Semua Bab Patron Irrésistible : Prisonnière de Ton Charme: Bab 121 - Bab 130

PDV d'AlexandreQuand j'ai appris que Catherine était allée déjeuner avec Lévy, j'ai eu envie de les poursuivre, de lui mettre mon poing dans la figure et de partir avec Catherine. Mais je ne pouvais pas faire ça. Lévy s'était montré très franc avec moi le jour de notre rencontre chez Pascal. Il m'avait dit qu'il garderait ses distances, mais si les choses ne marchaient pas entre Catherine et moi, il ne manquerait pas l'occasion d'essayer de la conquérir. Et il n'avait pas perdu de temps.Ainsi, tout comme les filles se réunissaient chaque mardi pour leur « club de lecture », mes amis et moi, nous retrouvions aussi pour bavarder, boire et jouer. Nous avions convenu d'aller au Cercle Social, car Pascal pensait qu'un endroit plus animé me remonterait le moral.À mon arrivée, je me suis dirigé directement vers le casino pour retrouver les gars. Nous avons commencé une partie de poker qui m'a un peu égayé. Je souriais et bavardais avec mes amis et sirotais un soda, tenant ma promesse de

PDV de JohnsonSur le chemin du bureau, je ne cessais de penser à ce déjeuner absurde d'hier. Je voulais faire disparaître cet imbécile, Alexandre. Ses agissements envers moi et ma fille ne faisaient qu'accroître mon aversion pour ce gosse de riche. Mais je ne pouvais pas m'en débarrasser : j'avais besoin qu'il épouse ma fille et qu'elle engendre un héritier portant son patronyme. Le nom des Miller ouvrait bien des portes, et garantirait que tous les biens de cet idiot reviendraient à ma fille et à mon petit-fils, et par conséquent, à moi.Le pire, c'était qu'il avait réussi à repousser les noces de trois mois. Ce report ne faisait que retarder mes projets, mais ma fille avait fait un caprice pour une simple fête. Néanmoins, au final, il valait mieux que ce mariage soit grandiose et fastueux, relaté dans tous les journaux, comme la petite Anna le souhaitait. Ainsi, nul ne douterait que ma fille serait l'épouse et la mère d'un Miller légitime.Mais il restait encore une chose : je co

J'étais prête quand j'ai reçu un message de Lévy disant qu'il m'attendait à l'entrée de l'immeuble. J'ai saisi mon sac à main, embrassé mon fils pour lui dire au revoir, et pris congé de Lydia et de Mel.Arrivée à l'entrée, j'ai aperçu Lévy adossé à sa voiture avec son magnifique sourire. Mon Dieu, cet homme aurait pu être moins séduisant. J'étais folle d'Alexandre, j'avais le cœur brisé de devoir renoncer à lui, mais Lévy était différent : il possédait un charme irrésistible. Lévy était envoûtant, élégant et attirant, portant un parfum délicieux. Tout cela donnait un homme splendide qui faisait tourner la tête à toutes les femmes.« Salut, ravissante Catherine ! » Il s'est approché et m'a fait la bise au coin des lèvres, ce qui m'a fait frémir. « Encore plus belle que la dernière fois. »« Je... euh... hem... » J'ai toussé pour arrêter de bégayer. « Bonsoir, Lévy ! »Il m'a regardée avec une expression enjouée, son sourire s'élargissant. Il a posé sa main au creux de mon dos et m'

PDV de CarolineParfait ! Avec cet argent que papa m'a donné, je pourrais consulter le médecin qui m'aiderait avec cette fausse grossesse. J'ai déjà dépensé une fortune pour le test truqué et l'infirmière qui a manipulé les résultats d'analyses qu'Alexandre m'a fait passer. Je savais qu'en faisant une scène, mon père me donnerait de l'argent pour me calmer : cela fonctionnait toujours ainsi. Le bon côté, c'était que ce qu'il m'a donné couvrait les honoraires du médecin pour la première échographie, et qu'il me reste assez pour faire du shopping.J'ai vu que mon père venait de partir, alors je suis partie juste après lui. Dans la voiture, j'ai appelé le médecin. C'était Céleste qui m'a mise en contact avec lui. Cette femme hypocrite s'est révélée bien utile. Je savais que mon père entretenait une liaison avec elle : je les ai suivis et je connaissais exactement l'emplacement de leur petit nid d'amour. Mais je n'ai pas encore eu besoin d'utiliser cette information. Céleste faisait tout

Après qu'Alexandre m'avait embrassée dans mon bureau sous les yeux de Rick, je ne l'ai pas revu pendant le reste de la semaine. Les journées étaient mouvementées. Lui et Pascal enchainaient les rendez-vous à l'extérieur avec leurs clients actuels et futurs.Une nouvelle semaine avait débuté, comme toujours, avec un bouquet de tulipes et une petite carte. Il m'avait fait la promesse, il y a longtemps, que je recevrais un bouquet de tulipes chaque semaine, et jusqu'à présent, il n'avait jamais manqué à sa parole, tout comme les gâteaux au chocolat qu'il déposait sur mon bureau à l'heure du déjeuner. Nous étions séparés depuis un mois maintenant : trop de temps, trop de chagrin, trop de désir.J'étais restée tard au bureau, car Pascal m'avait demandé de terminer une proposition pour un client qu'ils devaient rencontrer le lendemain matin. Sandrine était déjà partie, mais Pascal se trouvait encore dans son bureau, tout comme Rick, qui m'a envoyé un baiser en retournant à son bureau avec