J'avais grandi à l'étranger, et ma mère, craignant que je me marie avec un étranger, avait directement choisi à Paris un fiancé à la fois beau et brillant pour moi, me demandant de revenir pour les fiançailles. Je suis allée dans une boutique de luxe pour choisir ma robe de fiançailles, et j'avais choisi une longue robe bustier couleur crème que j'étais sur le point d'essayer. La femme à côté de moi a jeté un coup d'œil à la robe que je tenais et a dit à la vendeuse : « Cette robe a un style assez original, fais-la venir pour que je l'essaie. » La vendeuse a immédiatement pris la robe de mes mains avec brutalité. J'ai protesté avec indignation : « Tout se fait selon l'ordre d'arrivée, j'ai choisi cette robe en premier, comment vous pouvez faire comme ça ? » Mais elle m'a regardée avec mépris et a dit : « Cette robe vaut cent mille euros, une pauvre comme toi peut se la permettre ? » « Je suis la sœur de cœur d'Alex Thomas, PDG du Groupe Thomas. À Paris, la famille des Thomas fait la loi ! » Quelle coïncidence, Alex n'était-il pas justement mon fiancé ? Je l'ai immédiatement appelé : « Ta sœur de cœur m'a volé ma robe de fiançailles, que proposes-tu de faire ? »
View MoreSes coups de tête résonnaient sur le sol, et rapidement, une trace de sang est apparue.Alex, voyant cela, a finalement incliné la tête hautaine vers moi.« Mlle Léa, c'est moi qui suis aveugle et t'ai blessée. Je ne le ferai plus jamais, je ne profiterai plus de mon statut. Pardonne-moi cette fois… »Après avoir savouré mon café, j'ai posé la tasse sur le côté et je me suis tournée vers tout le monde en disant calmement : « D'après ce que vous avez dit, j'étais comme un démon meurtrier. Nous vivons dans un État de droit, comment pourrais-je faire de telles choses illégales ? »Benoît a demandé prudemment : « Mlle Léa, cela veut-il dire que vous pardonnez à ce misérable ? »Un sourire est apparu sur mes lèvres, « Bien sûr. Même s'ils m'ont blessée, j'ai déjà vengé ce qui devait l'être. À quoi bon la vengeance sans fin ? Laissons cette affaire derrière nous. »Ils se sont alors mis à me frapper le sol de leur tête frénétiquement pour me remercier pour mon pardon.J'ai clarifié ma
Alex a pointé son doigt vers moi et a dit : « C'est elle ! Elle m'a enfermé dans une cellule, je ne peux pas dormir et elle me donne de la nourriture avariée. »Un sourire s'est dessiné sur mes lèvres et je lui ai dit : « Même si c'est de la nourriture avariée, tu la manges avec appétit tous les jours, n'est-ce pas ? »Le potentiel humain était vraiment illimité : chaque jour, j'ai seulement fait livrer un repas froid et avarié.Au début, Alex avait encore crié : « Je suis le président du Groupe Thomas, même si je meurs de faim, je ne mangerai jamais ça ! »Mais après trois jours de famine, face à la survie, tout devenait insignifiant, et même la nourriture avariée, ils la dévoraient jusqu'à la dernière bouchée.Alex m'a regardée avec un visage déformé par la colère et a dit : « Espèce de vipère, maintenant que mon père vient me sauver, ta fin est proche… »Parfois, je me disais que le destin est juste : quand il te donnait quelque chose, il te prenait forcément autre chose. Il é
J'ai donné un coup de pied à Alex dans le dos, le faisant tomber à terre.« Maman, il ne vaut pas la peine de se fâcher pour ces deux déchets. Laisse-les à moi, je saurai comment les punir. »Après avoir parlé, j'ai ordonné aux gardes de les emmener.Puis je me suis approchée de ma mère, d'une voix mignonne : « Maman, mon visage me fait tellement mal… tu veux m'accompagner à l'hôpital pour soigner ma blessure ? »Ces mots ont finalement ramené ma mère à la raison, elle a posé sa main sur ma joue blessée et m'a accompagnée à l'hôpital pour les soins.Les meilleurs dermatologues et chirurgiens esthétiques de la ville se sont rassemblés dans la salle de consultation, ont désinfecté ma plaie et discuté d'un plan de traitement pour que ma cicatrice disparaisse complètement.Une fois le traitement décidé, tout le monde est parti, ne laissant dans la chambre que ma mère et moi.Je me suis penchée sur l'épaule de ma mère et lui ai murmuré : « Maman, ne fais pas attention aux paroles de
Je n'ai jamais été du genre à rendre le bien pour le mal, et aujourd'hui, Julie m'avait provoquée suffisamment pour que je ne lui laisse pas passer ça.Mon regard s'est durci sur elle et j'ai d'abord levé la main pour lui donner plusieurs gifles consécutives, laissant éclater ma colère.Puis, j'ai ramassé le coupe-ongles qu'elle avait utilisé pour détruire mon visage et je l'ai rapproché lentement du sien.Julie a tremblé de tout son corps, « Si… si tu oses me défigurer, je me bats jusqu'au bout… »J'ai tranché d'un geste sec sur son visage.Julie a poussé un cri atroce, une entaille sanglante est apparue sur sa joue.J'ai frappé encore une fois, et de nouveau, jusqu'à ce que son visage ne ressemble plus du tout à ce qu'il était auparavant.Elle était entièrement maîtrisée par les gardes du corps et ne pouvait rien faire d'autre que hurler, désespérée et impuissante.« Ah… mon visage… mon visage est défiguré… »Après tout, c'était dans la douleur que l'on comprenait la souffra
Au moment où j'ai vu ma mère, une vague d'émotion m'a submergée et, la gorge nouée, j'ai appelé : « Maman ».Elle s'est immédiatement précipitée, le cœur serré, pour me serrer dans ses bras. En m'appuyant contre elle, j'ai enfin senti que j'étais en sécurité.Les spectateurs autour, voyant la voiture de ma mère, ont tous poussé des exclamations.« Regardez ! Cette limousine Lincoln est en édition limitée mondiale ! »« Ceux qui possèdent ce type de voiture sont toujours des personnes de grande fortune ou de haut rang. Il semble bien que cette fois, Julie ait provoqué quelqu'un de vraiment puissant. »« Quel grand personnage ? Même si elle avait un statut impressionnant, comment pourrait-elle rivaliser avec la famille des Thomas ? »Julie, croyant la même chose, a osé se précipiter devant ma mère pour crier.« Tu es cette vieille maîtresse ? Ta fille a osé voler la robe que je voulais et m'a frappée. Alors, comment comptes-tu régler ça ? »Ma mère a levé les yeux vers elle et a
Ma mère m'avait dit que le père d'Alex avait beaucoup fait pour conclure cette alliance avec ma famille. S'il savait que c'était son propre fils qui avait saboté ce mariage, il ne lui pardonnerait pas.À cette pensée, je me suis sentie soulagée et je n'avais plus envie de m'attarder avec ces imbéciles. Je me suis tournée pour partir.Mais Julie ne voulait pas lâcher prise. Se sentant protégée, elle a de nouveau tendu la main pour bloquer mon passage.« Sale garce, tu ne t'en iras pas ! Tu as volé ma robe et m'as frappée, je n'ai pas fini de te régler le compte ! »Je l'ai regardée avec mépris, « Et comment comptes-tu me régler le compte ? »Julie croyait que j'avais peur. Elle a levé la main pour me gifler.« Je vais te frapper jusqu'à ce que je sois satisfaite. »J'ai saisi son poignet d'une main et, de l'autre, je lui ai donné une gifle nette.Elle m'a regardée, étonnée, et a hurlé : « Sale garce ! Comment oses-tu… »Je lui ai donné une seconde gifle et ai demandé d'une voix
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