Semua Bab Mes trois petits anges gardiens: Bab 501 - Bab 510

Elle a jeté un coup d’œil sur l’écran de son téléphone portable, d’hier à aujourd’hui, Albert n’avait jamais pris l’initiative de lui envoyer un message pour lui expliquer son absence.La femme s’est décidée dans son cœur : À partir de maintenant, elle ne croire jamais plus aux conneries de cet homme !Elle a sorti la carte de visite et a demandé à Isaure : « Aide-moi à contacter Vincent ! »À midi, Isabelle et Isaure sont arrivées chez Vincent. Après être entrée, la servante lui a versé du thé. Bientôt, elle a vu Vincent descendre de l’étage.Vincent, souriant, s’est dirigé directement vers le canapé et s’est assis. « Je savais que vous viendriez me voir. »Isabelle l’a regardé calmement. « M. Leroux, vous êtes venu au restaurant des Quatre Saisons hier avec vos amis de paparazzis ? »« Vous soupçonnez que ce soit moi qui ai diffusé l’information de notre rencontre ? »Les longues jambes de Vincent étaient repliées, il a continué à dire d’un ton indifférent : « C’est vraiment un male

De même, le vieux Brunerie était choqué. « Isabelle ? Vous ? Pourquoi vous êtes ici ? »La vieille Brunerie savait qu’elle était toujours en vie, car son cadavre n’avait pas été retrouvé à l’époque. Mais il ne s’attendait pas à ce qu’elle soit réellement au Seres.Isabelle a calmé légèrement ses émotions et s’est dirigée vers eux : « Où est Albert ? »Maléo était sur le point de dire quelque chose quand le vieux a pris les paroles en premier d’un ton assez sérieux : « Vous avez divorcé il y a trois ans, pourquoi viens-tu encore le chercher ? »« Si je ne venais pas, comment saurais-je qu’il a été infecté par le virus ? » Les mots d’Isabelle ont laissé Maléo stupéfait pendant un moment. Il a pensé dans son cœur : « Pourquoi Mlle Leroy le sait ? »Le vieux Brunerie a dit froidement en fronçant les sourcils : « Tu sais comment a-t-il été infecté par le virus ? Tout à cause de toi ! »L’accusation de ce vieil homme a rendu Isabelle sans voix pour le réfuter. Elle était regrettable.« Isabe

Vincent a levé les deux mains : « Si vous me donnez ce que je veux, je vais les appeler et ils vont retirer immédiatement. Assurez-vous, je ferai ce que je dis. »« Mais vous m’avez déjà trompée une fois. »Isabelle a ramassé son téléphone et l’a remis dans son sac, puis se levant lentement : « Je peux vous faire confiance une seconde fois ? »« Bien sûr ! Vous pouvez le faire ! » Vincent l’a regardée. « Ce que je veux est juste un veto. Tant que vous acceptez ma demande, je le laisserai partir cette fois-ci. »Isabelle a dit en souriant : « D’accord, je te le promets. »Quand Vincent a vu qu’elle a hoché la tête, il a sorti immédiatement son téléphone et a passé un appel : « Vous vous retirez. »Puis il lui a dit : « Êtes-vous satisfaite maintenant ? »Isabelle lui a jeté un regard en coin. « M. Leroux, je n’aime pas prendre des pertes. Vous m’avez utilisée cette fois-ci, je m’en souviens bien. »Elle a fini par lui adresser un faible sourire et est sortie du restaurant en toute hâte,

David a hoché la tête d’un air hébété : « Alors c’est ça, pas étonnant que vous portez un masque. »Henry avait déclaré au public qu’Alice était sa fille biologique, mais le visage d’Alice était une apparence orientale, sans aucun semblant d’un métis. Alors naturellement elle aurait souffert des questions sans le masque.Ensuite David a pensé à quelque chose et les a regardés : « Vous vous connaissez donc depuis longtemps ? »Isabelle a haussé les épaules.Albert a souri amèrement.Une demi-heure plus tard, David s’est assis sur le canapé et Maléo lui a versé une tasse de thé.　　Albert a tourné la tête pour lui demander : « David, vous avez des choses pressées ? »L’homme ne pouvait même pas prendre la peine de boire une gorgée du thé, sa situation n’était pas positive, mais il s’est efforcé de se calmer et a raconté : « C’est en effet très urgent, mon homme s’est renseigné sur le fait que le duc Richard a avancé l’élection du candidat ! Et les politiciens, à l’exception de mon père et

Albert a marqué une pause, puis a baissé les yeux et a souri de joie. « Tu te souviens encore ? »« Bien sûr que je ne l’ai pas encore oublié. Albert, je n’oublierai rien de ce que tu m’avais dit auparavant, tu me dois plus, comment pourrais-je te laisser mourir ? »Isabelle a retiré sa main et a sorti son téléphone pour envoyer un message à Isaure. Elle a dit sans paniquer : « La raison pour laquelle Vincent m’a approchée était juste pour faire croire aux gens que j’ai pris du même parti que lui. Et je pense que Richard a probablement pensé que je les soutenais, il a donc avancé l’élection. »Sur ses mots, elle a levé son téléphone : « Puisque le spectacle a déjà commencé, nous devons jouer notre rôle parfaitement ! »Albert a laissé un bisou à sa tête, il lui a demandé en souriant doucement : « Devrais-je coopérer avec toi alors ? »Dans un restaurant haut de gamme, l’environnement ici était confortable. Aujourd’hui, le restaurant entier avait été affrété. Les hommes vêtus de noir g