Semua Bab Séduire le beau-père de mon ex: Bab 221 - Bab 230

POV de JudyJ’ai regardé Ethan avec stupeur ; son visage était si sérieux et ses yeux s’enflammaient de colère alors qu’il me fixait. Il tenait mon poignet si fort qu’il me faisait mal. Mais j’étais sur le point de l’attraper et de le jeter au sol ; avec tout mon entraînement, je savais que je pouvais le mettre à terre en un clin d’œil. Je n’avais jamais utilisé ma force contre lui auparavant, par crainte de le blesser dans son orgueil, mais cette fois, je m’en fichais. Il m’avait fait du mal pour la dernière fois et je n’allais pas le laisser s’en sortir.Au moment où j’ai saisi son bras, Ethan s’est effondré, du sang suintant de son nez et sa prise sur mon poignet s’est immédiatement relâchée. J’ai titubé en arrière, confuse de ce qui venait de se passer. J’ai entendu le craquement de son nez et j’ai su qu’il était cassé. Il était au sol, rugissant sauvagement en couvrant son nez brisé et saignant.J’ai levé les yeux pour voir Beta Taylor grogner contre Ethan, le poing tendu et un pe

POV de JudyLorsque nous avons terminé notre entraînement, le soleil se couchait déjà. J’étais épuisée et je voulais retourner au manoir où je pourrais enfin passer du temps avec Gavin. J’avais envie de son contact et je n’avais pas réalisé à quel point j’avais envie de lui jusqu’à ce que je sente ses doigts sur mon bras plus tôt dans la journée. Mes joues ont rougi au souvenir de ce moment et les coins de ma bouche se sont légèrement retroussés en un petit sourire.« À quoi tu souris comme ça ? », a demandé Gavin alors que je tournais le coin du couloir. Je me suis figée en le voyant adossé au mur, les bras croisés sur sa poitrine.« À des choses... », ai-je dit en le taquinant et en commençant à passer devant lui. Je voulais aller aux toilettes, mais sa main autour de mon poignet m’en a empêché. J’ai vite tourné sur moi-même pour lui faire face, juste avant qu’il ne me prenne et me plaque contre le mur, mon corps s’animant à sa proximité et mon souffle s’arrêtant dans ma gorge.Il av

POV de JudyLeroy m’a gentiment escortée dans le manoir et dans ma chambre. Je savais que j’irais mieux le lendemain matin, car ma louve était généralement capable de me guérir assez rapidement. Mais je n’arrivais pas à oublier ce qui s’était passé. Je savais qu’il n’avait pas voulu me faire de mal et qu’il ne se pardonnerait pas s’il connaissait la vérité, alors j’ai décidé de garder ça pour moi. Mais quand même... il se souciait bien plus d’emmener Irène à l’hôpital que de moi. Ce que je ne pouvais même pas lui reprocher, après tout, Irène était sa fille, mais ne pouvait-il pas se rendre compte qu’il se faisait avoir ? À en juger par le sourire qu’Irène m’adressait quand ils sont partis, elle a certainement simulé cette blessure.Pour un président lycan, il s’était laissé berner avec une facilité déconcertante, ce qui me troublait. Chester avait eu la gentillesse de m’apporter le dîner au lit et je l’avais remercié avant qu’il ne parte. J’avais l’impression qu’il avait vu les nouvell

« Si tu as des amis séduisants, présente-les-moi, j’ai besoin de rencontrer toutes sortes de beaux garçons aussi. », a-t-elle dit en plaisantant.Nan a laissé échapper un rire et a hoché la tête.« Je m’en souviendrai. »Nan était soulagée que Brigitte ait décidé de ne plus sortir avec son compagnon, mais qui était l’autre femme dans sa vie qui le rendait si distrait lors de ses rendez-vous ?Elle a remercié Brigitte avant de quitter la boutique avec plus de questions qu’elle n’en avait en entrant.Plus tard dans la soirée, Nan s’est rendue au manoir Landry à l’adresse que Judy lui avait donnée.« Vous êtes Nan ? », lui a demandé l’un des gardes alors qu’elle s’approchait des portes d’entrée.Nan a souri ; c’était attentionné de la part de Judy de les avoir prévenus de son arrivée.« Oui », a répondu Nan.« Venez avec moi. Mlle Montague vous attend à l’intérieur », lui a-t-il dit.Nan a acquiescé et a suivi le garde vers l’entrée principale. Le garde était mignon, et Nan s’est mis en t

« Nan... », ai-je chuchoté. « Qu’est-ce qu’il y a ? »« Je suis vraiment désolée... », a-t-elle dit d’une voix rauque en détournant ses yeux de moi pour regarder le sol. « Mais je ne peux pas rester ici... »« Attends, qu’est-ce que tu as dit ? », ai-je demandé en haussant les sourcils. « Pourquoi pas ? Qu’est-ce qui ne va pas ? S’il te plaît, parle-moi... »Elle a secoué la tête ; elle essayait difficilement d’empêcher les larmes de couler de ses yeux.« Je dois y aller... », a-t-elle murmuré.Avant que je puisse dire un mot de plus, elle est passée devant moi en courant vers la porte d’entrée.« Nan ! » J’ai appelé après elle, mais cela n’a servi à rien, la porte d’entrée s’est refermée en claquant et Nan est sortie du manoir en courant. Je suis restée debout, confuse.Je me suis retournée vers Chester qui a lâché un souffle tremblant ; il a cligné des yeux plusieurs fois comme s’il venait de réaliser où il se trouvait. Il m’a regardée, puis a regardé Harpin qui le fixait d’un air in