Semua Bab l'Alpha et l'immaculée: Bab 121 - Bab 130

Antonio s’assit, invitant sa femme et sa fille à faire de même.— Tu vas me raconter dans les moindres détails tout ce que tu as fait hier pendant l’anniversaire d’Esmeralda.Matie ouvrit de grands yeux. Se pourrait-il qu’il sache ?Impossible. Danie lui aurait-elle parler de ses doutes ? Non, c’était impensable.Matie était certaine de l’avoir convaincue.Elle se remémora alors cette fameuse nuit.FLASHBACK DE MATIECette fête était nulle à chier, et ce n’était pas juste parce que je ne pouvais pas boire même si, c’était exactement à cause de ça.Pendant que certains se bourraient la gueule sans aucune gêne, je décide d’aller chercher Nate. Il devait s’être planqué quelque part dans la maison.Je fouillai plusieurs pièces sans succès, alors je me dirigeai vers celle qui pourra sûrement éclairer ma lanterne , Esmeralda.— Je peux savoir où est Nate ?chuchotai-je à son oreille.Elle leva sa coupe de champagne

Après ce petit exercice nocturne, ils revinrent au village, où les attendait toute la viande rôtie.Naturellement, l’Alpha prit la première bouchée. N’ayant pas d’appétit, il hurla, donnant ainsi le signal : les autres pouvaient manger.Aussitôt, ils se jetèrent sur la viande. Les louveteaux avaient leur propre festin, qu’ils déchiquetaient avec leurs petits crocs.Le spectacle était attendrissant.Ayant rempli ses obligations, Damien se retira dans sa chambre. Il serra le coussin de Laurie contre lui, ferma les yeux pour humer son odeur présent dans le coussin. Il se remémora tout ce qu’ils avaient partagé dans cet espace.Plus rien ne serait jamais pareil.Après cette putain de fête, il remuerait ciel et terre pour découvrir qui avait fait ça.— Dégage d’ici, grogna l’Alpha en sentant l’odeur de Stella.— Je voulais juste savoir comment tu allais, répondit-elle doucement.— Comme tu peux le voir, je veux être seul, dit-il en serrant le

— Et si c’était un fantôme ? Je te rappelle qu’on est dans une morgue, dit Charlie, craintif, à son loup.— De toute façon, dans notre situation, on va bientôt le rejoindre, ce fantôme, répondit son loup d’une voix sombre.— Bon… à trois, on ouvre. Zéro… Un…Mais sans attendre la suite, son loup ouvrit la caisse. C’était Laurie. Son corps reposait à l’intérieur.— Je le savais, C’est juste le corps de Laurie, normal, on est da…Charlie n’eut pas le temps de finir sa phrase. Laurie se redressa brusquement, assise, haletant comme si elle revenait d’un cauchemar.Charlie, qui avait repris le contrôle de son corps, recula, terrorisé.Elle posa un pied au sol. Il reculait toujours, tremblant.— Arrière… de… moi… fantôme…, balbutia-t-il, en faisant maladroitement un signe de croix avec ses doigts. Laurie le fixait, à deux doigts d’éclater de rire. Dans sa panique, Charlie avait fait tomber ses comprimés. Ell

Puis elle s’éclipsa. Du coin de l’œil, je regardai Blake, qui la suivit des yeux jusqu’à ce qu’elle quitte la pièce.Il fallait toujours qu’elle vienne tout gâcher.— Vous ne m’aviez pas dit que vous aviez une autre fille, dit Blake en regardant son futur beau-père.Cette simple phrase me fendit le cœur. Voulait-il dire qu’il aurait préféré une union avec elle plutôt que moi ?— C’est qu’elle n’est plus disponible, son mariage est dans moins d’un mois, répondit mon père.Blake s’adossa contre le fauteuil, l’air soucieux.— Mais ne vous inquiétez pas, vous restez dans la famille, ajouta mon père avec un sourire.Blake avait carrément changé d’attitude. Il était comme absent, perdu dans ses pensées. À quoi pensait-il ? Ou plutôt à qui ? Une angoisse m’envahissait. Comme prévu, cette nuit-là, il resta dormir. On fit chambre à part . Mon père était de la vieille école donc rapports après le mariage, pas avant. Il n

— Il est très rare de te voir hors de ton continent,dit Xavier en lui tendant un verre de Coca avec deux glaçons comme elle l’aime.Elle fut surprise qu’il ne l’ait pas oubliée.— Je suis juste venue régler une affaire,répondit-elle.Les deux prirent place autour du bureau de Xavier.— Comment va ta femme et tes enfants ?demanda la brune assise en face de lui.Il posa son verre de scotch au même moment. Le téléphone fixe se mit à sonner.— Monsieur, madame Colman est là. Elle dit que c’est urgent.Il fronça les sourcils. Que pouvait-elle avoir à lui dire ?— Faites-la entrer.Ni une ni deux, Laurie s’avança dans le bureau de Xavier, Sam sur ses talons.Elles avaient dû voler des vêtements à des campeurs dans les parages. En se transformant, leurs habits avaient été réduits en lambeaux. Ceux de Sam étaient infestés d’insectes.Après un bain rapide dans le petit lac, elles s’étaient vêtues de vêtements d’hommes bien trop grands pour elles.La femme se leva immédiatement en les voyant