Semua Bab Séduire le beau-père de mon ex: Bab 301 - Bab 310

« Je voulais te dire que tu as fait un travail incroyable », dit Salomé avec réflexion.« Merci », réponds-je. « C’est vraiment gentil de ta part. »« Ton petit ami a participé ? », demande Nan.Salomé hoche la tête. « Oui. Il est chez le médecin maintenant, on est en train de l’examiner. Il devrait être autorisé à participer au prochain tour. »« Quand saurons-nous si nous sommes autorisés à participer au prochain tour ? », demandé-je.« D’abord, les médecins doivent t’examiner », explique Tiphaine. « Si tu as des blessures graves qui ne peuvent pas guérir à temps, évidemment tu ne peux pas concourir. Donc, les médecins s’assurent que tout va bien. Une fois qu’ils t’autorisent, les juges et les responsables Lycans se réunissent pour décider s’ils te laissent passer à l’étape suivante. Une fois la décision prise, tu reçois une notification. »Je réfléchis un instant, puis j’acquiesce.« J’ai trop faim », je murmure alors que nous commençons à marcher vers la clinique médicale de la sta

Elle se retourne et tombe à genoux, attrape la ceinture de mon pantalon et la tire vers le bas de mes jambes, avec mon caleçon. Je sors de mon pantalon et de mon caleçon, que je jette sur le côté. Je commence à déboutonner ma chemise, révélant chacun de mes abdominaux alors qu’elle se relâche autour de mes épaules.Ses yeux se plissent lorsqu’elle me voit, et je vois la convoitise traverser son regard.Elle recentre son attention sur mon membre, sa tâche principale. Elle fait courir ses doigts le long de la tige avant de la lécher, goûtant le jus qui perle à son extrémité. Elle continue à le lécher jusqu’à ce qu’il brille de sa salive.Elle commence à me caresser lentement. C’est presque douloureux, mais elle commence à accélérer. Elle utilise également sa bouche, me suçant et m’enfonçant dans la gorge tandis que je lutte pour garder le contrôle de moi-même.Je passe mes doigts dans ses cheveux, maintenant sa tête en place pendant que je m’enfonce dans sa bouche. Elle fait un bruit de

Tristan a l’air abattu. Mais sérieusement, que pense-t-il qu’il va se passer ?« Oh, d’accord », dit-il, les yeux suppliant qu’elle ne parte pas.L’estomac de Nan se serre, la culpabilité obscurcit son jugement. Elle avale la boule dans sa gorge. « Mais je te verrai quand même ce soir, n’est-ce pas ? Le concert et tout… », lui rappelle-t-elle.Il hoche la tête. « Oui, absolument », répond-il.Elle lui force un sourire et s’apprête à s’éloigner, mais il se lève rapidement, saisit son bras pour l’arrêter. Il la serre dans ses bras, entourant fermement son corps immobile tandis que ses lèvres effleurent les siennes.Au début, c’est léger comme une plume, puis il approfondit le baiser, enfonçant sa langue dans sa bouche. Elle recule, surprise par la sensation, mais il ne semble pas s’en rendre compte. Il continue à l’embrasser comme s’il ne devait plus jamais la revoir. Une main reste posée sur sa nuque, l’autre remonte dans ses cheveux, tenant sa tête fermement.Il pince sa lèvre inférieu

Ses yeux sont si foncés qu’ils en paraissent presque noirs, et il respire bruyamment, comme s’il essayait de reprendre son souffle. Il me regarde comme s’il avait envie de me dévorer. Je deviens instantanément faible face à lui, et je me retrouve à m’appuyer contre lui pour ne pas tomber, craignant que mes jambes ne cèdent et que je m’effondre au sol, ridiculement.Avant que je puisse lui demander ce qu’il fait, ses lèvres s’écrasent contre les miennes. Il m’embrasse comme s’il mourait de faim et que j’étais sa nourriture. Sa langue sort de sa bouche et s’enfonce dans la mienne, me goûtant. Il a une main posée contre le mur au-dessus de ma tête, et l’autre fermement appuyée sur le bas de mon dos, me maintenant coincée entre lui et le mur. Je n’ai aucune intention de bouger.Toute pensée rationnelle s’efface de mon esprit dès qu’il me plaque contre le mur.Il mordille ma lèvre inférieure, la suce et l’attire plus profondément dans sa bouche jusqu’à ce qu’elle en soit gonflée. Un grondem

J’étais tellement occupée à m’habiller tout à l’heure que je n’ai même pas pris le temps de réfléchir ; peut-être que je ne devrais pas me soucier de ce que je porte puisque je vais l’enlever de toute façon. Avec un petit sourire en coin, je commence à retirer mes vêtements. Je défais mon soutien-gorge, le laissant tomber au sol, puis j’enlève ma culotte d’un geste du pied pour la pousser de côté.Je suis complètement nue quand je me glisse sous ses couvertures, dans son lit, et je m’installe, prête pour lui.J’attends… encore et encore.Le temps semble ne jamais vouloir passer. Chaque minute qui passe me rend plus nerveuse. Je ne cesse de me demander si c’est une bonne idée ; peut-être que je n’aurais pas dû entrer dans sa chambre toute seule. Peut-être qu’il voulait dire ce soir, mais tard ce soir.Je me sens idiote… mais je reste.J’attends si longtemps… que je finis par m’endormir complètement, jusqu’à ce que le bruit de la porte qui s’ouvre me réveille.Gavin est en train de parle