All Chapters of L'attraction fatale du mafieux : Chapter 151 - Chapter 160

Apryl Depuis cette histoire je n'arrive pas à dormir paisiblement la nuit . Pourquoi celà est-il tombé sur moi ? J'ai l'impression d'être malchanceuse . Je suis enceinte , j'aurais dû être heureuse de la venue de mon enfant , et penser à faire son trousseau . Nous aurions dû nous focaliser sur cette merveilleuse nouvelle . Au lieu de ça , nous sommes envahis par la culpabilité et la honte . J'ai perdu une amie dans cette histoire , j'ai dû être un objet d' assouvissement à la vengeance d'un homme qui était rongé par la haine et la rancœur . À bien y réfléchir , je ne lui en veux pas . Non , j'en veux à mon mari qui a commencé cette histoire . Je m'en veux aussi d'avoir ressenti du plaisir dans ses bras . Oui , j'ai aimé sa manière de me faire l'amour . Malgré que je ne voulais pas , il ne m'a pas brutalisé , il m'a fait l'amour comme on le ferait avec une copine ou avec sa femme . J'ai eu plusieurs orgasmes pendant l'acte . Je ne dirais pas qu'il est meilleur que mon mari , mais , il

Auracio Depuis deux mois , j'essaie de déterminer l'endroit où se trouve ma femme pour pouvoir aller la chercher . Mais , je ne sais pas où elle se trouve . Chaque semaine j'essaie de voir un peu son environnement quand je parle avec mes enfants , mais , je n'y arrive pas . Je suis si désespéré ! Pourquoi ne veut-elle pas m'écouter ? Pourquoi , elle ne veut même pas me parler ? Je n'aime qu'elle et personne d'autre ! Elle est la seule femme dans mon cœur . J'ai fait ce que j'ai fait pour juste une raison :me venger , sinon cette femme ne m'attire même pas . Elle est insignifiante devant ma reine . Elle est la reine de ma vie , de mon cœur , de mon âme ! Je n'aime qu'elle ! - Chef , nous sommes arrivés . Je regarde devant moi , oui , nous sommes arrivés . Je descends et nous pénétrons dans la maison qui a été autrefois la maison de John . Je regarde autour de moi et je monte à l'étage , je me demande ce que je fais ici ! - Que cherchons-nous ici ? Me demande Philippe .- Un portab

AURACIO Je regarde cette belle femme , ma femme , elle est encore plus belle que la dernière fois où je l'ai vu . Ses hanches se sont plus alourdies , ses seins sont devenus plus gros , et elle semble vraiment épanouie loin de moi . J'ai un petit pincement au cœur en le constatant J'ai mené mes enquêtes jusqu'à savoir où elle se cachait depuis tout ce temps . Je crois qu'elle est très surprise de me voir . Elle cherche une occasion pour s'enfuir , tel que je la connait , elle va chercher à s'éclipser rapidement , sauf qu'il n'y a pas d'échappatoire pour elle aujourd'hui . Mes gardes continuent d'arriver , je suis venu avec tout un arsenal comme si je venais combattre un ennemi mortel , alors qu'il ne s'agisse que d'une simple femme : ma femme . Mais , elle est plus mortelle que la mort . Nous nous regardons pendant un moment , chacun essaie de devancer les gestes de l'autre . Elle fait un pas et le dit : - Tu vas quitter sur ma route et me laisser passer .Je lui fais un sourire

Ariane - Merci Félix , mais tu sais que dans tout ça , j'y gagne quelque chose . Je gagne de l'argent et surtout votre loyauté qui n'est pas négligeable .- Mais , celà n'a n'empêche que vous ne le faites pas pour ça ! Vous avez un grand cœur , mais vous refusez que les gens le sachent . Sachez que vous avez une famille , nous serons toujours là pour vous . Faites un bon voyage ! - Merci Félix , j'attends l'avancement des contrats .- Ce sera fait .Je me tourne vers Auracio pour qu'on reparte d'où on est venu . Il me suit jusqu'à la chambre :- Je vois que tu t'es fait une véritable armée avec tout ce que tu as . - Et alors ?- Tu deviens de plus en plus puissante dans le milieu . On ne parle que d'un homme influent et puissant . J'ai du respect pour cet homme sauf que cet homme n'existait pas . Il ne s'agit que de toi . - Comment l' as-tu su ? - Ce n'était pas facile mais j'y suis arrivé . Je dois te tirer mon chapeau , tu as fait du bon travail avec les enfants et ce travail

Ariane Je prends une coupe et je bois lentement . Le fils de Marianne et Marco a six mois de moins que les jumeaux , alors , il a retrouvé ses compagnons de jeu . Ils sont allés découvrir la nouvelle demeure . Les jumelles sont descendues des bras de leur père , mais , elles sont toujours à ses trousses , elles ont attrapé ses deux mains et ne le lâchent pas . Et lui comme quelqu'un qui vient de gagner une bataille rude se baladent avec elles affichant un sourire radieux . Il est gaga de ses filles encore plus qu'il ne l'est de ses garçons . Marianne est assise à mes côtés , nos bagages sont entrés dans nos chambres . Je me demande si je vais le laisser partager la même chambre que moi ! J'ai peur de ne pas pouvoir lui résister si nous partageons la même chambre ! - Tu sais que tu viens de le rendre plus heureux qu'avant ? Tu ne peux pas imaginer comment il était quand il n'arrivait pas à te retrouver . Il a failli devenir fou . Tu le vois comme ça aujourd'hui Parce qu'il a suivi