Semua Bab Le Sang du Clair de Lune: Bab 281 - Bab 290

Et au centre de la foule se trouvait Paco. Il était à moitié nu maintenant, sur le dos, un homme serré contre sa poitrine, son sexe dans son cul, le baisant comme je le baisais autrefois, sa bouche sur le cou de l'homme — tandis que quelqu'un d'autre se penchait pour caresser le sexe de l'esclave de sang. Je pris doucement sa place, remplaçant sa main par la mienne, sentant l'esclave de sang se tordre de plaisir alors que Paco le maintenait. Je me penchai pour embrasser l'homme, le surprenant, avant de le faire gémir avec ma main, puis je reculai la tête.Paco se recula également, sa bouche bordée de sang, et ses crocs se rétractèrent — pour l'instant. Il me regarda avec des yeux mi-clos. — C'est toujours comme ça ?— Pas toujours. Mais parfois, murmurai-je en me penchant pour l'embrasser.Je pouvais goûter le sang de l'esclave de sang tandis que Paco m'embrassait passionnément — et commençait à baiser l'esclave de sang plus fort. Je caressai le sexe de l'esclave de sang en rythme, ob

LUNAÀ mon réveil, j'avais l'impression d'être enveloppée dans le poids mort des bras d'un amant endormi... mais en tendant la main pour soulever le couvercle de la boîte dans laquelle j'étais allongée, j'ai réalisé la vérité.J'étais dans le cercueil de Jack avec lui.Morte, oui.Amante, non.J'ai cligné des yeux. La pièce était sombre, et la dernière chose dont je me souvenais était de me battre dans l'une des arrière-salles du Vermillion avec une autre femme et la sensation d'une chaîne autour de mon cou. Je suis sortie de la boîte et j'ai cherché les bleus que je pensais avoir, si ce n'était pas à cause d'elle, alors sur le haut de ma poitrine, là où Paco, le petit ami nouvellement transformé de Jack, avait dû se nourrir — mais je n'ai rien senti.Je suis sortie rapidement du cercueil et je me suis regardée.Quelle heure était-il ?Quel jour étions-nous ?Étais-je toujours... moi-même ?Ou Jack avait-il enfin exaucé mon souhait d'être transformée en vampire ?J'ai trébuché dans le

— Parfois. Je l'observai attentivement. Elle était toujours troublée. J'observais la partie superficielle d'elle, lisant toutes les choses qui la rendaient encore humaine, alors que ma faim réagissait à sa façon nerveuse de respirer.Elle voulait qu'elle s'enfuie, et elle voulait que je la poursuive. Je la réprimai.— D'accord, eh bien, poursuivit-elle, je parie qu'il y a des tonnes de choses que je dois faire là-bas, pour me mettre à jour, surtout si ça fait un moment. Elle se reprit rapidement et poussa sa chaise. — Je suppose que personne n'a ramené ma voiture de Vermillion ?Je fis un signe du menton vers le comptoir de la cuisine, où ses clés reposaient à côté des miennes. — Maya a dit qu'elle faisait fuir la clientèle.Luna ricana, se secouant, semblant enfin revenir à elle-même. — Je vais juste passer au magasin alors. Voir ce que j'ai manqué et me mettre à jour sur le courrier et la paie. Elle se précipita à côté du canapé et ramassa son petit sac à dos là où elle l'avait lais

— Sam ? demandai-je, abandonnant toute prétention d'être suave.— Il faut vraiment qu'on arrête de se rencontrer comme ça, dit-elle, puis elle rit comme si elle avait raconté la blague la plus drôle du monde.Je fermai rapidement la porte et m'y adossai. — C'est quoi ce bordel ?Elle ne répondit pas, elle continuait juste à rire. Sam était l'une des Fidèles, un contingent d'utilisateurs de magie « pure » dont je n'avais appris l'existence que récemment, qui apparemment surveillaient les vampires comme moi.— Où est-ce que rencontrer un vampire dans un bordel se situe sur votre échelle de pureté ? Je fis des gestes entre nous comme si je comprimais un accordéon.— Comme je l'ai dit la dernière fois — pur ne veut pas dire prude. Elle tapota sa tempe. — C'est ce que tu penses qui compte. Et comme je savais qu'elle avait des pouvoirs télékinétiques, elle devait probablement contrôler ses pensées plus que la plupart des gens. Ça ne m'empêcha pas de froncer les sourcils, cependant. — Si je

J'ai laissé un sourire malicieux étirer les coins de mes lèvres.— La partie où je veux effectivement être seule. Avec toi. Ici, ai-je dit.J'ai regardé la réalisation éclairer lentement ses yeux, puis il est rapidement entré dans le bureau et a fermé la porte derrière lui.— Tu ne sors pas avec lui, hein ?— Jack ? ai-je demandé, la voix aiguë.J'ai fait glisser ma lèvre inférieure de manière tentante entre mes dents à moitié fermées avant de lui répondre.— Est-ce que ça t'importerait vraiment si c'était le cas ?Il a eu l'air momentanément peiné.— Oui, mais je regretterais aussi de te l'avoir demandé pour le reste de ma vie.J'ai ri, me levant avant de m'asseoir sur le bureau, rendant exprès la petite pièce encombrée.— Non. On est juste... ai-je commencé, mais la vérité c'est que je ne savais pas ce que Jack et moi étions. Je savais seulement que j'étais piégée avec lui aussi longtemps que mon Maître le voulait. Il m'aide juste à me remettre sur pied, c'est tout, ai-je dit.Je me