Semua Bab Patron Irrésistible : Prisonnière de Ton Charme: Bab 301 - Bab 310

PDV d'HenryJe devais parler à ma mère pendant que les autres résolvaient le problème qu'ils avaient créé avec Sandie. Il fallait que j'arrête Raimbaut, mais je ne pouvais pas le faire sans parler à ma mère et à Hébé. Alors je l'ai conviée à déjeuner.« Regarde mon fils prodige, de retour de voyage depuis trois jours et c'est seulement maintenant qu'il me contacte ! », s'est gentiment moquée ma mère dès son arrivée.« Maman, je t'emmène quand même dans ton restaurant préféré. » Je l'ai embrassée et j'ai tiré sa chaise pour qu'elle s'installe.« Ah, tu es pardonné ! » Elle a souri. « Comment s'est passé ton voyage, mon fils ? As-tu réussi à te changer les idées ? »« Oui, entre autres, et j'ai aussi conclu d'excellents marchés. »« Tu as mis du temps à revenir. »« J'espère ne pas avoir trop tardé. J'ai appris que Sandie fréquente quelqu'un. »« Elle t'aime, mon fils. Si elle voit quelqu'un, bats-toi pour elle. Ou comptes-tu abandonner si facilement ? »« Non, je ne renoncerai

PDV de SandrineLe reste de la semaine s'est envolé. J'étais absente du bureau pendant deux jours et le travail s'est accumulé, alors j'ai travaillé le samedi pour rattraper mon retard et remettre tout en ordre.C'était étrange, mais je me sentais plus en sécurité au bureau que chez moi. Donc aller travailler le samedi était plutôt apaisant que stressant.Le dimanche, je me suis réveillée tard, j'ai commandé à manger, et je pleurais toutes les larmes de mon corps devant un film romantique à la télé quand mon portable a sonné. C'était Vincent.« Ma belle, pourquoi ta voix est si larmoyante ? », a-t-il demandé, inquiet.« Je regarde un film, Vince. L'héroïne souffre tellement. » Il a éclaté de rire à l'autre bout du fil.« Allez ma douce, laisse tomber ça, fais des miracles avec ton maquillage, et je passe te chercher dans une demi-heure. » Vincent semblait décontracté.« Et où allons-nous, puis-je savoir ? », ai-je demandé en éteignant la télé.« Je t'emmène dans un endroit symp

PDV de SandrineLes jours s'écoulaient de plus en plus lentement. Après ce rêve où j'ai vu Henry dans mon appartement, quelque chose s'est brisé en moi définitivement. Et quelques jours plus tard, quand il m'a aperçue au restaurant, son regard empli de dégoût m'a transpercé le cœur. Je souffrais plus que je ne pensais qu'il était possible de souffrir.Catherine entamait les derniers moments de sa grossesse, et tout le monde était tellement ravi à l'idée des quadruplés que je n'avais pas le droit de les accabler avec mes soucis. Je lui rendais visite chaque semaine, mais je gardais mes visites brèves. J'évitais de passer trop de temps avec les filles et je ne parlais pas de moi. Je les esquivais autant que possible. Je ne voulais pas qu'elles s'inquiètent. De même, je fuyais Enzo qui ne cessait de m'appeler.Mais j'avais un ami très fidèle. Au fil des derniers mois, Vincent était devenu mon confident. Il comprenait ce que je traversais puisqu'il avait lui aussi vécu l'abandon. Nous n

PDV d'HenryJe me suis pris une cuite monumentale la veille ! Je ne me reconnaissais même plus, j'étais anéanti. Je suis allé chez Alexandre pour voir les bébés, mais quand je suis arrivé, Sandrine partait et elle ne m'a même pas laissé lui parler. Je l'ai regardée monter dans sa voiture et s'éloigner, et je suis resté planté là pendant de longues minutes. J'étais dans les limbes, complètement brisé. Je ne suis même pas entré dans la maison, je suis retourné à ma voiture et je me suis dirigé vers l'hôtel.Je suis monté dans ma chambre et comme chaque soir, je me suis mis à boire. J'ai bu ! J'ai bu comme un trou ! J'ai bu plus que je ne l'aurais imaginé. À mon réveil, j'étais dans une pièce lumineuse et j'ai commencé à regarder autour de moi. J'ai aperçu quelque chose relié à mon corps, j'ai observé les alentours et j'ai vu des poches de perfusion. J'ai atterri à l'hôpital. Mais comment était-ce arrivé ? J'étais enfermé dans ma chambre d'hôtel, serrant une bouteille de whisky, c'était

PDV de SandrineAprès avoir reçu le message de Melissa, j'ai décidé de passer à l'action, lasse d'attendre. Je suis rentrée chez moi, j'ai pris une douche, je me suis maquillée soigneusement, je me suis parfumée et j'ai choisi une robe que je n'avais pas encore portée. J'ai enfilé des talons vertigineux, déterminée à reconquérir mon homme, peu importe quelle femme il fréquentait. J'ai donc appelé mon allié le plus fidèle, Enzo.« Ma chère tante ! Comment vas-tu ? », a répondu Enzo avec sa douceur habituelle.« Je suis nerveuse et j'ai besoin de ton aide. », ai-je dit sans détour.« Que se passe-t-il ? » Il est devenu sérieux.« Il faut que je trouve ton oncle, mais il semble avoir disparu. Il n'est pas venu à la maison ni à l'appartement depuis des mois. », ai-je dit presque sans reprendre mon souffle.« Attends, ma tante. » Je l'ai entendu s'éloigner du téléphone. Peu après, il est revenu. « Ma tante, maman dit qu'il est peut-être chez grand-mère. Tu es où ? »« Je suis chez mo