LOGINPoint de vue d'Aria
Je plissai les yeux, l'esprit en ébullition. « Que veux-tu dire par "ma propriété" ? » demandai-je, essayant de garder mon calme.
Darius sourit, les yeux rivés sur les miens. « Je parle de toi, Aria. Tu es à moi. »
Je ris, feignant l'incrédulité. « Je ne suis pas à toi. Je ne suis à personne. »
Darius fit un pas de plus, sa voix grave et rauque. « Oh, mais si. Tu es à moi, Aria. Dès l'instant où je t'ai rencontrée, je l'ai su. »
« Petite tornade, tu croyais vraiment pouvoir m'échapper après une nuit pareille ? » lança-t-il avec un rire sans joie, la voix grave et rauque.
Je secouai la tête, essayant de me ressaisir. « C'est ridicule. On se connaît à peine. »
Darius ricana. « J'en sais assez, on a couché ensemble et je te veux. »
Un frisson me parcourut l'échine lorsqu'il fit un pas de plus vers moi. « Et que me voulez-vous exactement ? » demandai-je, essayant de paraître courageuse.
Le regard de Darius se fixe sur le mien, brûlant d'intensité.
« Je veux tout. Je veux ton corps, ton esprit, ton cœur. Je te veux toute entière, Aria. »
J'avalai ma salive avec difficulté, le cœur battant la chamade. Personne ne m'avait jamais regardée ainsi, comme si j'étais la seule personne au monde. C'était à la fois exaltant et terrifiant.
« Je ne sais pas quoi dire », murmurai-je, me sentais noyée dans son regard.
Darius sourit, ses lèvres esquissant un sourire. « Tu n'as rien à dire. Sache juste que je ne vais nulle part, Aria. Je vais faire de toi la mienne. Je ne suis pas là pour jouer, tu as choisi le mauvais partenaire. » Sa voix rauque murmura à mon oreille.
Les paroles de Darius me laissèrent sans voix. Il était connu pour son côté coureur de jupons, ne restant jamais longtemps avec la même femme.
Et pourtant, le voilà, me disant qu'il me voulait toute entière.
Je ne pouvais m'empêcher de me demander ce qui avait changé.
Mais en plongeant mon regard dans le sien, j'y ai vu quelque chose qui m'a interpellée. Une étincelle de sincérité, une lueur d'intérêt véritable.
Je ne pouvais le nier, j'étais attirée par lui aussi. Il était beau, charmant et savait parfaitement comment s'y prendre avec une femme au lit.
« Darius, je ne comprends pas », ai-je répondu, essayant de rassembler mes idées. « Tu n'es pas vraiment connu pour ta fidélité. Qu'est-ce qui a changé ? »
Darius sourit, les coins de ses yeux se plissant légèrement. « Peut-être que j'attendais simplement la bonne personne », dit-il d'une voix basse.
Je haussai un sourcil. « Et tu penses que je suis cette femme ? »
Darius hocha la tête, son regard toujours fixé sur le mien. « Je le sais, Aria. Je le sentais au plus profond de moi. »
Un frisson me parcourut l'échine. Hier, je voulais juste l'utiliser comme appât et flirter avec lui, mais les choses se compliquaient.
Darius rentre chez moi. Il referma la porte derrière lui et une vague d'intimité m'envahit. Nous étions enfin seuls.
« J'attendais avec impatience le jour où je pourrais te baiser à nouveau. »
Je lui souris, le cœur battant d'impatience. « Moi aussi », répondis-je d'une voix à peine audible.
Il s'approcha de moi, ses mouvements lents et délibérés. Je sentais la chaleur qui émanait de son corps et je savais que j'étais perdue.
Arrivé à ma hauteur, il m'enlaça et me serre contre lui. Je sentis ses lèvres sur les miennes et je sus que j'étais perdue.
Le baiser était intense, passionné. Je sentais le désir qui émanait de nous deux, et je savais que nous étions sur la même longueur d'onde.
Alors que nous nous séparions pour reprendre notre souffle, Darius sourit. « Je te veux, Aria », dit-il, la voix chargée de désir.
Je lui rendis son sourire, une vague d'excitation m'envahit. « Moi aussi, je te veux », répondis-je d'une voix à peine audible.
Au bout d'un moment, Darius est reparti.
J'étais encore sous le choc de ma rencontre avec Darius quand mon téléphone a sonné, brisant le silence.
J'ai hésité un instant avant de répondre, le cœur battant encore la chamade après notre étreinte passionnée.
« Allô ? » ai-je dit, essayant de paraître calme.
« Aria, c'est papa », a répondu la voix de mon père, chaleureuse et familière.
« Salut papa. Qu'est-ce qu'il y a ? » ai-je demandé, essayant de me concentrer.
« Ton oncle est là », a-t-il dit d'un ton grave. « Il veut te voir. »
J'ai froncé les sourcils, la confusion se lisait sur mon visage. « Mon oncle ? Mais je ne l'ai jamais rencontré, de quel oncle s'agit-il ? »
« Je sais. C'est ton parrain et mon frère, mais il est parti depuis… longtemps. Il ne t'a vu que le jour de ta naissance, il ne connaît même pas ton nom. »
J'ai hésité, ne sachant pas quoi dire. « D'accord, je suppose. Quand souhaite-t-il nous rencontrer ? »
« Et si on se voyait demain à 17 h à la maison ? On dînait ensemble. »
J’ai acquiescé, même s’il ne pouvait pas me voir. « D’accord, je serai là. »
En raccrochant, je n’ai pas pu m’empêcher de penser à mon oncle.
Il s’était éloigné de nous depuis mon enfance, mais il m’avait offert mon premier jouet le jour de ma naissance et, depuis, il avait toujours gardé ses distances avec ma famille.
Le lendemain, je me suis tenue devant le miroir, lissant ma robe pour ce qui me semblait être la centième fois.
J’étais nerveuse, et je ne comprenais pas pourquoi. Après tout, ce n’était qu’une rencontre avec mon oncle distant.
J’ai pris une grande inspiration, attrapé mon sac à main et suis sortie pour rentrer chez mes parents.
En arrivant, j’ai vu la voiture de mon père garée devant la maison. J’ai pris une grande inspiration, suis sortie de la voiture et me suis dirigée vers la porte d’entrée.
J’ai aperçu Lisa, ma demi-sœur, mais je l’ai ignorée.
Je suis entrée dans le salon et j'y ai trouvé Darius assis. Surprise, je me suis approchée de lui. « Tu es fou ? » ai-je lancé. « Pourquoi me suivre jusqu'ici ? » ai-je demandé.
Il a été choqué par mon emportement.
« Eh bien, je suis venu voir ton père, pas toi. Je suis un homme d'affaires, tu te souviens ? » a-t-il répondu.
J'étais soulagée. Peut-être était-il un associé de mon père.
« Et toi, que fais-tu ici ? »
« Eh bien, je suis venue voir mon père. J'ai un invité », ai-je répondu.
« Quoi ? C'est la maison de ton père ? »
Au moment où j'allais répondre, mon père est entré dans le couloir. « Aria, tu as déjà rencontré ton oncle, Darius. »
« Quoi ? Mon oncle ? » J'étais complètement abasourdie par cette révélation.
Point de vue d'AriaJe plissai les yeux, l'esprit en ébullition. « Que veux-tu dire par "ma propriété" ? » demandai-je, essayant de garder mon calme.Darius sourit, les yeux rivés sur les miens. « Je parle de toi, Aria. Tu es à moi. »Je ris, feignant l'incrédulité. « Je ne suis pas à toi. Je ne suis à personne. »Darius fit un pas de plus, sa voix grave et rauque. « Oh, mais si. Tu es à moi, Aria. Dès l'instant où je t'ai rencontrée, je l'ai su. »« Petite tornade, tu croyais vraiment pouvoir m'échapper après une nuit pareille ? » lança-t-il avec un rire sans joie, la voix grave et rauque.Je secouai la tête, essayant de me ressaisir. « C'est ridicule. On se connaît à peine. »Darius ricana. « J'en sais assez, on a couché ensemble et je te veux. »Un frisson me parcourut l'échine lorsqu'il fit un pas de plus vers moi. « Et que me voulez-vous exactement ? » demandai-je, essayant de paraître courageuse.Le regard de Darius se fixe sur le mien, brûlant d'intensité.« Je veux tout. Je ve
Point de vue d'Aria« Je dois y aller », dis-je en essayant de paraître calme, mais mon cœur battait encore la chamade après le baiser.Darius hocha la tête, les yeux rivés sur les miens. « Bien sûr », dit-il en me tendant le bras.Je le pris, tentant de faire comme si de rien n'était, mais ma main tremblait légèrement. Nous sortîmes de la salle de banquet, suivis par les chuchotements et les exclamations.Une fois dehors, Darius me conduisit à sa voiture, une élégante limousine noire. Il m'ouvrit la portière et je m'y glissai, essayant de me ressaisir.Alors qu'il s'installait à côté de moi, je me tournai vers lui. « Je suis désolée », dis-je d'une voix à peine audible. « Je t'ai utilisé tout à l'heure. Ce n'était pas mon intention. »Darius sourit, les coins de ses yeux se plissant légèrement. « Je ne m'en plains pas », dit-il d'une voix grave et rauque. « Mais dis-moi, comment t'appelles-tu ? »« Aria », répondis-je, le cœur battant encore la chamade.« Aria », répéta-t-il d'une vo
Point de vue d'AriaAlors que Lisa cherchait ses mots, Lucas surgit de nulle part, un sourire charmeur aux lèvres.« Hé, hé, pas de dispute », dit-il en posant une main sur l'épaule de Lisa. « Aria, allez, on ne pourrait pas en parler en privé ? »Je ris d'un rire froid et sec. « En privé ? Je lui ai dit d'arrêter, mais elle n'a pas obéi, alors non ! Je ne pense pas qu'on devrait en parler en privé ! » Je désignais Lisa du doigt pour appuyer mes propos.Le sourire de Lucas s'efface et il tente d'intervenir. « Aria, s'il te plaît, parlons-en… »Mais je le couperai, la voix s'élevant. « Non, Lucas, je ne te laisserai pas me faire taire, et je ne couvrirai pas ton infidélité. » Je ne pouvais plus contenir ma colère.Le silence se fit dans la pièce, tous les regards braqués sur nous. Le visage de Lisa se décomposa et les yeux de Lucas parcourent la pièce, cherchant une issue.« Aria, il faut que tu arrêtes ! » répondit Lucas, sans pour autant nier mes propos. La culpabilité se lisait sur
Point de vue d'Aria« Salut ma belle ! Comment ça va ? » me lança Avion, ma meilleure amie, dès que je décrochai.J'ai pris une grande inspiration. « Ça va. »« Tu as l'air triste. J'ai un bouquet pour t'inviter ce soir. On pourrait faire la fête ensemble ? » me proposa Avion.« Je ne suis pas d'humeur, je ne pense pas pouvoir venir ce soir. »« Tu n'es pas d'humeur ? » répéta Avion, d'un ton sceptique.« Qu'est-ce qui s'est passé ? » demanda-t-elle.« Mon mari m'a trompée avec ma sœur. Je les ai surpris en plein acte. » répondis-je.« C'est terrible. C'est une bonne raison pour venir à la fête ce soir. Tu as besoin de te changer les idées au lieu de rester chez toi à broyer du noir. »« Viens absolument à la fête ce soir. J'enverrai ma maquilleuse te faire une beauté. » répondit Avion, plus déterminée que jamais à me faire sortir de chez moi.J'ai soupiré.« Tu es toujours obsédée par ton mari infidèle ? » a-t-elle demandé.J'ai ricané. « Bien sûr que non. Il ne m'intéresse plus. »«
LE POINT DE VUE D'ARIAJ'ai posé mes sacs et me suis dirigée vers la chambre, m'attendant à trouver mon mari en train de travailler à domicile. Mais ce que j'ai vu m'a fait bondir le cœur.Lucas était au lit, mais il n'était pas seul. Lisa, ma demi-sœur, était avec lui.Ils étaient tous les deux nus et profitaient pleinement de leurs ébats sexuels pour remarquer ma présence. Tout sentait le sexe, comme s'ils étaient en train de le faire depuis un moment. « Urgh. Plus fort, baise-moi ! » gémissait Lisa, la chatte dégoulinante et la bite de mon mari enfoncée dedans.Ils étaient penchés en levrette, je pouvais entendre Lisa faire des bruits de vagin et leurs bas-ventres s'entrechoquer.Mon cœur s'est serré, comment Lucas pouvait-il me faire ça le jour de notre deuxième anniversaire ? J'avais précipitamment écourté mon voyage pour rentrer à la maison et lui faire la surprise.Je décidai de ne pas les déranger, alors je sortis mon téléphone et commençai à filmer. J'aurais besoin de preuve







