Je suis sorti avec mon téléphone en main, parce que j'essaie toujours de joindre Brenda. Monsieur Gabin est entré avec le sourire aux lèvres et je me suis rapidement dit que l'affaire pour laquelle il était sorti a certainement donné des bons fruits. Il a pris place dans la grande salle et j'avais décidé de m'excuser concernant le fait qu'il m'adressait la parole lorsqu'il voulait sortir et je l'avais pas répondu parce que j'avais la tête dans les nuages.
J'avais pris la parole et je commence par m'excuser quand il m'a stoppé en me demandant de m'asseoir. Ce que j'ai fait sans plus tarder et il a commencé par me parler de la réunion qu'il a faite avec le propriétaire du grand hôtel dans lequel nous allons travailler. Moi qui me disait que c'était un restaurant, c'était bel et bien un restaurant mais à l'intérieur d'un grand hôtel. 
LE LENDEMAIN… *** BRENDA *** Je me suis déjà réveillée, mais allongée dans mon lit en train de penser à tout, oui à tout, je pense à ma vie, à mon avenir, la réalisation de mes rêves et surtout à mon amour, l'homme de ma vie. J'ai passé une merveilleuse nuit et on dirait même que pas que j'ai une telle discussion avec mon père. Parce que j'ai l'impression que tous ces mots qui étaient sortis de la bouche de mon père concernant mon Rick et qui m'ont mis hors de moi sont tous envolés dans l'oubli. Tout simplement parce que je me suis couché, en ayant les mots de Rick qui résonnent et raisonnent dans mes oreilles. J'ai déjà pris mon téléphone pour lui envoyer un petit bonjour, mais comme j'ai vu qu'il ne s'est pas
*** BRENDA ***J'ai déjà fini de m'apprêter et comme déjà la famille était déjà en train de prendre leur petit déjeuner, je suis descendu les rejoindre à table. Une fois dans les escaliers j'entends mon père demander à ma mère où je suis et sans même donner la chance à ma mère de lui répondre j'ai pris la parole depuis les escaliers « Bonjour papa, comment vas-tu ce matin ? » Il s'était tourné pour me voir et plongea à nouveau sa tête dans sa tasse de thé sans même me répondre.Je n'ai rien dit et je me suis approché de lui pour lui faire un baiser sur sa joue comme d'habitude. Ce qu'il n'a pas refusé et après avoir jeté un coup d'œil vers ma mère, qui m'a aussi fait un signe avec ses yeux. Je me suis mis à genoux à côt&eac
*** RICK ***Brenda descend de la voiture, de loin, elle a commencé par sourire. Elle s’approche de nous et après avoir salué monsieur Gabin elle me demande si nous pouvons prendre la route et sans plus tarder je suis monté prendre mon téléphone parce que je l’ai laissé en charge.Branda est tellement belle, dans sa belle mini robe, je me demande si c’est vraiment moi l’homme de son cœur. On dirait que je rêvais, mais c’était bien la réalité. Elle est tout simplement celle dont j'ai besoin, la femme qui donne a ma vie toutes les couleurs de l’amour, celle avec qui la vie rose,malgré toutes les souffrances et douleurs que cette dernière regorge.*** BRENDA ***Mon homme est parti prendre son portable et j’ai profité de son absence pour charger la commission de mon père à monsi
Nous sommes entrés dans la cuisine et après m'avoir donné un baiser sur la joue, Brenda voulait se décoller de moi pour se mettre à cuisiner. Ce que je l'avais pas laissé faire immédiatement, parce que en voulant se décoller de moi, je l'avais serré fort contre moi. J'ai mes yeux fixés sur ses belles lèvres qui seront certainement douces et délicieuses avec un goût mielleux. Ce que je me disais à l'intérieur de moi et tout doucement j'avais commencé par sentir le cœur de Brenda qui battait très fort sans oublier le mien aussi qui était si excité que j'emprisonne les lèvres de la princesse qui se tient devant moi. Cette princesse qui lui donne une raison de se battre chaque jour que Dieu fait.Brenda me fixait droit dans les yeux et sûrement qu'elle se demande ce qui est dans ma tête ou ce que je suis sur le point de
Abiba qui n'arrêtait de me chanter qu'elle est déjà à un autre homme ne voulait même plus se décoller de moi. Parce que j'ai totalement pris possession d'elle et elle n'arrivait même plus à supporter le plaisir que je lui procure en suçant ses beaux seins. On dirait que le point faible de cette dernière se trouve à ce niveau, elle garde ma tête et me serre très fort contre lui pour que je ne puisse arrêter de téter ses seins comme le font les bébés.Tout doucement j'ai glissé ma main dans la mini-jupe qu'elle portait pour pouvoir toucher du doigt ce qu'elle cache entre ses jambes qui m'excitent tant. Je réalise que sa chatte a augmenté de volume et sûr que cette dernière désire que je plonge mon bâton magique en elle. Mais non, ce n'est pas moi ça parce que je prends le temps de bien assaisonner ma proie
*** BRENDA ***Nous sommes à quelques mètres de la maison et avec mes mises en scènes, mon père avait décidé de me conduire à l'hôpital ce que j'ai refusé. Parce que je n'ai rien du tout pour être conduite à l'hôpital. Il voulait insister, mais comme je lui ai rassuré que j'ai rien de grave, il était dans l'obligation de laisser cette affaire d'hôpital.Nous sommes enfin arrivés à la maison et après être descendu de la voiture, nous avons fait notre entrée à l'intérieur. On dirait que ma mère nous regardait par les fenêtres parce qu'une fois dans le salon, cette dernière était venue nous voir et m'avait demandé où j'avais mis ma voiture. Oh que oui, j'ai
*** RICK ***Nous sommes déjà en train de faire sortir les affaires et les faisons entrer à l'intérieur. C'était un très grand hôtel que monsieur NGO a installé dans la ville. Je travaille et toutes mes pensées s'envolent vers ma princesse, celle pour qui mon cœur n'arrête de se battre. Chaque moment si j'entends le portable de quelqu'un sonné, je mets ma main dans la poche pour voir si c'est ma princesse qui m'a envoyé un message ou quelque chose du genre. Mais je me trompais, je sais que une fois qu'elle prendra son vol, qu'elle ne pourra plus être joignable jusqu'à ce qu'elle descend au Cameroun et je priais pour qu'elle m'appelle au moins pour me dire qu'elle est déjà à l'aéroport, juste cette phrase me suffira. Parce que je n'arrive pas à donner le meilleur de m
*** PASCAL ***Je suis dans ma chambre et j'attends Abiba à qui j'ai demandé de m'amener du jus d'orange. Mes parents ne sont pas à la maison, donc je vais encore profiter pour baiser cette délicieuse femme de ménage. Abiba est tout simplement une bombe et ce n'est pas que c'est maintenant que je viens à peine de le remarquer, elle serait depuis devenue ma machine sexuelle. Parce qu'elle est vraiment canon, sans oublier qu'elle dispose une forme et des belles composantes.« J'arrive pas à croire que cette dernière a un mec, c'est vrai qu'elle n'est plus vierge avant que je l'ai sautée la fois dernière. Mais on dirait que ce mec en question lui a juste pris sa virginité. Car le trou est encore bien serré et c'est vraiment génial quand je la p&eacu