et ont été formés et engagés par des professionnels, un par un, ils étaient bientôt tomber.

« Debbie, voulez-vous lui donner une leçon ? », Vincent a regardé froidement cette Debbie et a crocheté son doigt vers l'autre partie.

« Un malentendu, c'est un malentendu, petit frère, je vois que tu es tout à fait capable, pourquoi ne deviendrais-tu pas mon garde du corps, je paierai ton salaire ! », Debbie a souri maladroitement. Tant de gardes du corps n'étaient pas l'adversaire de cet homme, elle était une femme faible, comment pouvait-elle être sa taille ! Elle avait peur d'être battue à mort.

« Pour être ton garde du corps ? Tu as aussi une trop haute opinion de toi-même ! », Vincent avait l'impression que c'était une blague. Il était un Arès légendaire, le maître des neuf grands Dieux, et avait accompli de grands exploits au combat, serait-il réduit à être un garde du corps ?

« Fils, allons-y ! », Carine avait été stupéfaite, c'était la première fois qu'elle voyait une telle scène. 　　Cependant, la puissance de son propre fils, était vraiment forte. Un tel groupe de personnes, en fait, ne pouvait même pas l'égaler.

« Allons-y, maman, les vêtements dans cette boutique, ils devraient t’aller… »

« Ne les achète pas, tu as dépensé tant d'argent, ton petit bonus, ne dépense pas tout ! »

« C'est bon, maman, ce n'est pas normal que ton fils t'achète des vêtements ? »

......

Après un moment, Anastasia a reçu un appel téléphonique. Après avoir répondu au téléphone, son visage a instantanément pris une mauvaise tournure.

« Qu'est-ce qui ne va pas ? Chérie ! », Vincent a constaté son expression et s'est immédiatement avancé pour demander.

« Tu as frappé Frank ? », Anastasia lui a interrogé d’un ton dur, et avant qu’il puisse s'expliquer, elle a ajouté : « Toi, pourquoi aimes-tu toujours te battre ? Oui, tu es génial, tu es un guerrier depuis quelques années, donc tu es arrogant, non ? Peu importe qui t’offense, tu le frappes, non ? »

« Vincent, c’est ta faute. Ce Frank est un personnage que tu ne peux pas offenser ! Il est très mesquin, si tu l'offenses, il se vengera ! », en y pensant, Carine a également soupiré : « Maintenant, Anastasia ne peut même pas trouver un emploi, Frank est également le principal coupable. Il est maintenant le patron du groupe Chevalier, tant qu’il donne des ordres, personne n’ose l’offenser. Sous sa menace, aucune entreprise peut emboucher Anastasia. »

« Mais, il mérite vraiment des frappes ! S’il n’est pas un membre de la famille Chevalier et le cousin d’Anastasia, il serait déjà mort ! », Vincent avait le visage froid et a continué de dire : « Ce salaud, quand je suis revenu, je ne savais pas que tu avais été chassé de la famille Chevalier, et quand j'ai Frank, il a réellement fait manger à Aurora les croissants sur lesquelles il avait marché avec les pieds sur terre, comment j'ai pu le supporter ! »

« Quoi ? », quand Anastasia a entendu ça, elle a aussi été choquée, « Ce bâtard, il en fait vraiment trop, comment il peut traiter Aurora comme ça ! »

Après avoir dit cela, elle a regardé Frank et a réalisé qu'elle l’avait mal blâmé à l'instant, « Je suis désolée, je ne savais pas que c'était en fait à cause de ça que tu l'as battu, c'est juste que maintenant le vieil homme est très en colère et nous a dit d'y aller immédiatement. Mes parents se sont déjà précipités là-bas et nous ont dit de nous dépêcher. »

« De quoi ont-nous peur, c'était leur faute en premier lieu, je n'ai toujours pas réglé le compte avec eux pour t'avoir expulsée ! », Vincent a reniflé froidement, puis a dit : « Allons-y ! »