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Auraciomon Jet atterri à las Vegas après plusieurs heures de vols.nous sommes accueillis par le sanguinaire lui-même, c'est à dire à quel point il apprécie notre partenariat.je n'en attendais pas moi de lui.pour un bon partenariat il faut un minimum de respect.nous passons au détecteur de métaux et sommes fouillés pour parier à toutes l'éventualité ,la confiance n'exclut pas le contrôle, après la fouille nous nous serons la main en guise de salutations.-bonsoir, bien venue à toi, j'espère que vous avez fait bon voyage ?-très bien merci.- suivez-moi je vous prie.devant nous dix véhicules sont alignés,lui et moi montons dans celui du milieu- j'ai privatisé tout un immeuble pour vous loger vous et vos hommes.j'espère que cela vous convient ?- j'avais déjà pris mes dispositions, mais pour que la confiance puisse régner, j'accepte, merci.- je vous laisse vous reposer et on se retrouve à vingt-deux heures dans mon club ?- OK ça marche.je reste dans le véhicule attendant que mon

John Je suis John Smith, j'ai quarante cinq ans deux enfants de dix et six ans chacun et de mères différentes . J'ai toujours été attiré par armes à feu,les combats clandestins... enfin tout ce qui est illégal ?. j'ai été élevé par une mère très aimante qui m'a donné tout l'amour qu'elle pouvait, mais ce n'était jamais assez je ne voulais pas rester à la maison, j'étais comme attiré par la rue.j'ai fini par fugué,je suis rentré dans un gang et je devais faire mes preuves. pour entrer dans le gang je devais tuer, j'ai commis mon premier meurtre à quinze ans. j'étais avide de pouvoir, j'ai tout fait pour gravir les échelons rapidement, à vingt-cinq ans j'étais le numéro deux de nôtre organisation, à trente ans j'en ai pris la tête, après avoir raté la mort par deux fois,car mon ancien chef par peur que je prenne sa place à tenté de me tuer, plusieurs fois. après la dernière tentative je l'ai égorgé devant nos éléments et bu son sang, d'où me vient ce surnom " le sanguinaire " .Parfoi

John- Bonsoir mes déesses,moi c'est John, je vous présente mon ami Auracio et vous ?Elle me serre la main ,ses mains sont douces, délicates, faites pour des caresses,mes caresses.Auracioje salue la déesse en face de moi.Merde, elle me mets dans tous mes états, comment peut on être aussi belle ? et cet air angélique ! quand je vois ce visage fin,ces lèvres pulpeuses qui ne demandent qu'à être mangées et ces mains si élégantes qui aspirent à me donner des carresses , elles doivent être douces au toucher.Qu'est-ce qui ce passe ? je deviens sentiments ? bien sûr que non.je ferrai tout pour la baiser ce soir et pour pouvoir l'oublier juste après.Je ne vois pas ce qu'elle a de plus que les autres ?, pour me faire ressentir ces sensations uniques, merdiques.Je ne veux pas ressentir ça.- Buenos sera amore mio,moi c'est Auracio pour vous servir, vous êtes magnifiques.- merci je m'appelle Ariane et voici ma meilleure amie Marianne.- enchantee, effectivement je suis Marianne, merci les

Ariane - Reste tranquille.Il continue de l'embrasser,sa main empoigne une cuisse qu'il presse et l'autre main maintient ma tête,me soumettant à son intrusion dans ma bouche. Je n'y tiens plus, je réponds à son baisé avec fougue, même si je ne suis pas assez expérimentée, j'ai embrassé quelques garçons pour savoir ce que ça ferais. Comme galvanisé par celà, il attrape ma langue qu'il titille,suce, il délaisse ma langue et mord ma lèvre inférieure,la lèche et descend,lappe mon menton,ma gorge, je gémis, j'essaie de l'arrêter, je suis consumé par un feu dévorant. Mon bas ventre me fais mal,il demande à être soulagé, je sens son membre sous moi, je me frotte à lui,il émet un grognement,ses mains sont partout sur mon corps, sa bouche descend vers mes seins qui se sentes exclus du festin.- Arrêtez-vous, s'ils vous plaît vous ne pouvez pas continuer ici, vous n'êtes pas seuls.Comme si je venais de me réveiller d'un rêve, je le repousse brutalement et essaie de reprendre mon souffle.Je m

AuracioOn se retourne pour voir à l'entrée de la cuisine, Marco et Marianne qui nous regardent ébahi. - Auracio tu ne devrais pas être ailleurs , qu'ici ?- Cette... écervelée nous a interrompus .- HahaIl éclate de rire- Ce n'est pas drôle !- Où l'emmène -tu,comme ça ? - Au sous sol.Elle va apprendre à me respecter.Je la traîne derrière moi.- Arrêt,on a du travail qui nous attend, s'il te plaît ne rentre pas dans son jeu.Marianne essaie de parler, mais je ne la laisse pas prendre la parole .- C'est parce qu'elle s'est réveillée dans un lit qu'elle prend des aires de grande dame.Attends moi au bureau j'arrive.Je la soulève sur l'épaule et descend avec elle. Elle continue de se débattre, elle gesticule dans tous les sens, qu'à cela ne tienne,je presse ses fesses :- Il faut reconnaître que tu as un bon derrière, je me ferai un plaisir de les rougir plus tard, elles sont moelleuses à souhait.- Espèce de pervers, tu n'obtiendra rien de moi, je préfère encore me donner à quelq