« Comme c'est délicieux ! Je n'ai plus faim, et je n'ai pas mangé des plats aussi délicieux que ceux d'aujourd'hui ! » Marie était bien à l'aise. Pendant ces cinq années, à cause de Vincent, Anastasia avait été exilée de la famille, son mari et elle avait senti aussi humiliés. Elle n'a pas pris un repas si somptueux depuis longtemps, alors, elle ne s'inquiétait pas s'il pouvait offrir à ce prix, car c'était lui qui payerait. « Oh là là ! Tous ces plats coûtent presque deux cent mille euros ! C'est le vin le plus cher dans le restaurant ! » Les autres, n'ayant pas encore quitté le restaurant, regardaient les plats sur la table avec envie. « Surtout ces vingt bouteilles de vin, ils ont seulement vidé deux bouteilles ! Comme ils sont riches ! » Un homme a crié. « Mais cet homme ne semble pas un monsieur qui peut gagner un million euros par jour. Il porte des vêtements très médiocres, a-t-il vraiment les moyens de payer tout cela ? Peut-être qu'il n'a pas les moyens pour offrir

« Je vais voir, je vais voir... » Denny regardait attentivement le menu, et puis, il avait l'air sombre, « J'ai vu que c'était vingt mille, pourquoi maintenant ça fait deux cent mille euros ? » « Vous vous êtes trompé, parce que ce vin coûte toujours deux cent mille euros. » Le directeur gros a dit en souriant, « Tout compte fait, vous devez payer l'addition. » Marie a tourné les yeux : « Ce n'est pas notre faute. C'est Vincent qui voulait nous inviter à dîner ici, pouvons-nous quitter de cet endroit ? C'est lui qui doit payer ! » À ces mots, elle s'est tournée vers Anastasia pour qu'elle quitte le restaurant, mais elle ne s'inquiétait pas du tout pour Vincent, car c'était sa faute. Effectivement, elle croyait qu'il ne pouvait pas offrir à ce prix, bien que ce repas coûte quarante mille euros, il n'aurait pas les moyens. « Désolé, mais vous ne pouvez pas sortir du restaurant. » Le directeur a levé la main, et une frange d'hommes les ont entourés. « Vincent, pourquoi

Devant la porte de la salle, Anastasia a hésité car elle pensait que quelqu'un avait arrangé tout cela dans la coulisse, auparavant, elle avait aussi regardé le menu et elle était sûre que le vin le plus cher coûtait vingt mille euros. Ce n'était pas du tout deux cent mille euros. En plus, si elle connaissait vraiment l'homme dans la chambre, ce serait plus bizarre. Un homme familier n'utilisait pas des intrigues comme cela. Toutefois, si elle refusait d'entrer, elle ne pourrait pas sortir, et ses parents ne pourraient pas non plus quitter le restaurent, Aurora serait en danger. Elle savait que Vincent avait été un soldat et qu'il était aussi ardent que fort, il pouvait vaincre deux ou trois hommes sans difficulté. Toutefois, il y avait une vingtaine d'hommes dans le restaurent, en occurrence, ils étaient tous des hommes robustes au lieu d'être les voyous ou les vagabonds dans la rue. Bien qu'audacieux, Vincent ne pourrait pas du tout triompher tant de gens. Si Vincent batt

Plongée dans la fragrance d'Anastasia, Austin était excité. Au contraire, Anastasia se sentait dégoûtée en sentant l'odeur alcoolique sur les vêtements d'Austin. Elle l'a repoussé avec colère : « Austin, ne fais pas cela ! » Austin n'a pas encore repris la conscience, pendant ces années, il l'aimait toujours, mais il n'avait pas même toucher les mains d'Anastasia. Toutefois, un second avant, il avait saisi la taille d'Anastasia, c'était comme un rêve et il ne voulait pas du tout sortir de cet hypnotique. « Je ne peux pas faire cela ? » Austin a éclaté de rire, « Oui, je te respecte en raison que tu sois l'élue de mon cœur. Paie l'addition maintenant, et je vous laisse sortir. Toutefois, si tu ne peux pas payer, ne te mets pas en colère contre moi, d'accord ? » « Je... » Anastasia a pâli avec colère, puis, elle se sentait impuissante, « Nous n'avons pas tant d'argent. » « Vous n'avez pas tant d'argent ? » Austin ricanait, « Alors, la vie de ton mari peut aussi payer l'ad

Cette jeune fille était énergique et vigoureuse. Elle portait une jupe, la chevelure noire couvrait les épaules. Lorsqu'elle pinçait doucement les lèvres, les fossettes des joues apparaissaient. De plus, elle avait les grands jolis yeux. C'était une fille à la fois ravissante et vigoureuse. « C'est Mademoiselle Gautier ? C'est vraiment une beauté, bien que jeune, elle est très belle. Dans quelques années, elle sera sans aucun doute une demoiselle charmante. » Un homme a murmuré avec l'autre homme. « Va-t'en ! Ne m'empêche plus, crétin. » Vincent a hurlé contre les gardes du restaurant sans apercevoir Mademoiselle Gautier. « Monsieur, qu'est-ce qui s'est passé ? » Mademoiselle Gautier le regardait avec curiosité, il était justement "Vincent" dont son père l'avait parlé. Elle ne pensait pas que Vincent soit un jeune homme compétent à première vue, mais son père avait envoyé les deux enfants, son frère aîné et elle, à le côtoyer et à le flatter. Elle devait faire cela, car