Semua Bab Le Roi Lycan et sa Tentation Sombre: Bab 551 - Bab 560

LAVINIAÀ mesure qu’on se rapprochait, mes mains devenaient de plus en plus moites.Mes yeux se sont posés sur ces lèvres sexy qui dépassaient sous le masque.Sa peau pâle, c’était ce mélange de beauté irréelle et de bête dangereuse.« V-Votre Majesté », ai-je murmuré une fois que nous nous sommes retrouvés face à face, en baissant la tête et en tentant de maîtriser les battements affolés de mon cœur.« Mademoiselle Rosemarie », j’ai frissonné en entendant sa voix grave et magnétique.S’il me restait encore le moindre doute que c’était Laziel, il s’est dissipé à cet instant.J’ai levé les yeux vers ses prunelles dorées fixées sur moi, pleines de sombres promesses.Sa main froide a saisi la mienne. L’autre s’est enroulée autour de ma taille avec possessivité, m’attirant contre son corps plus grand.Ma poitrine s’est appuyée contre son torse dur. Il a baissé la tête jusqu’à ce qu’il ne reste plus que quelques centimètres entre nous.« Ne sois pas nerveuse, Lavinia, je ne vais p

LAVINIAJ’ai attrapé les maillons de fer qui pendaient d’en haut, les poings glissants de sueur, le cul relevé, la chatte palpitante d’excitation.Je haletais en sentant le bout de sa queue glisser lentement de haut en bas. J’ai écarté les jambes encore plus — Déesse, je le voulais plus que je n’avais jamais désiré personne.« Ahhh, si épais... shhh... aahh... putain, bébé, c’est trop bon ! »Mon gémissement s’est perdu dans la tempête qui faisait rage autour de nous, au moment où sa queue énorme et brûlante est entrée en moi, m’étirant jusqu’à la limite, la sueur coulant sur ma peau.Ma chatte s’est contractée et ruisselait, l’avalant avec avidité, réclamant encore plus de brutalité.« Laziel... »« Lavinia... ma Lavinia... »Il m’a tiré les cheveux pour les enfermer dans son poing, ses griffes plantées dans mes hanches, ses grognements contre mon cou, et sa queue brûlante qui me défonçait encore et encore, profondément.Je gémissais, je le suppliais d’en vouloir plus, mon co

NARRATEUR« Je suis désolé, mais pour l’instant, je ne peux vous proposer que cette cabane », a déclaré William en regardant Drakkar et la femme aux cheveux blancs qui se tenait à ses côtés.Elle semblait être la guérisseuse de ce petit groupe.« Nous vous sommes vraiment reconnaissants de votre aide », a répondu Lyra, plus diplomate que son compagnon.Elle savait bien que le Bêta les avait traités avec trop de gentillesse, et elle avait déjà une idée de la raison.Même si William s’adressait à Drakkar, son regard ne cessait de glisser vers la petite femelle qui aidait à porter des affaires dans la maison en bois.En réalité, à leurs yeux, cela ressemblait déjà à quelque chose de nouveau, et même à une construction plutôt jolie.« Le marché ouvre demain matin. Je vais prévenir les gardes à la porte pour qu’ils vous laissent passer », a murmuré William, sans même savoir comment il arrivait encore à tenir une conversation cohérente.La brise portait ce parfum de jasmin, celui qui

NARRATEUR« Je ne te forcerai jamais à faire quoi que ce soit que tu ne veux pas. Je ne vais pas te toucher. Je veux juste qu’on apprenne à se connaître et qu’on parle, Nana. Je le jure sur ma vie, je ne te ferai jamais de mal. »William l’a dit en fixant la nuque de la jeune femme, là où la cicatrice d’une morsure ne s’était pas encore complètement refermée.C’était brutal — on voyait bien que ça avait été fait sauvagement. Soudain, il a ressenti une haine profonde pour l’homme qui l’avait blessée ainsi.Maintenant, il comprenait pourquoi elle le repoussait.Nana n’a pas dit un mot. Elle s’est simplement mise à marcher, la tête baissée, les mains serrant le panier tressé de lianes.Mais à l’intérieur, elle était loin d’être aussi calme qu’elle en avait l’air, et pas aussi indifférente à William qu’elle le laissait croire.Ce grand mâle puissant, comme un ours protecteur, avait éveillé quelque chose à la fois chez Reina et chez elle.Pourtant, elle n’avait aucune intention d’al

NARRATEUR« Respire par le nez, bébé... doucement, magnifique... comme ça... » Il lui a laissé une seconde pour reprendre son souffle, et avant que Nana ne puisse se refermer, il l’a embrassée de nouveau.Son grand corps l’a coincée dans l’ombre obscure de l’auvent.Avec la musique en fond et des éclats de rire au loin, ils se sont caressés et embrassés lentement, enveloppés de sons empreints d’érotisme.Le cœur de Nana était sur le point d’exploser dans sa poitrine.« Mmmm... chuuut... » a-t-elle soufflé, frémissante sous les picotements dans son ventre et entre ses jambes.Tout semblait parfait, jusqu’à ce que le baiser devienne soudain plus intense et que les mains du mâle descendent agripper ses fesses avec désirSon érection dure et sauvage s’est frottée avec insistance contre son ventre.Des grognements bestiaux ont commencé à s’échapper de la bouche de William, tandis que d’immenses crocs apparaissaient.« Non, non... merde ! » William a reculé, haletant, laissant Nana