Semua Bab Le Sang du Clair de Lune: Bab 331 - Bab 340

Je fermai les yeux. J'étais une idiote. Combien de temps s'était-il écoulé depuis que Paco s'était nourri ? Depuis cette nuit avec la gemme — — Ouais ? dit Zach en trottant vers nous avec un grand sourire.— Ouais, acquiesça Paco d'un ton beaucoup plus bas, attirant Zach à l'arrière du van comme une araignée-trappe avant de fermer la porte.Des bruits qui commencèrent comme une bagarre se transformèrent rapidement en gémissements.— Quand le van se balance, dit Nilesh en s'approchant pour me taquiner.— Écoute, tes gens se trimballent avec des explosifs, les miens baisent. C'est du pareil au même, en fait, dis-je avec un sourire, alors qu'il me tendait ma troisième barre énergétique de la nuit.Il grogna. — C'est vrai, dit-il, puis il me sourit. On a des machines de radar à pénétration de sol qui arrivent.— Si je ne remets jamais les pieds dans une mine abandonnée, ce sera trop tôt. Rosalie m'avait suffisamment forcée à l'accompagner dans les siennes.— Avec un peu de chance, on pour

IL Y AVAIT PLUS que ça — ça a pris plusieurs heures de plus. Mais juste avant l'aube, le mur du fond de sa cage s'est effondré, et elle m'a regardé.— Je peux te faire confiance ? a-t-elle demandé. Son visage tout entier était illuminé, pas seulement par l'excitation qu'elle ressentait à l'approche de notre liberté, mais parce que j'avais l'impression de pouvoir voir chaque globule rouge de son corps, et chacun d'eux brillait comme une enseigne au néon. Elle ressemblait à un ange fait de sang pour moi.J'ai secoué la tête, grinçant légèrement des dents contre la barre.Elle a hoché la tête et s'est mise à crier « Du sang ! J'ai besoin de sang ! » vers l'endroit où les personnes qui arrivaient pouvaient l'entendre. Il y a eu des cris au loin, et les premières personnes à entrer dans la pièce portaient des tenues médicales.Cela ne les a pas empêchés de courir vers nous deux et de pointer des armes sur mon visage.— Ne tirez pas ! les a-t-elle réprimandés. Le sang est pour lui !J'ai en

J'ai inspiré pour lui dire, pour lui donner toutes les règles que j'avais apprises en travaillant avec Rosalie et plus encore — puis j'ai réfléchi et j'ai secoué la tête.— Peu importe, Zach. Tu n'auras jamais à faire tout ça, ai-je dit, et je lui ai fait ma version d'un sourire réconfortant, puis j'ai tendu le bras pour pousser son épaule. Va à l'intérieur et prends une douche. Au moins l'un de vous trois devrait sentir bon.IL EST sortiet a fait ce qu'on lui avait dit, et je me suis rendue utile en m'affairant, nettoyant la litière, écoutant Sugar exprimer son mécontentement, et... faisant des glaçons. Parce que j'avais épuisé toutes les tâches utiles, mais je ressentais encore le besoin de faire quelque chose.Parce que si j'avais raison, ce serait ma dernière nuit en tant que moimême.J'avais toujours imaginé ça un peu comme une soirée d'enterrement de vie de jeune fille — où quelques-unes des filles qui travaillaient pour Rosalie feraient semblant d'être mes amies et on sortirait

— Oh, putain, sifflai-je, d'accord.Zach nous regarda tour à tour, tandis que Paco ronronnait : — C'était bon.— Ouais, dis-je, dans un murmure émerveillé.— Quoi donc ? demanda Zach.— L'être apparemment quelque peu angélique dans mon salon qui vient de jouir. J'avais entendu la voix de Nilesh, mais aussi celle de Luna, et je me disais qu'elle saurait se débrouiller si besoin.— Oh, dit Zach, l'air confus.— Non, non, non, non, mon rayon de soleil. N'ose même pas comparer, d'accord ? Parce que ça, dis-je en agitant une main dédaigneuse vers mon salon, ça fait juste du bien, pas vrai ? Mais ça ? Je pointai vers eux deux, des hommes qui m'aimaient, en train de baiser l'un l'autre, pour moi. C'est la chose la plus chaude que j'aie jamais vue.— Vraiment ? demanda Zach, l'air fragile.— Vraiment. Je me mordis les lèvres et hochai la tête. Vous êtes tous les deux si beaux pour moi. Vous n'avez pas idée.Mais moi si, et je voulais le lui montrer, et maintenant que j'étais un peu rechargé,

— On dirait que tu as été faite pour moi, dit-il alors que je le regardais d'un air flou. Même si je sais que ce n'est pas vrai. Tiens tes seins.Je fis ce qu'il me demandait, haletante, consciente que l'arme chargée à l'intérieur de moi n'avait pas encore tiré. Je regardai ses lèvres prendre mes tétons, l'un après l'autre, et je le sentis sucer et tirer avec sa langue, la force de son attention me faisant vaciller.— Oh mon Dieu, murmurai-je sans réfléchir, mais il ne releva pas, il commença simplement à me balancer, d'abord si lentement que je le sentais à peine, en rythme avec sa langue et ma respiration. Mais ensuite, il n'y avait plus de doute possible, la façon dont il me poussait vers le haut et me tirait vers le bas, contre ses lents va-et-vient. Je lâchai mes seins et jetai mes bras autour de son cou. — Nilesh, dis-je, mes lèvres à quelques centimètres des siennes alors qu'il se reculait. Je pouvais sentir l'odeur de mon sexe sur son souffle et cela me rendit encore plus exci