Semua Bab L'Amour Innocent du Parrain de la Mafia: Bab 141 - Bab 150

[ARTEMY]En la regardant, un mélange d'admiration et d'affection m'envahit. C'était une femme qui souffrait, mais son cœur était tourné vers mon bien-être.« Artemy », dit-elle doucement, sa voix comme une douce caresse contre mes sens.Mon nom sur ses lèvres était une symphonie, résonnant avec une douceur dont je ne me lasserais jamais. « Sais-tu combien j'aime entendre mon nom sur tes lèvres ? » avouai-je, un sourire tirant sur mes lèvres. La résonance de son nom prononçant mon nom était une joie incessante.Un murmure de contentement s'échappa de ses lèvres contre mon cou, une douce mélodie qui attisa mes émotions. « Je me souviens de ton nom. Et... de tes yeux. »Mon sourire s'élargit, un sentiment de soulagement m'envahit. Son souvenir de moi était un trésor précieux. « Répète mon nom », me suis-je retrouvé à lui demander, le désir évident dans ma voix.« Artemy », murmura-t-elle, et même si je ne pouvais pas le voir, je pouvais sentir son sourire. Le poids dans ma poitrine s'all

[REBECCA]Je me suis retrouvée perchée au bord du lit, un air d'anticipation planant autour de moi alors que j'attendais l'arrivée d'Artemy. Ma main berçait tendrement mon ventre rond, et dans le doux rythme de vie sous ma peau, je sentais les mouvements du bébé.Soudain, la porte s'ouvrit, révélant Artemy sortant de la salle de bain. Il se tenait là, une serviette drapée négligemment sur ses épaules, séchant méthodiquement ses cheveux humides. L'étendue de sa poitrine était dévoilée au monde, sa tenue se limitant à rien d'autre qu'un pantalon de survêtement noir élégant.Nos regards se croisèrent et un doux sourire se dessina sur les lèvres d'Artemy. « Pourquoi ne pas aller dans la salle de piano en m'attendant ? » suggéra-t-il, sa voix comme une caresse chaleureuse.J'acquiesçai et me levai du lit. Avant que je puisse m'éloigner, Artemy déposa un rapide baiser sur mes lèvres. Son goût persistant sur mes lèvres, je quittai la pièce et me retrouvai bientôt à l'entrée de la salle de pi

[REBECCA]J'enfilai délicatement ma robe rose, dont le tissu épousait les courbes de mon ventre rond. En contemplant mon reflet, je m'émerveillais du spectacle qui s'offrait à moi.La robe, d'une douce et ravissante nuance de rose pâle, descendait jusqu'au milieu de mes cuisses. Un élan de gratitude m'envahit pour Lynda, dont le choix réfléchi de robes s'était avéré être une bénédiction. Leur design épousait parfaitement mon ventre de femme enceinte, offrant à la fois confort et style.En me retournant d'un côté à l'autre, mon reflet me montrait la transformation que j'avais subie. La veille, Lynda avait habilement coupé mes cheveux, leur redonnant la même longueur qu'avant ma séparation tumultueuse. Maintenant, ils tombaient en cascade dans mon dos, un geste intentionnel pour faire plaisir à Artemy, qui adorait cela. Mes joues étaient légèrement plus pleines, une rougeur saine les ornant après un bain apaisant. Des heures de baisers avec Artemy avaient teinté mes lèvres d'une douce n

[REBECCA]J'aurais aimé disparaître, échapper au cauchemar qui avait refait surface. La voix du Diable me rappelait avec effroi les horreurs passées.Artemy se tenait droit, sa posture inébranlable, ce qui me fit sentir son changement de position délibéré. Peu à peu, je me levai de ma position, imitant son mouvement tout en me cachant délibérément derrière sa position protectrice.Mon point de vue m'empêchait de repérer Raffaele. Je restais entièrement caché, protégé par la solide présence d'Artemy qui me protégeait.D'un mouvement délibéré, la main d'Artemy se dirigea vers sa ceinture, le lieu de repos de son arme à feu.« Ah, ah. Ne fais pas de gestes brusques ou je n'hésiterai pas à appuyer sur la gâchette. Crois-moi, cette fois, je suis sérieux », prévint Raffaele, sa voix pleine de menace. « Éloigne-toi d'elle. »Artemy resta immobile, sa position inébranlable. « Éloigne-toi d'elle, ou je n'hésiterai pas à tirer. Quel est l'intérêt de jouer les héros ? Une fois que j'en aurai fin

[REBECCA]La tension persista un instant entre les deux hommes avant que leurs regards ne s'atténuent. Un soupir m'échappa tandis que leur silence persistait. Un long chemin nous attendait tous.Artemy fit les cent pas autour du lit, se positionnant enfin à côté de moi. Sa présence était une ancre réconfortante au milieu de la tourmente. « Rebecca, quittons cet endroit. Tu dois te reposer », dit-il, sa voix teintée d'inquiétude, pour s'arrêter brusquement alors que la colère gravait sur ses traits.Ses émotions étaient palpables ; je savais précisément ce qui se tramait sous sa surface.La capture de Raffaele avait éveillé la soif de vengeance d'Artemy. Ses poings serrés trahissaient ses intentions volatiles. J'intervins, saisissant ses mains et déposant un tendre baiser sur ses jointures. « Vas-y. Je resterai ici. Une fois la fatigue installée, je m'élèverai et trouverai un répit dans le sommeil. »Ses objections semblaient prêtes à éclater, mais j'ai persisté. « Crois-moi, Artemy, j