Semua Bab Séduire le beau-père de mon ex: Bab 281 - Bab 290

Mon cœur s'est serré lorsque j'ai baissé les yeux vers ma jambe recouverte d'un épais plâtre. Ce n'était vraiment pas bon signe. J'ai regardé autour de moi, paniquée. Peut-être qu'il me restait assez de temps pour que ça guérisse avant la compétition.« Le jour va bientôt se lever. Nous sommes ici depuis plusieurs heures », m'a-t-il expliqué.J'ai failli éclater en sanglots en entendant ces mots. Si l'aube approchait, cela signifiait que je n'aurais pas le temps de guérir. J'étais fichue... J'allais soit être disqualifiée, soit me ridiculiser devant tout le monde. C'était ma seule chance de faire mes preuves, et j'étais sur le point de tout gâcher.Avant qu'il ne puisse ajouter quoi que ce soit, le médecin est entré dans la chambre.« Mademoiselle Judy, il va falloir éviter d'appuyer dessus pendant 24 à 48 heures. Maintenant que nous avons correctement replacé l'os, votre loup va commencer le processus de guérison », a expliqué le médecin avec un sourire bienveillant. « Je vous ai

La colère m'a envahi et j'ai entendu le grondement sourd de mon loup. Si je ne le maîtrisais pas rapidement, tout le monde allait me voir perdre le contrôle. Je savais que mon aura devenait de plus en plus puissante, et bientôt, l’ensemble du complexe en sentirait les effets.Je me suis excusé auprès de Levi et me suis dirigé vers Judy. Je la fusillais du regard, mais elle ne s'en rendait même pas compte. Cependant, dès qu'elle m'a aperçu, son visage s'est figé de stupeur. Je l'ai attrapée par le bras avant qu'elle ne puisse dire un mot et l'ai entraînée hors de la salle de réception jusque dans le couloir. Elle a trébuché, grimaçant de douleur. Je me suis aussitôt senti honteux, en me rappelant que sa cheville lui faisait encore mal, même si elle ne portait plus de plâtre.J'ai plaqué Judy contre le mur, l'emprisonnant sous mon corps. Elle tremblait, mais je n'arrivais pas à déterminer si c'était de peur ou de désir.« Tu ne devrais pas être ici. Tu essaies de me faire passer pour

J'ai surpris une conversation entre deux filles assises à la table voisine. J'observais attentivement leur langage corporel : l'une d'elles ne cessait de gigoter la jambe tandis que l'autre tapotait nerveusement la table du bout des doigts. Le moindre détail pouvait s'avérer crucial. La compétition avait commencé dès notre atterrissage dans ce pays, bien avant notre entrée dans l'arène.Chaque instant faisait partie du jeu, et je devais surveiller mes moindres faits et gestes, ainsi que mes fréquentations. Soudain, j'ai senti une présence à mes côtés. En me retournant, je me suis figée.Théo venait de s'installer près de moi, arborant un sourire satisfait ce qui m'a donné la nausée. Je savais déjà qu'il allait me poser problème dans les semaines à venir.« Qu'est-ce que tu fais là ? » ai-je murmuré.Pour toute réponse, il m'a montré le badge sur le siège. Mes yeux se sont écarquillés en réalisant que c'était effectivement sa place. Évidemment, avec ma chance...« Alors, tu as quel

Nous sommes restés ainsi quelques instants, silencieux, respirant l'un contre l'autre. Mon corps frémissait encore des vagues de plaisir qui m'avaient submergée.Il s'est retiré lentement, ce qui m'a échappé un gémissement de frustré. Une fois libérée de son emprise, je me suis laissée glisser contre du mur, les jambes encore tremblantes. Sans un mot, il s'est rhabillé rapidement avant de me lancer mes vêtements. Mes mains tremblaient, non plus à cause du plaisir, mais à cause du tourbillon d'émotions qui me submergeait.Je n'avais jamais rien ressenti de tel, et c'était terrifiant. Les larmes me montaient aux yeux ; je me suis mordu la lèvre pour les retenir.« Pourquoi tu ne m'as pas dit que tu participais au concours ? » m'a-t-il demandé tout en luttant avec la fermeture de ma robe. Je lui tournais délibérément le dos pour qu'il ne voie pas mes larmes. Je détestais pleurer, mais c'était plus fort que moi. C'était trop, e ne savais plus comment les gérer, j'avais l'impression que

J'ai fait glisser mes lèvres le long de son décolleté avant de sortir ma langue pour titiller ses magnifiques tétons roses. Elle a laissé échapper un soupir de plaisir, m'encourageant à aller plus loin. J'ai saisi l'un de ses mamelons entre mes dents, le mordillant délicatement, lui arrachant un gémissement. Ce n'était pas de la douleur que je percevais dans sa voix... non, elle appréciait clairement mes attentions.Un grondement sourd m'a échappé tandis que je continuais à taquiner et caresser sa poitrine, avant de retrouver ses lèvres. Elle m'embrassait avec fougue, comme si elle ne pouvait se rassasier de moi, comme une assoiffée devant sa dernière goutte d'eau. Elle a capturé ma lèvre inférieure entre les siennes, la suçant comme une friandise.Ses doigts parcouraient mon dos musclé, s'arrêtant à la ceinture de mon pantalon.Comprenant ce qu'elle désirait, je me suis débarrassé de mon survêtement et de mon boxer d'un même mouvement, libérant mon érection, prête à ses caresses.