บททั้งหมดของ Laissez-moi partir, M. Huo !: บทที่ 71 - บทที่ 80

Gabriel a haussé un sourcil et a soudain demandé avec curiosité : « Vu votre cohabitation pour longtemps, tu n'as vraiment aucun amour pour elle ?»« Amour ? » a raillé Théo. « Peux-tu tomber amoureux de la servante qui fait la cuisine chez toi ? J’aurais pu tolérer sa présence, mais maintenant... Je ne l’oublierai jamais. »Gabriel a roulé les yeux, « Et pourquoi pas... tu lui joues aussi des tours pour l'enfermer et lui faire goûter à ta douleur ? »Le visage de Théo s’est raidi. Il a dit d’un air peu aimable : « Elle me lorgne déjà sans que je ne joue des tours. Si je le faisais, cette femme deviendrait tellement folle et elle enfoncerait probablement la porte. »« ... »Gabriel a imaginé cette scène et a frissonné.« Tais-toi et laisses-moi tranquille. » Théo avait soif, « Apporte-moi un verre d'eau. »——À 4 heures du matin, Théo a terminé sa perfusion qui a emporté sa fièvre avant de rentrer chez lui.Dès qu'il est entré, il a vu Bella dormir sur le canapé du salon comme un bébé

Après tout, une jeune fille de son âge pourrait agir sur un coup de tête en renonçant à la conception de sa villa. En plus il compatissait avec le malheur de Bella et voulait sincèrement lui donner un coup de main.« D’accord. » Bella l’a accepté. « Laissez-moi parler à M. Legrand en détail des dessins. »Vincent a hoché la tête. Non professionnel, il n’a pas compris ces dessins détaillés.Bella s'est d'abord tenue en face de lui mais, elle était dans un angle inversé.Vincent a montré sa droite. « Ici. »Avec son approbation, Bella a fait le tour du bureau à sa droite, s'est penchée, a tendu la main en désignant les dessins : « J’ai dessiné une rangée de bibliothèques ici ... »Ses doigts étaient longs et fins comme les pointes de pousses de bambou. Ses épaules étaient à distance de lui mais, un léger parfum se dégageait de sa chevelure.Il sentait souvent le parfum fort des femmes qui l'entouraient en affaires mais, il y avait peu de filles qui gardaient leur odeur naturelle comme Be

« Ça suffit ! Tu as dit à la voisine et je me suis renseignée chez le vétérinaire. Pilou était enceinte. Son vomissement n’était pas imputé à ce que je lui ai donné mais à la grossesse. »Bella est devenue de plus en plus furieuse à mesure qu'elle parlait : « Théo, c'est amusant de se jouer de moi comme d'une idiote ?»Le teint verdâtre, Théo s’est senti un peu gêné.« Bella écoute bien. C’est toi qui voulais vivre dans cette maison. Je n’ai que répondu à ton désir d'avoir l'opportunité de me lécher les bottes. »« Alors je devrais te remercier pour ta tromperie... » Bella a serré les dents.« Tu n'étais pas très heureuse d’habiter ici ? En plus, je t'ai sauvé deux fois par la suite. Sans moi tu serais où ? »Théo a froncé les sourcils : Quelle ingrate cette femme. C’était parce qu'elle était sans argent et sans abri qu'il l'avait accueillie.Mais quant à elle ?Comment a-t-elle osé lui jouer un tour ignoble ?Qui lui a donné le droit de l'accuser maintenant ?« ... »Théo l'a fait res

Il est rentré depuis une heure et Bella n'est toujours pas apparue. Elle a même laissé Pilou. Elle était sans foi ni loi.« Viens, Pilou. Je t'emmène acheter des fruits. »Théo a pris Pilou dans ses bras.Pilou ne voulait pas partir avec son gros ventre mais, son maître ne l'a du tout écouté.L'entrée du quartier était pleine de magasins. Dans une fruiterie, Théo a choisi les fruits en pensant : pourquoi Bella n'est-elle pas encore rentrée ?La dabesse à la porte a jeté un coup d'œil au beau jeune homme.Cet homme a fait le tour du magasin cinq ou six fois sans rien acheté. De plus, il regardait toujours dans sa direction. Voulait-il lui parler ? Elle s’est armée de courage pour s'approcher de lui quand l'homme a changé d'expression et a fait un grand pas vers la porte.Son regard l’a suivi pour découvrir une Rolls Royce garée sur le bord de la route et une jolie fille qui en sortait.Oh là là, un flagrant délit d’adultère.C'était tellement tragique d'être cocufié comme apollon....

Elle s’est finalement libérée.Quarante minutes plus tard, elle est apparue chez Alice.Alice l’a regardé, ébouriffée, en bâillant : « Un autre conflit ? Cette fois tu t'en vas pour combien de jours ? »« À vrai dire, je ne vais pas y retourner. » Bella est entrée en changeant de chaussures.« Comment, tu as sacrifié ton mariage, et maintenant ça se passera comme ça ?»Bella a pincé ses lèvres pâles et a dit avec un sourire amer : « Toutes les ventes ne peuvent pas être rentables. Alors j’ai perdu de l’argent. »La bouche d'Alice s'est ouverte de surprise : « Tu es sérieuse ?»« Ouais. » Bella s'est assise sur le canapé, d’un air maladif, « Je suis fatiguée, très fatiguée. »Alice a froncé les sourcils : « Tu as un rhume ? »« Oui. » Bella a presque pleuré, « Tout le monde peut le voir, sauf lui. La chaleur que je veux, il ne pouvait pas me donner. Même si c'est l’oncle de Lucas et je suis sa tante, je serais raillée par Léonie. Je ne veux pas me mettre dans l'embarras. »Après avoir p