Lahat ng Kabanata ng Séduire le beau-père de mon ex: Kabanata 201 - Kabanata 210

« Waouh, il a l’air d’être une perle », glousse Nan.Brigitte hoche la tête.« Il vient me chercher ici… il est tellement canon que je vais peut-être mourir », rit-elle. « Et il est un peu plus âgé aussi. Clairement dans la trentaine. »« On dirait qu’on a toutes les deux une grosse soirée », plaisante Nan.Elle va jeter un œil aux dernières nouveautés. Il y a quelques trucs vraiment mignons, mais rien qui exprime vraiment ce qu’elle veut dire.Voyant l’indécision de Nan, Brigitte décide de l’aider. Elle fouille parmi des tenues adorables et déniche la robe la plus magnifique et la plus courte qu’elle puisse trouver. Lorsqu’elle la montre à Nan, celle-ci pousse un cri.« Oh, ma Déesse ! », s’exclame Nan en s’emparant de la robe. « Elle est parfaite. Il faut que je l’essaie. »Brigitte rit. « Je te la fais à prix réduit en plus, » ajoute-t-elle alors que Nan file vers la cabine d’essayage.Pendant qu’elle se change, Nan examine le tissu délicat de la robe et sourit. Elle est courte et n

Nan et moi rions en voyant cela, et nous nous mettons à danser en imitant leurs mouvements. C’est amusant de se lâcher avec ma meilleure amie, surtout qu’elle est aussi folle que moi.Nous buvons notre bière, et plus j’en bois, meilleur est le goût. Peut-être que ce n’est pas si terrible, finalement. Nan finit sa bière en premier et en attrape une autre. Elle tient peu l’alcool, donc elle commence déjà à être pompette avec une seule bière. J’imagine à peine dans quel état elle sera après la deuxième.« Beer bong dehors ! », annonce un des mecs de la fraternité.Tout le monde pousse des cris d’enthousiasme et se précipite vers la terrasse.Nan me saisit par le bras et m’entraîne avec elle. Nous rejoignons les autres autour de la table de beer bong, et quand un des gars demande qui veut être son partenaire, je suis surprise que Nan se porte volontaire.« Nan, tu n’y as jamais joué », je lui rappelle.Elle rit et hausse les épaules.« Et alors ? », dit-elle d’un ton léger. « Il faut bien

Je suis surprise quand il revient avec un gobelet rouge rempli d’eau. Je m’attendais à une bouteille d’eau ou quelque chose comme ça, mais ça n’a pas l’air de le déranger et il me tend le gobelet avec un sourire.Je jette un coup d’œil à l’intérieur, et effectivement, je vois un liquide clair. Ça ne sent rien non plus, alors je me détends un peu et je lui adresse un sourire reconnaissant.« Merci », je lui dis en portant le gobelet à mes lèvres.Le goût est un peu étrange… Je fronce le nez et je fixe le gobelet avant de lever les yeux vers lui. « Ce n’est pas filtré », m’explique-t-il. « On n’a plus d’eau filtrée pour le moment. On vient d’en manquer. »Je hoche la tête ; cela semble logique. Je prends une autre gorgée ; même si le goût est bizarre, c’est plus agréable que la bière. Alors que je bois encore un peu, je lève les yeux vers lui et je vois qu’il m’observe avec une expression curieuse.« Tu vois quelqu’un en ce moment ? », me demande-t-il.Je suis surprise par la question, m

Au son de mon grondement, le type qui tient Judy se tourne vers moi, les yeux écarquillés en réalisant qui je suis.« Lâche-la », dis-je d’une voix basse et menaçante.Les mains tremblantes, il dépose Judy au sol, et je la vois vaciller, la tête tombant sur le côté ; elle tient à peine debout. Qu’est-ce que ce salaud lui a donné ? Je comprends immédiatement que ce n’est pas seulement de l’alcool.Elle est droguée.Dès qu’il lâche Judy et se tourne vers moi, il ne reste pas debout bien longtemps. Mon poing frappe son visage, et il s’effondre. J’entends un craquement au moment de l’impact et je sais que je lui ai cassé le nez.La porte de la salle de bain s’ouvre, et Nan en sort en titubant ; elle se fige en voyant la scène, et quand nos regards se croisent, ses yeux s’écarquillent.« A… Alpha ? », demande-t-elle en clignant des yeux et en plissant les paupières comme si elle ne me voyait pas bien.Je vois bien à sa démarche instable et à ses pupilles dilatées qu’elle est ivre. Son regar

J’aspire le téton de Judy dans ma bouche, le faisant tourner avec mes dents et le rendant plus dur qu’il ne l’est déjà. Elle laisse échapper un gémissement haletant tandis que je continue à taquiner et à jouer avec ses seins.Son parfum ne fait que s’intensifier à mesure que le désir la consume, rendant son cœur d’autant plus ardent. Je ne prends pas la peine de me déshabiller, car il ne s’agit pas de moi… il s’agit d’elle.Je veux l’aider à surmonter cette chaleur ; quel que soit le médicament qu’on lui a administré, il est si fort qu’il semble s’aggraver si rien n’est fait pour y remédier.Je suis soulagé d’être arrivé à la fête quand je l’ai fait, car qui sait ce qu’elle aurait permis à cet homme de lui faire. Un grondement sourd m’échappe à l’idée même que Judy puisse monter dans le lit d’un autre homme… qu’elle le supplie de la satisfaire de la même manière qu’elle me supplie, moi. Je serre les poings et je lutte pour garder le contrôle de mon loup alors que cette réalisation acca