บททั้งหมดของ l'Alpha et l'immaculée: บทที่ 101 - บทที่ 110

Le soleil était déjà levé lorsque Damien rentra. Il la trouva endormie, toujours dans ses vêtements d'hier, et cette putain d'odeur était toujours aussi forte. Elle ne s'était pas douchée, voulait-elle lui dire qu'elle aimait sentir ainsi ? Il se mit à lui retirer ses vêtements. Ce qui ne la réveilla pas, la transporta jusqu'à la baignoire dans laquelle il la déposa, puis lui versa de l'eau froide par-dessus. Elle se réveilla en sursaut. Au-dessus d'elle, l'horloge indiquait 7 h 30. Damien la regardait d'un regard glacial, plus que cette eau dans laquelle elle grelottait. Il la laissa là et alla se laver dans la douche. Les deux terminèrent presque en même temps. Il la regardait passer la serviette sur sa peau, il savait qu'elle le faisait sans arrière-pensée, mais il trouvait cela excitant. Il la projeta sur le lit. Il verrouilla son regard dans le sien étant au-dessus d'elle, sans aucun baiser, sans aucune marque d'affection, juste un regard de tueur à son endroit, Il

L'heure était plus que grave , tous les loups-garous du monde entier étaient scotchés devant leur poste de télévision, le téléphone de Damien n'arrêtait pas de sonner. La bite à l'air , Il faisait des allers et retours dans son bureau, Laurie l'observait. — Demande aux informaticiens de les localiser et mets-moi en contact avec le président. dit-il à sa secrétaire grâce au téléphone fixe. Laurie se demandait si le président était également un loup-garou. — Tu devrais mettre ton pantalon. Dit Laurie Il lui lança un regard avant de faire ce qu'elle lui suggéra. Laurie réfléchissait également à la manière de régler la situation, c'était en partie de sa faute, mais elle ne le dira jamais. — Les experts sont là avec le matériel nécessaire pour capturer la bête. dit le reporter à la télévision, alors qu'on voit un camion arriver, des hommes en descendre avec des pistolets tranquillisants contenant sûrement des flèches tranquillisantes.Ils ressemblaient à des militaires

Damien se leva, forçant Laurie à se lever avec lui. Il s'apprêtait à suivre la foule . — Où vas-tu ? lui demanda sa femme. — C'est moi qui dois lui donner ses coups de fouet. Sam n'avait pas bougé ; elle était complètement dépassée par les événements.Laurie regarda son mari s'éloigner et vint prendre son amie dans ses bras. — Laurie, suis-je en train de rêver ? Laurie secoua la tête négativement. — Tout le monde ici est comme lui. Laurie secoua la tête de façon positive cette fois.- même Damien. Sam regarda le visage de son amie et eut sa réponse. - Et toi ? Elle ouvrit grand la bouche, ayant eu sa réponse grâce à l’expression peinte sur le visage de Laurie.— est-ce que tu es comme ça depuis toujours ? Laurie souffla , il y avait tant de choses à lui expliquer. — Luna, la présence de tous est requise pour la punition. Les interrompit un guerrier. Elles se dépêchaient de se rendre sur la place du village où tous étaient réunis. Charlie, le dos nu, tour

— Mais de qui tu parles ? Matie leva la tête et resta bouche bée , Alex était devant elle . Est elle entrain de rêvé ? Esmeralda venait de faire irruption dans la pièce . - Matie s’il te plaît dit moi qu’il n’est pas reel qu’il n’y a juste que toi et moi dans cette pièce . Matie elle aussi était sous le choc , aucun son ne voulait sortir de sa bouche . Du regard elle questionnait Esmeralda qui par télépathie lui demanda de faire comme si elle ne voyaitPas Alex allias Nike , fronçant les sourcil d’incompréhension Matie dit — Oui, il n'y a que nous trois ici. La vieille dame alla jusqu'à passer à côté d'Alex allias Nike , en l’ignorant complètement, comme si il n'y avait absolument personne là. Esmeralda prit Laurie dans ses bras, qui ferma les yeux. Alex en profita pour aller dans une autre pièce . Lorsqu'elle ouvrit les yeux , il avait disparu. — Il a disparu. dit- la Luna d'une voix à peine audible. — Il n'a jamais été là, mi hija. Tu veux que je te do

Alors qu'elle-même s'était laissée avoir, elle en voulait à Charlie d'avoir jeté son dévolu sur Sam, de l'avoir fait entrer dans ce monde. Sam retenait ses larmes pour ne pas gâcher son maquillage. Elle prit son amie dans ses bras, car c'était toujours ainsi : elles se disputaient, mais au bout du compte, elles se retrouvaient toujours. - Tout le monde nous attend, faut y aller . Dit Matie pour mettre fin à leurs éffusion d’amour qui lui donnait envie de vomir . Elle les avait laissés faire parce qu'elle avait cru, à un moment, que Laurie arriverait à dissuader son amie, mais c'était clair pour tout le monde que son amie avait déjà pris sa décision. Les deux femmes se lâchèrent. — En passant, tu es super belle ! lui dit Laurie en souriant, les larmes aux yeux. Elle pouvait sentir qu'elle vivait ses derniers instants avec son amie. — Pas plus que toi, tu es tout feu tout flamme. Laurie lui fit un bisou sur le front et la serra encore dans ses bras. — Ne t'inq