Lahat ng Kabanata ng Au revoir, ma vie antérieure misérable !: Kabanata 361 - Kabanata 370

C’était un excellent héritier de la famille Verne.À part de nombreuses personnes puissantes et influentes, qui voulaient avoir affaire à Chrétien, même des jeunes femmes voulaient boire le vin avec lui. Cependant, Yves a aidé Verne à les rejeter tous. Chrétien avait eu un accident de voiture à l’époque et avait perdu ses deux jambes, cet incident avait fait tour du monde, mais maintenant, il était capable de se lever, il semblait que ses jambes aient été soignées.Si Chrétien ne voulait pas boire le vin, personne n’oserait le forcer à le faire.Le banquet s’est terminé à neuf heures.À huit heures.Les lumières de la salle de banquet se sont soudainement éteintes, et toute la salle de banquet a été plongée dans l’obscurité.Ensuite, quelques faisceaux lumineux bleus ont irradié sur la scène, une femme portant une longue robe bleue en édition limitée, s’est assise devant un piano, la voix du piano a immédiatement réduit tout le monde au silence. La foule l’a silencieusement regardé

Profitant du relâchement de sa main, Julie l’a repoussé et s’apprêtait à prendre ses jambes à son cou, mais derrière elle, Roland l’a considérée comme une proie s’obstinant à s’échapper de lui et l’a immédiatement attrapée... Julie se sentait impuissante.Roland s’est pressé contre son corps et a dit : « Ça fait longtemps qu’on ne s’est pas vu, tu as pris beaucoup de poids. »Dans l’obscurité, Julie ne pouvait pas clairement voir le visage de Roland, mais elle pouvait imaginer son regard érotique.« Ça ne te regarde pas ! » a férocement répondu Julie. Il lui a pincé la taille et lui a embrassé le cou, faisant vaguement sentir à Julie un fort courant électrique dense emplissant tout son corps.En fait, Julie n’était pas du tout grosse, auparavant, elle était très mince comme un spaghetti, donnant une impression d’être très faible.« Tu es vraiment éloquente ! Tu penses avoir fait part de la famille Verne, je n’ose pas te toucher ? »Tout en parlant, Roland lui a fortement pincé la p

Christine voulait lire dans ses pensées, mais Roland cachait bien ses émotions qu’il était impossible de voir ce qui n’allait pas, elle ne pouvait que pousser un soupir. « Jalouse ? » a demandé Roland en prenant la tasse d’eau tendue, puis il l’a posée sur une table, a sorti un mouchoir de la poche de son costume pour s’essuyer la main, et l’a finalement jeté dans la poubelle.Souriante, Christine a répondu : « Oui. Après tout, tu es l’homme que j’aime, tu n’es pas avec moi, bien sûr que je suis jalouse. »Le regard froid, Roland lui a jeté un coup d’œil : « Du coup, tu travailles pour moi depuis tant d’années, ce que tu peux comprendre est tout cela ? » « Mais malheureusement, j’aime les femmes propres », a dit Roland.Ces mots ont transpercé le cœur de Christine, comme si les cicatrices de son cœur se sont de nouveau déchirées.Elle n’a pu s’empêcher de se dire : « Il a raison, je ne suis déjà pas propre, et je ne le mérite pas. »« Ne me regarde pas comme

Paniquée, elle avait tellement peur de perdre toutes ces choses importantes...Mais tout cela était dû à sa jalousie. Elle était jalouse de ceux qui ne faisaient rien et pouvaient obtenir ce qu’ils voulaient. Elle, en revanche, avait beau essayer, elle n’obtenait rien.Elle devait même subir les regards dégoûtants.Julie est partie sans la moindre hésitation, ne voulant que s’échapper de cet endroit dès que possible. Elle est précipitamment montée dans la voiture, et le chauffeur a mis ses affaires dans le coffre.« Mademoiselle Dubois, avez-vous récupéré tous vos effets ? » a demandé Pascal.« Oui, retournons ! »La chose la plus importante était la casette d’anglais, pas étonnant qu’elle ne l’ait pas trouvée ces derniers jours.Retour à la maison de la famille Verne.Julie a de nouveau vu la vieille femme. La vieille femme tenait une canne à la main, avec une paire de lunettes bronze sur les yeux et deux chaînes pendantes, alors qu’elle a entendu les mouvements, elle a dirigé

Si l’existence de Julie était le salut de Chrétien, alors le sourire de Béatrice était un remède pour Julie.Elle avait vu les notes de Béatrice, elle était la dernière de la classe B, et même dans la classe F, elle pourrait aussi être la dernière.Elle avait à l’origine pensé que Gabriel était le dernier.Le dernier examen final, Béatrice était tombée malade et ne s’était donc pas présentée à l’examen. Avec ses notes, elle aurait dû étudier dans la classe F, mais elle était allée dans la classe B, il devait y avoir une raison à cela, mais Julie ne lui a pas demandé. Après le déjeuner, Julie l’a emmenée à la bibliothèque.Auparavant, elle avait donné des cours particuliers à Gabriel, mais maintenant, elle le faisait les mardis, mercredis et jeudis. Avec les notes de Gabriel, il avait vraiment fait des progrès notables et pouvait maintenant s’inscrire à l’Université de Rouan. Il était déjà dans les dix premiers de la classe dans le dernier examen.Ces jours-ci, lorsque Gabriel se ren