Il était aussi heureux qu'excité d'avoir eu le feu vert. Il aimait vraiment Louisa et espérait quelque chose de plus. Il en avait assez de coucher de gauche à droite, pour l'amour de Dieu, il avait vingt-huit ans. Avec un peu de chance, avec Louisa, il serait obligé de le garder dans son pantalon et de ne pas se désintéresser en aussi peu de temps que d'écraser une mouche.Dylan n'a été impliqué qu'une seule fois dans quelque chose de proche du sérieux, mais c'est devenu aigre après quatre semaines. Pour lui, se contenter d'un seul visage était comme répéter un costume pendant deux jours. Tout simplement impossible.« Tu n'es qu'u éclat de l'ancien bloc, fiston. Il n'y a rien à changer. » Encore une fois, les mots de son père sont passés au crible.S'il n'y avait pas eu sa mère, il aurait jeté le fi

Elle avait entendu de sources que la veille était le dernier jour de travail de Mason et qu'une partie d'elle s'était effondrée parce que ce serait probablement la dernière fois qu'ils se rencontraient ou jusqu'à nouvel ordre lorsque le destin a décidé d'agir comme un client en armure brillante. Heureusement, elle a fait ses tours et détours pour qu'il reste un jour de plus, même si le voir bourdonner autour de Lydia l'a tuée à l'intérieur. À vrai dire, le conservatoire n'a eu aucun problème crucial. Elle pouvait y faire face de toute façon et avoir toujours un résultat splendide. Ne pas s'exhiber. Maintenant, Louisa atteignit son lieu de travail temporel, impatiente de terminer son travail pour se concentrer sur d'autres questions à portée de main et de voir les exercices de détente et de contraction des biceps de Mason alors qu'ils martelaient et tiraient une chose à l'autre. Un courant torrentiel effleura ses jambes à la simple pensée provoquant le même frisson de

"C'est Lydia," avoua-t-elle finalement, faisant tomber la bouche de Mason.Il prit un moment pour assimiler la transformation. Pas de cheveux multicolores, pas de style ghetto, et maintenant la présence soudaine de taches de rousseur qui occupaient une bonne partie de son visage."Tu voulais acheté quelque chose là-dedans," lui rappela Lydia.Le choc avait guéri le mal de tête tout d'un coup. Mason secoua la tête, "plus maintenant."Lydia gloussa, "J'allais chez Dylan," elle souleva légèrement le sac de médicaments, "Tu veux venir ?"Mason ouvrit la bouche pour parler mais elle ajouta : "Tu as promis que tu viendrais la prochaine fois. Aujourd'hui, c'est la 'prochaine fois'. En plus, tu as l'air présentable aujourd'hui donc pas d'excuses."Mason accepta et lui ouvrit la porte. D'une manière ou d'une autre, il avait toujours du mal à croire que la fille assise &ag

"C'est le meilleur repas que j'aie jamais eu", complimenta Dylan alors que Louisa l'accompagnait jusqu'à sa voiture. Le vent sifflait dans toute sa splendeur faisant frissonner un peu Louisa.« Vraiment ? Ma belle-sœur me la apprit.""Hmm. Quelle excellente cuisinière elle doit être.""Tu voulais me demander quelque chose plus tôt," rappela-t-elle. Tous deux s'arrêtant devant la voiture de Dylan. "Qu'est-ce que c'était?"Dylan a réfléchi puis s'est tourné vers elle et a dit: "Si Gianna m'aimerait.""Cette question est déjà répondue.""Ouais, c'est une enfant adorable." Il ouvrit la portière du conducteur, déposa un rapide baiser sur la joue de Louisa, lui souhaita une bonne nuit et fila.Aussi paranoïaque que soit Dylan, un accident était plausible, compte tenu de la limitation de vitesse qu'il avait dépass&eac

Les deux dames entrèrent dans le bungalow qui avait l'air vivant à l'extérieur, une chose qui était due au toucher de la main verte de Lydia, et mort à l'intérieur. On croirait presque que personne n'y habite.Le regard inquiet de Lydia, qu'elle avait porté pendant le voyage silencieux, fixa Louisa, un signe de tête rassurant suivit. "Maman, je suis à la maison", a-t-elle alerté puis s'est tournée vers Louisa, "mets-toi à l'aise." Lydia était toujours agitée par le fait que Louisa était sa demi-sœur. Elle n'aurait jamais su ou imaginé. A quel point ce monde était-il mystérieux ? "Bienvenue," Une femme délicate surgit hors de la cuisine. Louisa pouvait voir que le sourire de bienvenue de la Dame cachait une mélancolie trempée. "Je suis Joan." Elle se précipita pour embrasser Louisa sur la joue. "Je suis Louisa." "Je sais très bien qui tu es. Sentez-vous à l'aise, chérie." Joan se tourna vers sa fille : « Ton père n'a pas quitté sa chambre de