Semua Bab Le Sang du Clair de Lune: Bab 271 - Bab 280

Paco regarda Zach avec incrédulité face à mes actions, et Zach lui rendit un regard désemparé qui disait clairement « Elle est complètement folle ». Enfin quelque chose sur quoi ils étaient d'accord.— Allez, allez. Tu sais que tu en as besoin, dis-je à Paco en attrapant son t-shirt et en le remontant sur sa poitrine, et tu sais que tu en as envie, dis-je à Zach.Zach s'adossa au bar derrière lui. — Je suis désolé, je ne vois pas..., ditil, mais soudain quelque chose fit tilt. J'avais à moitié enlevé la chemise dePaco, exposant son abdomen et son torse magnifiquement musclés, ce qui attira le regard de Zach. Paco réalisa alors que Zach le regardait. Il me reprit sa chemise, tournant la tête et fixant le sol. Il respirait plus fort — je savais qu'il était tenté, probablement plus qu'il ne l'avait jamais été dans sa vie mortelle. Rosalie avait essayé de m'expliquer la faim plus d'une fois auparavant — parfois elle l'utilisait comme avertissement, d'autres fois comme excuse.Mais mainte

— Paco, murmurai-je en guise d'avertissement, tirant sur ses cheveux et ses oreilles. « Arrête. Tu me fais mal », dis-je, si doucement que lui seul pouvait entendre.Mais ce qui était humain en Paco m'était maintenant inaccessible.— Paco, dis-je, en rythme avec les coups et les grognements de Zach en dessous. « Paco ! » criai-je — puis je lui boxai les oreilles. Il sursauta — d'abord en colère — mais ensuite son humanité lui revint, ses crocs se rétractèrent, et il me regarda, stupéfait, me dévisageant, le sang coulant de l'endroit où il m'avait mordue, réalisant ce qu'il avait fait.— Oh mon Dieu, dit-il.— Je sais, haleta Zach, baisant toujours Paco entre mes jambes, sous moi. « Décharge en moi — s'il te plaît. J'en ai besoin. Je dois te faire jouir. »Paco me faisait face, haletant, les yeux écarquillés d'horreur, le goût de mon sang dans sa bouche.— Fais-le. Tu en as besoin. Fais-le, l'exhortai-je. Je recueillis le reste de mon sang dans une traînée et poussai mes doigts dans sa

Maya changea de position, regardant le sol un moment comme si elle était contrite. — N'avons-nous pas déjà fait assez d'affaires ? demanda-telle, sa voix l'incarnation même de l'innocence. Elle laissa tomber la fourrure de ses épaules, révélant la robe qu'elle portait en dessous — brodée de perles dorées formant un motif d'écailles de serpent, elle était de la même couleur que le soleil couchant, et épousait ses courbes des épaules aux chevilles comme une seconde peau. Elle fit un pas vers Arnulfo. — Pourquoi la prendre — quand tu pourrais me prendre, moi ?Ses yeux se plissèrent. — Nous sommes les Rojo. Nous prenons ce que nous désirons.Les lèvres de Maya s'étirèrent en un sourire mystérieux. — Et si je te désire ? Qu'est-ce que j'ai le droit de prendre ? Arnulfo n'avait visiblement pas prévu ce retournement de situation — et moi non plus. Je n'avais aucune idée du jeu auquel Maya jouait, et je me demandais si c'était sa façon de gagner du temps.Les doigts de Maya atteignirent les

CHAPITRE VINGT-TROISJACKL e bruit des armes était assourdissant et les Rojo étaient foutrement en colère.Mon couteau en argent était resté planté dans le dos d'Arnulfo, et trois des Rojo se précipitaient sur moi. J'ai esquivé le premier, donné un coup de poing dans le ventre du deuxième, et pour le troisième – je l'ai simplement attrapé par les couilles, le soulevant dans les airs avant de le jeter à travers la pièce, espérant qu'il croise la trajectoire d'une balle. Deux Rojo ont été abattus par une mitrailleuse fixe alors qu'ils couraient vers les sorties – confirmant que Maya utilisait des balles en argent – mais la portée de ces armes était limitée par les fentes à travers lesquelles elles devaient tirer – elles ne pouvaient vraiment contrôler que la porte principale. Les mitrailleuses fixes maintenaient des rafales régulières, et je me demandais combien de Rojo se trouvaient dehors, essayant d'entrer.Un Rojo s'est approché de moi avec un couteau. Je l'ai esquivé d'un pas de c

— C'est ça.— Prévoyez-vous de créer d'autres vampires ?Ma réponse fut interrompue par le retour de Maya. Elle avait Camila sur son épaule, comme je l'avais eue plus tôt, et l'a laissée tomber au sol — seulement cette fois, elle avait une coupure dentelée sur la poitrine et un œil au beurre noir.Les sons de quelqu'un atteignant l'orgasme derrière moi, et le grognement satisfait de Paco qui a suivi, m'ont fait me sentir un peu plus en sécurité pour la vie des esclaves de sang — ça, et le fait qu'ils avaient changé la victime de Paco. J'ai osé sauter du bord de la scène, tout en gardant toujours un œil dessus, et j'ai marché vers Maya.Elle était couverte de traînées de satin déchiré, de poussière et de sang et du voile de ses cheveux, et je pouvais dire qu'elle prenait plaisir à la façon horrifiée dont beaucoup de Fidèles regardaient maintenant sa nudité brutale. Elle a épousseté une liasse de papiers sur sa cuisse, avant de l'offrir à Sam.— Je crois que ceux-ci sont à vous maintena