03
LĂ je commence vraiment Ă perdre patience. Jâessaie dâenfoncer la porte mais avec ma force de mouche impossible.. Je commence Ă crier mais personne ne semble mâentendre, la situation devient compliquer. Je tape sur la porte de toute mes forces, je hurle, je panique mais rien y fait. Le reste de la journĂ©e sâĂ©coule et personne nâest venu mâouvrir, comme si je nâexistais pas. Je vois les heures dĂ©filer, des ombres passĂ©s devant ma porte mais personne nâouvre cette putain de porte ! Je fini par mâendormir ne comprenant toujours pas ce qui peut bien ce passer dans cette maison de fou.
Le lendemain mĂȘme rengaine, ça fait 24h que je nâai rien avalĂ© et je commence Ă avoir mal Ă la tĂȘte. Je commence vraiment Ă avoir peur, vont-ils rĂ©ellement me laisser mourir ici de cette maniĂšre ??
****
96h ce sont maintenant Ă©coulĂ©es, jâai dĂ» boire lâeau de mon robinet dans la salle de bain pour ne pas mourir de soif⊠Je suis vraiment tombĂ© bas, je suis affaiblis. Je tombe au sol et casse au passage une lampe, je rampe jusquâĂ la porte de ma chambre et pose une main dessus essayant de taper. Jâentends des voix derriĂšre celle-ci :
-Voix 1 : Laisse la sortir maintenant, elle va mourir si tu continu !
-Voix : Je sais ce que je fais alors laisse la oĂč elle est !! COMPRIS ?
Puis plus rien.. Je nâai pas reconnu la 1 Ăšre voix mais la seconde Ă©tait sans aucun doute Ă Mr.M. Alors jâai Ă©tĂ© volontairement enfermĂ© ? Je commence Ă voir trouble, je ne contrĂŽle plus rien et fini par mâeffondrer au sol.
****
Jâouvre les yeux doucement, la lumiĂšre mâaveugle câest horrible putain.. Je me trouve dans une chambre .. DâhĂŽpital ? Mais quâest-ce qui câest passĂ© ?
La porte sâouvre et je vois Yanis entrer, il me voit rĂ©veillĂ© et me saute dessus.
-Yanis : Putain !!! Tâes lĂ !!! Jây crois pas, tu mâas fais peur ta race lĂ ! Tu te sens bien ??
-Moi : Quâest-ce que je fais ici ?
-Yanis : Eeuh.. Je tâai trouvĂ© Ă©vanouie dans ta chambre et je tâai emmener Ă lâhĂŽpital.
-Moi : JâĂ©tais enfermĂ© dans ma chambre, comment tâes entrĂ© ?
-Yanis : Le 6eme jour, jâai forcĂ© ta porte et tâes trouvĂ© par terre âŠ
-Moi : Le 6EME JOUR ?!!! Non mais je suis resté 2 jours évanouie sans que personne ne fasse rien ?!
-Yanis : On pouvait pas le savoir wesh dĂ©tend-toi Ă croire câest ma faute ! Je tâai sauvĂ© je te signal hein. Dâailleurs si je nâĂ©tais pas entrer dans la chambre tu serais morte les docteurs ont ditâŠ
-Moi : Pourquoi vous avez fait ça ?
-Yanis : Câest mon pĂšre il voulait pas quâon tâouvre il avait grave la haine contre toi, on nâa pas compris avec Ruben câest pour ça que jâai dĂ» enfoncer la porte jâavais peur que tu sois morte tâas passĂ© 6 jours sans manger et tâas Ă peine bu, tâas eu grave de la chance dâĂȘtre en vie.. Ăa fait 2 jours lĂ que tâes ici.
-Moi : PutainâŠ
âŠ
-Moi : Faut que je parte Yanis.
-Yanis : Non.
-Moi : Câest devenu trop dangereux ! Tâimagine que jâai failli mourir pour un caprice de ton pĂšre ? Câest ça ses punitions ? Il est allĂ© trop loin..
-Yanis : Je te comprends mais fais pas ça ⊠Tâes Ă lui, tu ne peux pas partir comme ça yâa un contrat avec tes parents et tout.
-Moi : Comment je fais alors ?!
-Yanis : Il faut que tu appartiennes Ă quelquâun dâautre.
-Moi : Tu rigoles lĂ jâespĂšre ? Je vois tu rĂ©flĂ©chis mais zappe ça je ne veux pas appartenir Ă quelquâun tu mâas prise pour qui ?!
-Yanis : Mais tâes conne oĂč câest comment ?! Je parle de mariage agouna vaa.
-Moi : Tu te la racle lĂ ?
-Yanis : Tâas un autre solution ? Câest la seule pour rompre le contrat avec mon pĂšre.
-Moi : Et ce serait qui lâĂ©lu ?
-Yanis : Mon frÚre⊠Ou moi.
âŠ..
-Yanis : Câest juste une possibilitĂ©, je te laisse rĂ©flĂ©chir aprĂšs je peux trouver dâautres gens potentiels, faut juste que je cherche tqt pas je vais te sortir de cette merde, je te le promet..
-Moi : Pourquoi tu fais tout ça pour moi ?
-Yanis : Je sais pas, je te vois dans la merde je veux te sauver câest toutâŠ
-Moi : Huum je vois.
-Yanis : Bref je vais te laisser, faut que jâaille prĂ©venir un mĂ©decin que tâes rĂ©veillĂ©.
-Moi : Attends, jâai juste Ă appuyer sur ce bouton mdr.
-Yanis : Ah oui câest vrai, bah fais le au lieu de me regarder connasse.
PTDRRRRR đ
Bref jâappuie sur le bouton et une infirmiĂšre rentre dans la chambre, elle me pose des questions, fais ce quâelle a Ă faire etc ..
-InfirmiĂšre : Bon votre Ă©tat a lâair mieux mais toujours pas stable, on va vous garder encore quelques jours en observation Ă cause de vos marques etc ⊠vous pourrez sortir aprĂšs ne vous inquiĂ©tez pas mais il faut faire des examens.
-Yanis : Merci.
Elle sourit et sâen va, ça ce voyait elle vait craquĂ© sur Yanis celle-lĂ mdr.
-Yanis : Quâest-ce tâas Ă sourire comme une conne ?
-Moi : Mdrr rien casse-toi maintenant.
-Yanis : Tâes sah tu me tej comme de la merde ? Moi lâhomme qui a sauvĂ© ta vie ?
-Moi : Mdrrr câest vrai je mâexcuse tâes lâhomme de ma vie.
Alors lĂ je sais mĂȘme pas pourquoi jâai dis ça, câest partis tout seul style mdrr. Je le vois il sourit comme un con quâil est mdr.
-Moi : Quâest-ce tâas avec ton vieux sourire lĂ ? Ptdrr
-Yanis : Ta geule ! Il est mash mon sourire, sale jalouse va et crois pas je souris pour toi.
-Moi : Pourquoi tu mens ? Tâas kiffĂ© lĂ đ.
-Yanis : Rav tâas cher cru prend pas la confiance clocharde.
-Moi : Bon casse-toi tu me dérange maintenant.
-Yanis : Mdr câte rageuse !! Vas y kiss habibađ.
Alors lĂ jâai collĂ© mdrr, je rigolais toute seule, il me plait pas hein faut pas croire vs non plus mdr mais ça fais plaisir câest tout.. Il est direct sortis de la chambre et il ne me restait donc quelques jours de tranquillitĂ© avant le cauchemarâŠ
****
1 semaine câĂ©tait Ă©coulĂ©e, Ruben et Yanis sont venu me voir tout les jours, je me tapais de mĂ©chantes barres avec eux câĂ©tait dans lâĂąme franchement on sâĂ©tait bien rapprochĂ©s mais je sentais quâavec Yanis il y avait un petit truc en plus. Je fini ma derniĂšre nuit Ă lâhĂŽpital, demain je sors enfin.
Le lendemain, je me rĂ©veille tranquillement, on mâa apportĂ© le petit dĂ©jeunĂ©, je mange oklm putain la sensation, ça mâavais manquĂ© de fouuu de manger, je me blinde le ventre comme une grosse mdrr bref aprĂšs mon ptit dej, jâattends lâheure de sortie.
âą15 heures
Yanis entre dans ma chambre avec un sac.
-Yanis : Allez la grosse ! Je te ramĂšne.đ
Jâaimerais bien avoir le mĂȘme enthousiasme que lui mais sachant ce qui mâattends en rentrant câest juste impossible. Je souris Ă peine et attends mes vĂȘtements.
-Yanis : Bah tâattends quoi ? Viens.
-Moi : Mes vĂȘtements peut-ĂȘtre ? Je vais pas sortir le cul Ă lâair si ?
Il me regarde avec des gros yeux et éclate de rire.
-Yanis : Ah ouais smeh tiens đ
-Moi : MERCi. Mdr
Jâarrache le sac et pars dans la mini salle de bain de la chambre. Je met le jean et le t-shirt quâil ma ramenĂ©, les airmax, je me coiffe un peu putain je ressemble vraiment Ă rien câest grave on dirait un zombie lĂ câest trop .. Jâai grave la mort lĂ . Bref câest mon destin câest comme ça, je sors prĂȘte et on signe les papiers et part de cet hĂŽpital.
Le trajet personne ne parle, moi jâĂ©tais en stress et il le voyait, je regarde le paysage ça me fais penser quand Mr.M mâa ramenĂ© chez lui la 1Ăšre fois⊠Une boule se forme dans mon ventre, jâai peur de ce qui va mâarriver. Yanis pose sa main sur la mienne tout en conduisant sa magnifique voiture, je souris face Ă son geste.
-Yanis : Yâa quelquâun Ă tes cĂŽtĂ©s maintenant ne tâinquiĂšte pas.
On arrive devant la villa, je sors de la voiture et souffle un bon coup, jâai les larmes qui me montent aux yeux je ne veux pas revivre ce que jâai vĂ©cu ici, je veux juste rentrer chez moi ⊠Yanis serre ma main dans la sienne, il me sourit et me fais avancer. Jâai lâimpression dâĂȘtre une bĂȘte en direction de lâabattoir.
On entre dans la villa, tout est calme, Lili me saute dans les bras, elle a versé une larme.
-Lili : Jâai eu si peur pour toiâŠ
-Moi : Câest fini, je vais bien maintenant.
Je me force Ă sourire et Yanis me ramĂšne dans ma chambre. Il commence Ă partir mais je lui retiens le bras.
-Moi : Me laisse pas.
-Yanis : Je vais revenir Sofia.
-Moi : Je tâen prieâŠ
-Yanis : Okok viens.
On sâassoit sur mon lit, je mâallonge dos Ă lui et il met ses bras autour de ma taille. Ă ce moment lĂ je me sentais comme apaisĂ©e, je ne pensais plus Ă rien et jâai fermĂ© les yeux.
Je sentais son tĂ©lĂ©phone vibrer dans sa poche, puis au bout de 3 reprises jâai dĂ©cidĂ© dâintervenir.
-Moi : Yanis !
-Yanis : Hm ?
-Moi : Ăteins ton tĂ©lĂ©phone lĂ .
-Yanis : Pourquoi ?
-Moi : Il arrĂȘte pas de vibrer, ou dĂ©croche.
-Yanis : Ouais.
Il glisse sa main dans sa poche, prend son téléphone et décroche.
-Yanis : Quoi ?
- ??? : âŠ..
-Yanis : Jâai pas le temps lĂ .
- ??? : âŠ.
-Yanis : Wesh je tâai dis nan tâes en manques Ă ce point oĂč quoi ?!
- ??? : VAS TE FAIRE FOUTRE, QUAND TU VOUDRAS VIDER TES COUILLES, TâIRAS VOIR TES PUTES, CONNARD. Bipbip
-Yanis : Ah la salope.
-Moi : Charmant.
-Yanis : Ouais.
-Moi : Tâen a dâautres des comme ça ?
-Yanis : Ah si tu savais.
-Moi : Non je prĂ©fĂšre mĂȘme pas savoir.
-Yanis : Mdr, je mâen balek de ses vielles meufs.
-Moi : Tâes dĂ©geulasse, tu respectes mĂȘme pas.
-Yanis : Pourquoi je respecterais des meufs qui ne se respectent mĂȘme pas elles mĂȘmes ?
âŠ.
Dâun coup ma porte sâouvre et Mr.M entre furieux.
-Mr.M : Alors câest lĂ que tu Ă©tais petite chienne ?! Tu ne viens mĂȘme pas saluer ton maitre ? Quel genre de salope es-tu ? Jâaurais dĂ» te laisser crever plus longtemps dans cette chambre !
Yanis lĂšve la tĂȘte Ă cause des cris de son pĂšre et des insultes qui fusent dans toute la chambre.
-Mr.M : Et toi, câest comme ça que tu passes tes journĂ©es ? Dans les bras de ma chienne ?! Les tiennes ne te suffise plus ? Tu ferais mieux de vite apprendre un mĂ©tier !!
-Yanis : Câest qui que tu traite de chienne lĂ ?!
-Moi : Yanis tâen mĂȘle pas ..
-Mr.M : En plus tu la défend ? De mieux en mieux mon fils ⊠LÚve ton cul de ce lit maintenant je dois lui parler.
-Yanis : Pour que tu la batte ?! Vas y arrache de lĂ wallah.
-Mr.M : Me force pas Ă te mettre dehors.
-Yanis : Essais juste.
-Mr.M : TrĂšs bien. Tâauras cherchĂ©.
Il passe un coup de fil trĂšs rapide et 2 mins plus tard 2 gardes entrent dans la piĂšce.
-Mr.M : Faites sortir immĂ©diatement mon fils et empĂȘchez-le de rentrer.
Les gardes exécutent.
-Yanis : LĂąchez-Moi !!! Sofia !! Oh mais sur ma vie je vais vous niquez zbi !
Je le vois ĂȘtre sortit de force, jâai un pincement au cĆur, je sais dĂ©jĂ ce qui mâattends.
La porte est fermĂ©e Ă clĂ©, jâentends toujours Yanis derriĂšre en train dâhurler mon nom.
-Mr.M : Bien, il est temps de passer Ă la punition.
-Moi : Quâest-ce que je vous ai fais ??
-Mr.M : Tu fricotais avec mes fils sauf que, ce que tu as oubliĂ© câest que tu ai Ă moi chĂ©rie, et je nâaime pas partager ce qui mâappartiens.
Je serra les poings, excĂ©dĂ© par lâattitude de ce pauvre con.
Il sâapproche de moi et me jette sur le lit, je commence Ă hurler moi aussi, il monte sur moi et commence Ă me dĂ©shabiller.
-Moi : NON NON YANIS NON !!! AU SECOURS ! LACHE MOI GROS PORC NON JE TâEN PRIE !!!
Mes larmes commence Ă couler, jâessais tant bien que mal de me dĂ©battre mais rien nây fais, il ne me lĂąche pas⊠Je sais que cette fois je vais y passer. Il pose ses mains un peu partout sur mon corps, le dĂ©gout sâempare de moi. Il approche ses lĂšvres des miennes et mâembrasse brutalement, je lui mors la bouche.
-Mr.M : PUTAIIIN SALE PUTE ! TU VAS LE PAYER !!
Il me met une grande gifle qui me sonne instantanĂ©ment.. Je le vois qui commence Ă retirer son pantalon, jâen profite pour lui faire perdre lâĂ©quilibre et mâenfermer dans la salle de bain. Je suis prise de panique, je cherche nâimporte quoi pouvant le blesser, mais sur le coup je fais tout tomber, je ne contrĂŽle plus mes mains, elles ne sâarrĂȘtent pas de trembler.
-Mr.M : OUVRE PETASSE ! QUAND JâEN AURAIS FINI AVEC TOI, JE TE BUTERAIS TâENTENDS ?!!
Je vois une fenĂȘtre au dessus des toilette, je grimpe et lâouvre, si je saute je risque de mourir câest bien trop haut pour moi, je renonce et dĂ©cide de prendre le pommeau de douche et dâallumer lâeau brulante, oui câest stupide mais pour lâinstant ça peux faire lâaffaire. Il fini par dĂ©foncer la porte et je lui envoi lâeau sur lui. Il commence Ă crier et je lâassomme avec Ă plusieurs reprises, il tombe au sol et jâen profite pour filer mais je tombe Ă mon tour. Il me tenais la cheville et me tire vers lui, jâessais de mâaccrocher Ă quelque chose mais sa force est trop puissante pour moi. Lâeau bouillante continue de nous arroser ce qui me fais pousser un cris dâeffrois. Je ne sais pas comment je vais me sortir de cette situation. Il coupe lâeau et me remet une gifle, puis un coup de pied et il ne sâarrĂȘte pas la. Je sens de plus en plus mon corps me lĂącher, je ne ressens presque plus la douleur. Je savais que tout ceci arriverait si je revenais dans cette maison⊠Je pense Ă mes proches qui ne se doutent de rien, ils pensent surement que je vis dans le grand luxe, si ils savaient âŠ. Un gros boum venant de la porte ce fait entendre, jâentends quelquâun crier mon prĂ©nomâŠJe fini par perdre connaissance.
*Dans la peau de Yanis*
Les gardes me sorte de la chambre, jâessais de me dĂ©battre mais ils sont 2 et en plus balaises.
Je me retrouve vite derriĂšre la porte, je hurle de toute mes forces son prĂ©nom, putain je lui avais promis de la protĂ©ger ! Je suis quâune merde, jâarrive mĂȘme pas Ă la protĂ©ger.. Je lâentend hurler câest insupportable je ne peux rien faire !
*NON NON YANIS NON !!! AU SECOURS ! LACHE MOI GROS PORC NON JE TâEN PRIE !!!*
Jâen peux plus, je fonce dans ma chambre et attrape mon calibre, je reviens devant les gardes et les vises.
-Moi : Ăcartez-vous, jâhĂ©siterais mĂȘme pas une seconde !
Au dĂ©but personne bougeait, ah je vois ils font les malins, yâa pas de problĂšme. Je tire une balle dans la jambe du garde de droite, lâautre sâĂ©carte.. Je dĂ©fonce la porte et vois Sofia Ă©vanouie, mon pĂšre sur elle câest quoi ce dĂ©lire ?!
-Yanis : TâESSAI DE FAIRE QUOI LĂ ?!
-Mon pĂšre : DĂGAGE ! Je vais finir ce que jâessai de commencer depuis quâelle est ici.
Tfoou il me dĂ©goute, câest un pĂšre ça ? PutainâŠ. Je pointe mon arme sur lui câest la seule solution.
-Moi : Ăcarte toi.
âŠ..
-Moi : ECARTE-TOI ZEUBI JE VAIS PAS TE LE RĂPĂTER UNE TROISIEME FOIS, JOUE PAS AVEC MES NERFS LĂ !!
-Mon pĂšre : HAHAHAHAH mon propre fils me menace de mort ?! Pour cette pute ?!
-Yanis : Elle ne mérite pas ça laisse la.
-Mon pĂšre : Quâest-ce qui tâarrive ? Dâhabitude tâen a rien Ă foutre de ce que je fais aux esclaves.
-Moi : Bah peu ĂȘtre que jâen ai marre !!
Il se lĂšve de Sofia, toujours son sourire vicieux aux lĂšvres.
-Mon pĂšre : Tu lâaimes.
-Moi : NON ! Ca ne te regarde pas. Dégage.
Ruben entre Ă ce moment lĂ dans la piĂšce.
-Ruben : Putain elle est en sang câest quoi ce bordel ?!
-Moi : Demande lui.
-Ruben : Papa ?
-Mon pĂšre : JE VEUX JUSTE MâAMUSER AVEC MA CHIENNE JâAI LE DROIT NON ? Elle mâappartient Yanis que tu le veuille ou non !
LĂ je lui pose mon poing en pleine geule. Il saigne du nez.
-Moi : Redis ça et je te bute !
Ruben amĂšne Sofia Ă lâhĂŽpital et demande Ă Lili de faire toute ses valises vite.
-Ruben : Ok.
Il prend Sofia dans ses bras et court prévenir Lili.
-Moi : Maintenant câest entre toi et moi.
-Papa : Et quâest-ce que tu compte faire, me tuer ? Ton propre pĂšre ? Fais moi rire, tâen ai incapable.
-Moi : Je tâinterdis de reposer une seule main sur elle câest clair ?
-Papa : Pauvre enfant⊠Tâes ridicule il y a un contrat entre elle, sa famille et moi, tu nây peut rien.
-Moi : Je veux me marier avec elle.
-Papa : QUOI ?!
-Moi : Je suis ton fils, laisse la moi, le contrat sâannule et tu te trouve une autre esclave je ne te la laisserais pas et je vais me battre pour ça quitte Ă mettre la police dans tes affaires.
-Papa : TrĂšs bien, si câest ce que tu veux, je te la laisse mais tu sais ce que signifie un mariage quand mĂȘme ?
-Moi : Bien sur que oui.
-Papa : Bon alors câest dâaccord mais lui en as-tu parlĂ© ?
-Moi : OuiâŠ
-Papa : Je suppose quâelle est dâaccord alors.
-Moi : TâinquiĂšte pas pour ça.
-Papa : Alors câest parfait.
Je baisse mon arme et aide Lili à préparer les affaires de Sofia ainsi que mes affaires. Hors de question que je laisse Sofia dans cette maison.
****
25La voiture se stoppe au parking et nous descendons tout les 2 dans un profond silence, comment vous dire que c’était vraiment gênant comme situation … De mon côté, c’est une évidence que je suis heureuse de le retrouver mais du sien je sais pas, je sens qu’il y a quelque chose qui le dérange mais quoi je ne sais pas. On prend l’ascenseur et on monte direction sa chambre, une fois arrivé il ouvre sa porte et me fais entrer.-Yanis : Bon écoute je sais pas trop par ou commencer mais je vais être direct avec toi.-Moi : Oui je t’écoute..-Yanis : Ok, cette semaine loin de toi m’a permis de réfléchir sur tout un tas de trucs mais surtout sur nous 2, et j’en suis venu à c
24Je suis en train de partir mais monsieur sort de la maison en criant mon prénom du coup je me retourne et attends qu’il parle.-Ruben : Je suis désolé.-Moi : Mais désolé de quoi Ruben ? De me traiter comme une merde ? De négliger notre relation ? De faire n’importe quoi ? De te mettre en danger ? Moi j’en ai marre et je te garantis que si tu ne te décide pas à changer je te quitte, toi et moi on a mis du temps avant d’arriver jusqu’ici et toi tu nique tout dès le début, j’ai pas besoins de ça moi alors soit tu change, soit tu m’oublie.-Ruben : Rentre on va parler.-Moi : Non je pense que je vais d’abord te laisser réfléchir ensuite quand tu seras sûr de ta décision tu m’appelle et y’a pas de soucis o
23Je commence à préparer les sacs.-Nour : Tu fais quoi ?-Moi : Je prend tout ce que je peux pour qu’on se casse d’ici.-Nour : Arrête.-Moi :Quoi ?-Nour : JE T’AI DIS D’ARRÊTER !-Moi : Mais ça va pas ? T’es folle ! Qu’est-ce qui te prend ?-Nour : Je vais pas partir d’ici et toi non plus.-Moi : Bien sur que di ils viennent nous chercher !-Nour : T’as vu ce qui c’est paqsé la dernière fois qu’on a essayé ? Je veux pas me retrouver une dernière fois dans le coma ou pire perdre la vie et je pas que ça t’arrive non plus donc laisse tomber.-Moi : Nour si on ne tente rien c’est ici qu’on va crever comme de la merde je compte pas rester ici toute ma vie et je ne te laisserais pas
22-Homme : Sofia ça va ?-Moi : Vous êtes qui ?-Homme : Je suis venue te sauver c’est Nour qui m’envoie elle m’a tout expliqué je vais te sortir de là.Il m’aide à tenir debout et ouvre la fenêtre.-Moi : QU’EST-CE QUE TU FOU ?! đ±-Homme : On va sauter.-Moi : Mais t’es fou ou quoi ?! On va mourir !-Homme : Tu me fais confiance ?-Moi : Est-ce que j’ai l’air d’avoir le choix ?-Homme : Mdr voilà donc ferme là.Il regarde par la fenêtre et fais un signe à Nour qui est en bas.-Homme : C’est bon viens.-Moi : Mais on saute pas ?-Homme : PTDR t’es
21Après avoir pris une bonne douche, je suis partie voir ma mère et ma petite sœur dans leur chambre, je toc à la porte et entre.-Ma mère : Ah benthi tu t’es bien reposé ?-Moi : Euuh oui oui très bien et toi ?-Ma mère : Ohh Lydia saute de partout depuis tout à l’heure j’en peu plus.-Moi : Mdrr donne la moi et repose toi.-Ma mère : C’est vrai ?-Moi : Mais oui ooh aller viens Lydia.Je la prend dans mes bras, embrasse ma mère et la ramène dans ma chambre.Yanis était toujours dans la douche, je décide d’emmener ma petite sœur à la piscine de l’hôtel pour le moment, il est 16h30.Yanis sort de la douche.
25 La voiture se stoppe au parking et nous descendons tout les 2 dans un profond silence, comment vous dire que câĂ©tait vraiment gĂȘnant comme situation ⊠De mon cĂŽtĂ©, câest une Ă©vidence que je suis heureuse de le retrouver mais du sien je sais pas, je sens quâil y a quelque chose qui le dĂ©range mais quoi je ne sais pas. On prend lâascenseur et on monte direction sa chambre, une fois arrivĂ© il ouvre sa porte et me fais entrer. -Yanis : Bon Ă©coute je sais pas trop par ou commencer mais je vais ĂȘtre direct avec toi. -Moi : Oui je tâĂ©coute.. -Yanis : Ok, cette semaine loin de toi mâa permis de rĂ©flĂ©chir sur tout un tas de trucs mais surtout sur nous 2, et jâen suis venu Ă conclure que sans toi il est clair que je ne vais pas bien. A lâentent