Semua Bab Le Roi Lycan et sa Tentation Sombre: Bab 821 - Bab 830

FENRIRJ’ai parfaitement compris pourquoi Abigail se sentait mal à l’aise. Mais je ne me suis pas arrêté.Ma bouche s’est enfoncée plus profondément, ouverte comme celle d’un prédateur. J’ai embrassé sa vulve avec passion.La langue de Gale bougeait comme l’aurait fait mon sexe, entrant et sortant, l’étirant pour ce qui allait suivre.J’ai probablement fini par rompre son hymen, mais c’était mieux ainsi, moins douloureux que de le déchirer avec mon sexe dur.Cette jolie petite main a agrippé mes cheveux. Les hanches d’Abigail ont martelé mon visage.Ses cuisses ont tremblé au rythme du gémissement sonore qui s’est échappé de ses lèvres.Une lave bouillante a inondé ma bouche quand elle a joui si délicieusement sous ma succion profonde.J’ai avalé et reniflé, de la vapeur s’échappant de mes narines.Si chaud que ma magie sélénique n’arrêtait pas de surgir pour l’apprivoiser.Pendant que je buvais à ses lèvres, mon sexe gouttait sur la couverture. Il était si dur que chaque fro

NARRATEURTombant de haut, enveloppée dans des bras puissqnts et masculins, la robuste lycane s’est transformée en une femme aux courbes gracieuses, bien plus petite et délicate à présent.Son compagnon l’entourait comme un manteau protecteur.Le sol se rapprochait dangereusement. Les deux lycans ont tendu leurs corps, guidés par chaque instinct et de leurs bêtes supérieures.BAAAM !Leurs muscles puissants ont explosé dans leurs pattes arrière quand ils ont touché terre. Ils ont projeté de la poussière et des débris dans tous les sens.Malgré tout, l’élan les a fait rouler au sol. Leurs pelages se sont éraflés et leurs os ont craqué sous l’impact.Beof a encaissé le plus gros choc. Sa priorité était de protéger sa compagne. Theron, lui, a retrouvé son équilibre plus rapidement.Une fois debout, il s’est dirigé vers le coin où il avait aperçu l’ombre de son beau-frère. Un avertissement a résonné dans son esprit.« Attends, elle est nue », a dit Beof en se plaçant devant Mara p

NARRATEURIls se sont retournés et l’ont vue émerger d’une déchirure dans l’air, pareille à une blessure ouverte dans les ténèbres.Derrière elle, son compagnon sombre l’a suivie.« Theron et Laziel dans la même pièce... comme c’est amusant », a murmuré cette fois Amara directement dans l’esprit de Beof.« Qu’est-ce qui t’est arrivé ? »La tension est retombée aussitôt quand Lavinia a aperçu sa sœur blessée. Elle s’est approchée pour l’examiner avec inquiétude.« Ne t’en fais pas, Lavi. Ce n’était qu’une bêtise. Beof m’a déjà donné son sang, ça va guérir tout de suite. Nous sommes tombés ici par accident... »L’âme d’Amara s’est réchauffée sous les mains de sa sœur qui la palpait avec soin. Lavinia était toujours comme une seconde mère pour Amara et Theron.Beof a dû se pencher légèrement, car Lavinia n’arrivait même pas à l’atteindre, même sur la pointe des pieds.« D’accord... tu m’as un peu fait peur parce que tu ne m’invoques jamais », a avoué la sorcière.Derrière elle,

THERONJ’ai passé presque toute la journée à chercher ce qui pourrait servir à improviser un campement.J’avais dans l’idée que mes sœurs préparaient encore l’un de leurs tours pendables.Depuis le ventre de ma mère, j’ai déjà senti les coups de pied agités d’Amara. Je savais très bien de quoi elle était capable.Le soir tombait, et avec lui la lumière du soleil s’estompait.Je suis remonté à la surface pour découvrir qu’on se trouvait au beau milieu d’une forêt enchevêtrée.J’ai réussi à ramasser de grandes feuilles et de l’herbe sèche. Avec cela, j’ai aménagé un abri convenable dans la grotte et allumé un petit feu.Même si j’avais grandi entouré de paperasse et formé à gouverner le royaume, contrairement à ce que croyaient mes sœurs, je n’étais pas une mite dévoreuse de livres.Mon père m’avait appris à survivre et à me battre comme les miens. Les conseillers royaux aussi.Tous les lycans portaient la sauvagerie ancrée dans leurs veines.Transformé dans ma forme élémentair

THERONJ’ai passé ma langue sur la marque temporaire qui ornait sa nuque. Elle ronronnait tandis qu’elle buvait mon sang.Cela ne semblait pas lui faire mal. Bien au contraire, ces gémissements érotiques qui s’échappaient entre ses succions me confirmaient qu’elle adorait mon essence.Je me suis déplacé sur le côté, l’ai prise dans mes bras et nous ai installés confortablement. J’ai embrassé son cou et respiré l’odeur de ses cheveux humides. Je me sentais trop putain bien pour pouvoir l’exprimer avec des mots, mais j’en voulais davantage.Notre lien n’était pas permanent. Elle n’appartenait pas à ma race, et son esprit animal n’avait pas autant de conscience que mon loup. Ce n’était qu’une forme magique, plus sauvage, un amas d’instincts féroces qui nousattiraient.Il faudrait qu’on trouve un moyen de nous unir définitivement. Pour commencer, je suppose que j’avais besoin de connaître son nom.« Comment tu t’appelles, ma magnifique lionne ? » ai-je murmuré quand sa langue rugueus