Semua Bab Cendrillon 2024: Bab 121 - Bab 130

MicahElle sourit encore, son regard brillant d’un éclat de folie contrôlée. Elle se moquait clairement d'eux .— Mon plan ?, répéta-t-elle en un murmure presque doux. Prendre le contrôle total. Roland pensait me protéger avec ses cadeaux, mais il ne voyait pas que je visais bien plus haut. Lucius me devait une dette, une dette qu’il a finalement payée. Et vous deux, vous avez fait exactement ce que je voulais. Vous m’avez livré toutes les pièces dont j’avais besoin pour asseoir mon règne. Cendrillon n’a jamais été qu’un accident de parcours, vous n'auriez jamais du la ramenez avec vous, cette fille m'a tout de meme rapporter de l'argent, dommage que vous l'ayez baiser comme des pervers que vous êtes, enfin, c'est une belle fille, alors le prix a été bon, elle doit être dans le ferry pour un bordel en Angleterre a l'heure qu'il est.Et elle se remit a rire, je perdis patiente et me fit du bien en la giflant de nouveau si fort qu'elle cracha un énorme filet de sang. Elle pensait avoir g

CendrillonJe serrai les poings sur mes genoux, essayant d’étouffer les émotions contradictoires qui m’envahissaient. Ethan... chaque fois que je pensais à lui, je sentais une chaleur étrange, presque réconfortante, se répandre en moi. Mais Micah… lui, c’était différent. Il représentait tout ce que je redoutais, mais au fond de moi, je l’aimais aussi. Et pourtant, j’étais persuadée à présent qu’eux aussi étaient pris au piège de Marlène.— On doit trouver Roland avant tout, murmurai-je, mes pensées cherchant à s’organiser. Tant qu’il est entre ses mains, on ne pourra rien faire. Et je suis sûre qu’elle sait quelque chose.Marie acquiesça, puis plongea dans un silence calculateur. Elle prit une grande inspiration, son visage se durcissant légèrement.— Et tu sais où elle l’a planqué ? demanda-t-elle en expirant la fumée par le nez.Je fis non de la tête. Alors elle supposa :— Je ne sais pas, mais il y a bien un endroit qu’elle aime. Une vieille bâtisse, un entrepôt, une maison, une gr

ETHANLes hommes de Roland, bien que nombreux, entrèrent dans l’entrepôt avec un silence déconcertant. Ils regardèrent Marlène, étonnés de la voir notre prisonnière.Ils étaient au nombre de neuf, tous des anciens militaires recrutés par notre oncle pour leurs performances physiques ou mentales. Johnny s’approcha de nous et je lui racontai brièvement tout.— Pourquoi avez-vous gardé le silence ? marmonna-t-il avec autorité.Ce fut Micah qui répondit :— On nous faisait chanter.Il regarda Marlène.— Cette pute ?— Oui, cette pute qui se disait notre amie.— Je ne l’ai jamais aimée, avoua-t-il en sortant un couteau de sa poche qu’il ouvrit.Il se tourna vers elle et s’approcha.— Il semblerait que tu aies des petits secrets que tu ne voudrais pas révéler à nos amis.Elle lui rit au nez, même si son rire se faisait moins franc. Il coupa les liens et nous nous regardâmes avec Micah. J’eus soudain un doute sur son intégrité, jusqu’à ce qu’il la force à se lever avec tant de violence qu’on

EthanJohnny donna ses instructions d’une voix calme, mais l’autorité qui en émanait était indiscutable. Chaque mot qu’il prononçait semblait chargé d’une détermination inébranlable. Ses yeux, d’un bleu perçant, fixaient chaque membre de l’équipe avec une intensité qui ne laissait aucune place au doute. Il savait exactement ce qu’il voulait et comment l’obtenir.Ses gestes étaient précis et mesurés, chaque mouvement calculé pour transmettre un message clair et sans équivoque. Il n’y avait pas de place pour l’hésitation ou l’incertitude dans ses directives. Chacun savait ce qu’il devait faire, et l’atmosphère était tendue, mais concentrée.L’équipe écoutait attentivement, absorbant chaque détail des instructions de Johnny. Ils savaient que leur succès dépendait de leur capacité à suivre ses ordres à la lettre. La tension était palpable, mais il y avait aussi une certaine excitation, une anticipation de ce qui allait suivre.Johnny termina son discours avec un regard appuyé, s’assurant

CendrillonMarie poussa la porte de l’appartement de Marlène, son arme pointée devant elle. L’intérieur était sombre, mais une faible lumière provenait d’une lampe de chevet dans le salon. Je la suivis de près, mon cœur battant la chamade.— Reste derrière moi, murmura Marie, ses yeux scrutant chaque recoin de la pièce.Nous avançâmes prudemment, chaque pas résonnant dans le silence oppressant. Le salon était en ordre, tout semblait en ordre. Je constatai même que Marlène avait un certain goût pour le luxe en regardant ses meubles en bois massifs et son canapé en cuir blanc.Marie s’approcha d’une commode sur le mur au-dessus de laquelle trônaient des photos. Elle s’arrêta devant une photo encadrée sur une étagère. Elle la prit et l’examina attentivement. Son expression changea aussitôt.— Un souci ? lui demandai-je.Elle me regarda mais semblait ne pas me voir et me sourit.— C’est Roland, murmura-t-elle, une note de nostalgie dans la voix.Je m’approchai pour regarder la photo. Un h