All Chapters of Mes trois petits anges gardiens: Chapter 521 - Chapter 530

On ne pouvait pas changer ce qui s’était déjà passé. C’était la famille Brunerie que Richard visait, au lieu de la famille Besson, cette dernière lui servait seulement comme un outil pour mener à bien son plan de détruire la famille Brunerie. « Quelle est ton histoire avec Albert ? Pourquoi tu le hais ? » a-t-elle demandé avec un rire moqueur sur son visage, « parce que tu t’es déjà habitué à être le chien de Richard ? »Vincent s’est avancé devant Isabelle et a dit en regardant son visage furieux : « Mademoiselle Leroy, crois-tu que quelqu’un viendra à ton aide si tu gagnes du temps en parlant avec moi ? »Isabelle n’a pas prononcé un mot.Il avait un rire froid sur son visage et a ricané : « Je ne voudrais pas te décevoir, mais personne ne viendra pour te sauver. J’ai pris toutes tes affaires pendant que tu étais inconsciente. Sans GPS, personne ne trouvera cet endroit. »Isabelle a secrètement relâché un peu ses mains attachées. Elle savait que Vincent était un homme hyper pruden

Isabelle le regardait et a dit d’un ton faible : « J’ai beaucoup réfléchi sur la raison pour laquelle la famille Leroux ferait tout pour Richard et des autres aristocrates, et j’ai finalement compris. Aux recoins de votre cœur, vous vous sentez inférieurs aux autres. Votre famille s’est développée avec la richesse des autres, et vos ancêtres ne portaient pas du tout le nom Leroux. En plus, ils n’étaient pas de grands hommes d’affaires, mais des personnes normales qui se sont installées ici en empruntant des façons clandestines. »Elle a enchaîné : « La famille Besson est une famille noble, mais pas la famille Leroux. Vous croyez que vous serez respecté si vous réussissez à développer le médicament contre le cancer et les autres maladies pour eux. Vous y croyez votre plus grande mission, n’est-ce pas ? »Vincent ne pouvait pas prononcer un seul mot, il a craché du sang.Elle a continué avec un sourire froid sur le visage : « Vincent, tu mérites les peines que tu endures maintenant. Tu a

Albert s’est arrêté et a dit sans se retourner : « La mort ne me fait pas peur, ce que je crains le plus est de mourir devant elle. »Il a ajouté en baissant la tête : « Dis à Déotille de la tenir compagnie demain. »Le lendemain, assise sur le lit, Isabelle lisait un journal.Après la mort de Vincent et la révélation de la vérité de l’épidémie du virus, les autres parties impliquées ont tous rejeté la faute sur la famille Leroux.Il semblait qu’ils avaient complètement oublié leurs coopérations avec la famille Leroux pour exploiter la technique développée de cette dernière. Maintenant que Vincent est mort, ils n’avaient plus à craindre un éventuel compromis.« Maman ! »En entendant la voix familière, Isabelle a regardé vers la porte d’un air surpris.Une fois qu’elle a vu la silhouette à la porte, ses yeux ont rougi.Déotille s’est jeté près de son lit, Isabelle l’a immédiatement serré contre elle.« Détoille, c’est vraiment toi ? Vous me manquez beaucoup ! »Les enfants avaient déjà

En phase terminale, soit la troisième année de l’infection, le système immunitaire du contagieux se dégradait, il commençait à tousser et cracher du sang jusqu’à ce que les poumons ne supportent plus, le contagieux risquait de mourir à tout moment.Ses mots ont fait Isabelle penser à quelque chose, elle s’est soudainement levée et a demandé : « Si quelqu’un a infecté le Larvévirus mais a commencé à avoir la fière et à cracher du sang sans passer par la période d’incubation, qu’est-ce qui explique cette situation ? »K s’est retourné pour la voir : « Dans ce cas-là, il a été contaminé par un variant de Larvéviruc. Les contagieux de ce variant souffraient des syndromes plus graves et n’ont normalement que trois ou quatre ans à vivre une fois infecté. »Trois ou quatre ans ?Le visage d’Isabelle a immédiatement pâli en entendant ses mots.Comment ça ? Seulement trois ou quatre ans de vie ? Ça faisait déjà trois ans qu’Albert était contaminé de ce variant de Larvévirus ! « Isabelle, qu’es

Isabelle a dit en restant immobile dans ses bras : « Je suis fatiguée. »Albert s’est tourné vers elle pour lui répliquer : « Tu es fatiguée ? »« Oui, ce sera à toi de jouer », a dit Isabelle en enlaçant paresseusement son cou.Albert l’a embrassée en la serrant contre lui, ils ont passé une autre nuit passionnante.Le lendemain.Isabelle s’est levée tôt pour préparer le petit-déjeuner. En entendant le bruit dehors, elle a levé la tête et a vu le vieux monsieur Brunerie et deux gardes du corps.En voyant Isabelle, le vieux monsieur Brunerie était choqué, puis il a crié en fronçant les sourcils : « Pourquoi tu es ici ? »Déotille et Maléo descendaient les escaliers à ce moment-là. L’expression de Maléo a légèrement changé, il s’est avancé devant le vieux monsieur Brunerie pour le saluer respectueusement : « Bonjour, monsieur Brunerie. »« Je t’ai déjà tout expliqué, pourquoi tu n’as pas pris mes mots au sérieux ? »Il était évident que le vieux monsieur Brunerie reprochait Maléo pour a